Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
Vous devez vous connecter pour poster un commentaire
Vous devez préalablement être authentifié auprès de votre assureur afin d'accéder à nos services
Répondre
[quote=noellie]
Ca va mieux Kaylee, tu as moins de pensées négatives et de panique par rapport à ta future nouvelle situation? J'espère pour toi...
Merci Izabelle pour ton message de soutien. Je me sens tellement dans le paradoxe parfois!
[/quote]
Disons que je me calme un peu et commence à être en état d'envisager les plans B en cas de pire 
@Elda : bonne découverte d'un forum "humain" et sensible, souvent à fleur de peau, un espace en toute liberté sur lequel nous nous lâchons en sachant que nous ne serons ni critiquées, ni jugées, bien au contraire.
Beaucoup d'entre nous sont passées par Dukxx, un des aspects les plus désagréables étant la mauvaise haleine très fréquente à cause de toutes ces protéines 
C'est fini tout ça
Kaylee, je suis contente que tu te sois un peu calmée et que tu envisages la situation un peu plus tranquillement.
Elda, d'accord avec toi, ça fait du bien de pouvoir se lâcher, sans avoir peur du jugement, et vous lire.
Mon inconfort du moment: sentir que ma fille de 15 ans, jusqu'à l'année dernière équilibrée, joyeuse, bonne élève (le rêve quoi) s'éteint petit à petit, trouve que les journées sont pourries, qu'il ne s'y passe rien, n'ait plus envie de travailler, ait baissé son référentiel au sujet de la "bonne" note de plusieurs points, rêve d'évasion... Vous allez me dire, c'est l'adolescence. Ben, je sais, mais ça me fend le coeur, comme ça arrive un peu tardivement, par rapport à ses frères et soeurs, je me disais qu'elle allait peut être vivre cette période beaucoup mieux que les autres...
C'est un peu mon rayon de soleil qui s'éteint.. Ca me rend triste. Et du coup, je ne sais pas si je dois laisser les choses se vivre comme ça, ou si je dois lui proposer une aide extérieure.
Vous vous rendez compte, j'en ai élevé trois autres, et je me pose encore plein de questions, comme si c'était la première fois. Et oui, mais c'est la première fois avec elle, et donc c'est unique!
Noelly bonjour, je suis passée par là aussi mais ma fille était plus jeune et trés compliquée, même avec beaucoup de discutions nous n'avons pas réussit à démélé la situation. Mais maintenant que cela s'est un peu arrangé (elle est partie 18 mois et revenue que depuis octobre 2014) elles ont du mal à comprendre ce qu'il leur arrive, la transformation du corps et les règles et ma fille a des problèmes de thyroïde depuis ses 14 ans. Pas d'école de parents toujours gérer sur le moment et nous ne sommes pas disponible à 100% tout le temps. Si vraiment tu as du soucis , toi ou toi et ton marri , allez voir une psychothérapeute elles ont les mots et la façon d'expliquer le comportement des enfants et si nous y répondons bien, la mienne m'a beaucoup aidée. Je vous souhaite plein de courage et ce n'est peut être qu'un passage!
Mon inconfort est le fait que j'ai du mal à me faire comprendre.
Je travaillais jusqu'à maintenant avec un binôme sur une technique américaine qui s'appelle la TAT pour libérer des traumas, émotions difficiles... Mais voilà depuis quelques temps j'ai des résistances et des doutes sur cette technique dont je fais part à mon binôme lors de nos sessions. Elle a alors décidé de ne plus vouloir travailler avec moi me servant l'excuse qu'elle ne voyait pas où ça menait à cause de mes résistances.
J'ai laissé passé le week end pour revenir vers elle à froid. Ainsi j'ai décidé de lui faire part du fait que j'aurai préféré qu'elle me parle de ce qu'elle ressentait quand je lui parlais de ça plutôt que ce servir de ce que moi je vivais pour arrêter. Je l'interprète comme si c'était une façon de me faire porter la responsabilité de son envie d'arrêter. Elle ne m'entend pas quand j'essaye de l'évoquer. Alors forcément, il y a de la colère avec cette idée que ce soit de ma faute (c'est la façon dont elle le tourne ou la façon dont je ressens ce qu'elle dit?).
