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LC même combat que pour un régime classique

Linecoaching au quotidien Mon vécu du programme
Maadmoiselle.
Abonné A lire (0) Fidèle (12)
12 oct 2013 à 10h
bonjour, J'aimerais avoir votre avis, j'ai l'impression d'être en mode combat avec la méthode LC comme pour un régime classique. Certes je mange de tout et ça c'est super par contre je peux pas manger quand je veux (quand mon esprit veux) et ni la quantité que je veux. Je vais vous donner un exemple très concret qui se passe en ce moment mais des exemples comme ça j'en ai tous les jours. C'est samedi matin, grace mat' avec mon homme, la seule chose dont j'ai envie c'est de se faire un super p'tit déjà avec tartines et confitures et partager ce moment avec lui autour de la table. Mais je n'ai pas faim et en plus cet aprem j'ai rdv avec une copine pour manger une glace donc je veux avoir faim pour savourer ma glace. Donc grosse frustration ce matin de voir mon homme manger ses tartines et moi boire ma tisane pour l'accompagner. Vous allez me dire que j'aurais du manger léger vendredi soir pour que ma faim soit là samedi matin en prévision du petit déjeuner... Mais vendredi soir c'est le soir cool, la semaine est finie, on a une soirée tranquille pour se faire un film et manger une pizza du camion du coin de la rue... Super moment aussi avec mon chéri que je voulais pas louper..... Donc comme pour les autres régimes faut faire des choix et se priver.... Frustration.... Qu'en pensez vous? Qu'auriez vous fait à ma place? Merci
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14 commentaires
Je pense que ça demande des efforts au début parce qu'il faut changer les habitudes mais contrairement à un régime à un moment ça va se faire naturellement et sans frustration. Je suis maintenant capable, après 1 an de linecoaching, de ne pas manger avec les autres si je n'ai pas faim et cela sans frustration parce que quand je n'ai pas faim je ne peux physiquement rien avaler ou très très peu (juste pour goûter). Et ceci devient ensuite une habitude parce qu'on se rend compte que notre corps nous en remercie. Là où j'ai encore du mal c'est à m'arreter pour laisser une petite place mais je sais que ça viendra...

Je comprend ta frustration, je resens la même, ça fait plusieurs année qu'on mange au de là de notre sasiété. Il faut du tps et surment des erreurs pour apprendre à respecter nos besoins.

Aux repas ou j'ai trop mangé, je culpabilisais, on se sens nulle de pas y arriver. Depuis peu j'essaye plutôt de les prendre comme des expériences, qui me permettent de me rendre compte du manque de plaisir à manger et j'arrive, pas tout le tps on se refait pas en 3 mois, à en laisser dans mon assiette.

La RPC m'aide à faire un lacher prise pour la nouriture, et pourtant je ne fais pas de vrai séances, genre 10 min, parcontre plusieurs fois dans la journée, je me concentre sur 3 ou 4 respirations.

Bon continuation

J'esperes que ta glace à été délicieuse

Je suis d'accord avec izabelle. SI tu gères bien la pizza, tu ne la finiras pas et tu auras faim au petit dej le lendemain. Surtout si c'est une grasse mat : en te levant plus tard, tu auras d'autant plus faim.
Je pense que si tu n'avais pas faim de tout au petit dej, c'est que tu as bien abusé de la pizza et que tu es allée au-delà du plaisir, et de ta faim, pour te forcer, pour je ne sais quelle raison, à manger.
J'ai longtemps eu le même problème avec la pizza du vendredi soir. Je me sentais obligée de finir, même si ça me gachait le plaisir alimentaire. Mais j'ai compris une chose : ce qui fait que cette soirée m'apporte du plaisir, ce n'est pas que je mange BEAUCOUP de pizza. C'est que ce soit vendredi soir, que je me détende avec mon mari et que je mange de la BONNE pizza. Peu importe la quantité, puisque s'il en reste pour le lendemain midi, c'est cool, j'adore manger les restes de pizza le lendemain.
Donc voilà ce que j'aurais fait à ta place : j'aurais savouré la pizza, ainsi que tout le reste de la soirée, j'aurais laissé parler la petite voix qui dit "il faut finir cette pizza" sans l'écouter, je ne me serais pas forcée à finir, et j'aurais eu faim pour la grasse-mat du lendemain = zéro frustration !

smiley

bien sûr qu'il faut faire des choix....  on n'a pas l'appétit pour engloutir la surabondance de produits qui nous est offert....

je comprends tout à fait ce que tu veux dire, mais c'est un processus qui fait, dans le parcours, que peu à peu,   cela nous fait  "plus plaisir" quand on a faim

parce que la goût est 15 fois meilleur avec faim,  que l'on a pas la culpabilité et le sentiment de lourdeur.....

 

moi ce que j'aurais fait :  garder une super bonne faim pour la pizza, la déguster lentement, en m'arrêtant quand mon corps dit  "stop"   et donc garder de l'appétit pour le petit-dej......

c'est vraiment beaucoup plus facile de s'arrêter à temps lorsqu'on commence avec une bonne faim, c'est à dire moyenne....  le signal du "stop"  est bien plus facile à sentir,  de plus  si on sait qu'en s'arrêtant à temps, on aura faim le matin pour se faire un super petit-dej avec son chéri, c'est motivant

 

la dégustation est vraiment une clé pour avoir autant de plaisir (en fait, plus...) avec de plus petites quantités....   si tu laisses fondre ton carré de choc deux fois plus longtemps dans ta bouche, au final tu as exactement le même plaisir que si tu avais mangé deux carrés deux fois plus vite....  

et le plaisir aussi de te sentir légère, bien en adéquation avec ton corps

 

ceci dit, c'est normal que tout ça ça soit un peu compliqué au début, il faut le temps de retrouver les bons automatismes

en attendant, fais simplement de ton mieux, pas parfaitement, mais de ton mieux, pour l'instant....

en essayant de déguster au maximum, de te garder un peu d'appétit pour profiter encore plus de ces moments

 

et ne t'en fais pas, si tu manges un peu plus que ta faim le week-end, il suffit de t'écouter les jours suivants, tu auras moins faim et si tu écoutes ton corps, ces apports supplémentaires seront simplement régulés

 

bon week-end!!