Je n'arrive pas à démêler si c'est moi ou elle qui suis pas en phase avec les faits.
Pourtant je mets vraiment en oeuvre ce que j'ai appris en communication non violente mais là ça coince sec!
Mon inconfort est le fait que j'ai du mal à me faire comprendre.
Je travaillais jusqu'à maintenant avec un binôme sur une technique américaine qui s'appelle la TAT pour libérer des traumas, émotions difficiles... Mais voilà depuis quelques temps j'ai des résistances et des doutes sur cette technique dont je fais part à mon binôme lors de nos sessions. Elle a alors décidé de ne plus vouloir travailler avec moi me servant l'excuse qu'elle ne voyait pas où ça menait à cause de mes résistances.
J'ai laissé passé le week end pour revenir vers elle à froid. Ainsi j'ai décidé de lui faire part du fait que j'aurai préféré qu'elle me parle de ce qu'elle ressentait quand je lui parlais de ça plutôt que ce servir de ce que moi je vivais pour arrêter. Je l'interprète comme si c'était une façon de me faire porter la responsabilité de son envie d'arrêter. Elle ne m'entend pas quand j'essaye de l'évoquer. Alors forcément, il y a de la colère avec cette idée que ce soit de ma faute (c'est la façon dont elle le tourne ou la façon dont je ressens ce qu'elle dit?).
Je n'arrive pas à démêler si c'est moi ou elle qui suis pas en phase avec les faits.
Pourtant je mets vraiment en oeuvre ce que j'ai appris en communication non violente mais là ça coince sec!
Mon inconfort est le fait que j'ai du mal à me faire comprendre.
Je travaillais jusqu'à maintenant avec un binôme sur une technique américaine qui s'appelle la TAT pour libérer des traumas, émotions difficiles... Mais voilà depuis quelques temps j'ai des résistances et des doutes sur cette technique dont je fais part à mon binôme lors de nos sessions. Elle a alors décidé de ne plus vouloir travailler avec moi me servant l'excuse qu'elle ne voyait pas où ça menait à cause de mes résistances.
J'ai laissé passé le week end pour revenir vers elle à froid. Ainsi j'ai décidé de lui faire part du fait que j'aurai préféré qu'elle me parle de ce qu'elle ressentait quand je lui parlais de ça plutôt que ce servir de ce que moi je vivais pour arrêter. Je l'interprète comme si c'était une façon de me faire porter la responsabilité de son envie d'arrêter. Elle ne m'entend pas quand j'essaye de l'évoquer. Alors forcément, il y a de la colère avec cette idée que ce soit de ma faute (c'est la façon dont elle le tourne ou la façon dont je ressens ce qu'elle dit?).
Je n'arrive pas à démêler si c'est moi ou elle qui suis pas en phase avec les faits.
Pourtant je mets vraiment en oeuvre ce que j'ai appris en communication non violente mais là ça coince sec!
Le 1er avril je suis à la retraite... bien méritée, enfin je pense, parce que j'ai commencé à travailler à 17 ans 1/2 et à part l'année où j'étais enceinte j'ai toujours travaillé... même lorsque je bossais dans des pays dans lesquels je ne pouvais pas cotiser. J'ai fait ma demande, mes dossiers sont partis, en cours, tout est apparemment OK.
Vendredi soir, lors d'une réunion de locataires, quelqu'un fait la remarque que "il y a 2 Régions en France dans lequel il y a un énorme retard (parfois 1 an) sur le premier paiement des retraites, dont notre département". J'ai soudain l'impression que 10 litres d'eau glacée me tombent sur la tête, j'écourte ma présence à la réunion et file sur Internet pour vérifier ces dires. Hélas, c'est vrai... des sites sérieux en témoignent, et c'est alarmant
J'ai passé le week-end à faire des simulations sur Excel pour revoir mon budget à la baisse à partir d'avril, faire l'état de mes très maigres actuelles économies (je commence à peine à souffler point de vue budget : divorce suivi de surendettement suivi de longues et coûteuses, mais fructueuses, études de mon fils), je me dis que c'est injuste : je commence enfin à sortir la tête de l'eau et voilà que des événements imprévus indépendants de ma volonté risquent d' my replonger 
EME à l'envers, enfin je ne sais comment nommer ça, lorsque des émotions me coupent l'appétit et me tordent l'estomac. Cauchemars cette nuit, revient en boucle la phrase assassine de ma mère lorsque j'avais des soucis d'argent : "ma pauvre fille (d'un ton misérablement apitoyé), tu finiras clocharde sur des cartons...". Et si elle avait raison ? 
J'ai très souvent vu la bouteille d'eau à moitié vide où d'autres la voient à moitié pleine, et j'ai beaucoup de mal avec ça... surtout sur un sujet qui est grave pour moi comme celui-là.
RPC pour faire taire cette pensée récurrente "je vais être dans la mxxxx, mais grave, si la situation ne s'arrange pas" ? Acceptation d'une chose que je ne peux changer ? Oui, mais... il faut que je trouve une solution, que je me calme, même pas envie de me consoler avec des Chips ou du chocolat, depuis que je suis sur LC, ça ne marche plus. Maintenant qu'il n'y a plus d'aliments tabous, ils ont perdu leur pouvoir consolateur/compensateur
Merci de m'avoir lue...
Kaylee, sur tf1 le journal de 13h en a parlé et une bénévole a aider des personnes qui ne touchait rien et a débloquer un nombre de dossier vas voir et tiens nous au courant ce n'est pas normal!
Salut les filles,
Plein de courage à toutes pour ces inconforts qui méritent un nom plus fort. C'est plus grâve que des inconforts; amitiés qui se délitent, retraite qui risque de se faire attendre et problème d'autorité dans la famille.....sans oublier l'hiver et les meurtres à Charlie.
Pour ma part, je vous avais délaissée parce que d'humeur étrange: problèmes gynéco avec prise d'hormones, garçon qui ne fait plus rien à l'école sans raison apparente (en terminale s),il a toujours été brillant, et une semaine d'enfer à l'école.
J'ai 28 cm2 plutôt sympas. Lundi, un élève gitan s'est jeté sur un autre pour le griffer au cou et le menacer de mort à la sortie. Le père a mis 4 jours pour venir me parler et lui arracher les oreilles et le traiter de cercueil. (Le père tient un gang de dealers et le gosse fume des chichons. Il a deux enfants trisomiques, un en grande section qui a déjà mis le feu aux poubelles et fait venir les pompiers et un bébé dont on a pas encore entendu parler. L'enfant griffé n'a pas mis les pieds à l'école pendant 3 jours......mais il m'a épatée en lui disant qu'il ne lui en voulait plus parce qu'il s'était excusé.....
Et enfin, jeudi, j'intercepte un mot de deux élèves blondes et mignonnes....une magnifique caricature de moi de dos, énorme, qui se gratte les fesses en criant "g mal au c....l", avec un florilège d' e........lé, de Fu......k...... Une page entière. J'ai été blessée parce que le lendemain je les emmenais au ski et qu'aucune des 2 ne m'a dit ni bonjour ni pardon. Une des deux a laissé tomber son portable à plusieurs centaines d'euros à mes pieds. Je l'ai confisqué, normal, c'est interdit en primaire. Ce matin la mère est venue me voir, non pas pour obliger sa fille à s'excuser mais pour rouspéter car je n'avais pas le droit d'investir l'espace privé de sa fille.......Bref, un peu énervée la maîtresse...
Tout ça pour dire que les limites à donner aux enfants sont PRIMORDIALES, c'est un crime de tout laisser faire, il faut se battre, même si c'est fatigant, droits et devoirs vont de paire. Les limites les sécurisent.
PS: Je leur ai demandé si les grosses avaient le droit de vivre, leur réponse est oui, rassurant.
Désolée pour le pavé, mais ça va plutôt bien, j'ai perdu 2 kilos.
Merci de votre présence et de vos moments de vie échangés.
Ca va mieux Kaylee, tu as moins de pensées négatives et de panique par rapport à ta future nouvelle situation? J'espère pour toi...
Merci Izabelle pour ton message de soutien. Je me sens tellement dans le paradoxe parfois!