Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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C'est dans les outils, et voici le lien : pour déculpabiliser quand on a craqué, et pour savourer son craquage en Pleine Conscience (tant qu'à faire ) :
//www.linecoaching.com/prog/comportement-alimentaire/les-outils/POU/MOT/PO2
Nous ne sommes pas des robots bien huilés, les filles, et si nous étions parfaites, qu'est-ce que nous serions lisses et ennuyeuses (et chiantes ).
Bon parcours aux nouvelles qui se sont inscrites tout récemment et surtout prenez votre temps, avec la méthode LC, je trouve que les étapes sont à faire à son rythme, quand on y est prête.
bonjour à toutes, tous mes voeux de bonheur, santé et réussite dans les projets !!
mon inconfort du jour : avoir énormément mangé hier soir (même si j'ai su, par miracle, m'arrêter de m'empiffrer à partir du plat principal, je n'ai pas fini mon assiette, ni le fromage ni le dessert).
c'est difficile de vivre avec de la culpabilité (une fois que c'est fait, bien sur, car pendant, on met de coté notre raison...), j'espère qu'ici j'apprendrai à faire autrement.
Sealine,
je crois que Capuccino te dirait quelque chose comme ça : plutôt que de voir ton excès en début de repas comme un échec, vois plutôt le fait de t'être freinée en milieu de repas comme un succès ! C'est déjà fantastique, pétard de pétard ! Tu l'aurais fait, avant LC ? Ou tu aurais en plus fini les chocolats ?
Quant au fait de mettre la raison de côté quand on dévore, et de culpabiliser après, alors là je coïncide avec toi à 100% : je connais ça parfaitement. C'est incroyable cette capacité qu'on a à se voiler la face, à ne plus rien penser, à ne plus se regarder faire, pour se permettre de manger ! Bon, y'a du pain sur la planche, mais on y arrivera !
Bonne journée !
Bien vu Elda, avant LC il n'y aurait peut-être pas d'arrêt en cours de repas. Se répéter inlassablement que ce sont tous ces petits pas qui nous permettent d'avancer.
La culpabilité de manger trop, ou telle et telle chose est liée aux croyances alimentaire, à la restrction cognitive. Travailler ces axes permet de remettre TOUS les aliments au même niveau, ainsi la culpailité disparait lorsqu'on mange des aliments dits diététiquement incorrects.
merci Elda et Capuccino, vous avez raison, bien que je n'ai commencé la méthode que depuis peu de temps, je commence déjà à réfléchir à ma faim et satiété.
Bonjour Nana51,
J'ai découvert que les larmes avaient cet énorme pouvoir de laisser aller le trop plein. Avant je pleurais très peu maintenant je n'aspire qu'à une chose pouvoir pleurer pour me libérer des frustrations qu'il peut y avoir derrière la colère...
As tu pensé à mettre à l'extérieur de toi (écriture, le dessin, la poterie, la musique, le sport... ce que tu ressens pour libérer ta tête?
Prends soin de toi et de tes ressentis.
Une énorme pensée pour toi.
Bonjour à toutes,
Je débarque sur LC et sur ce post, que je viens de survoler, et qui me semble une excellente idée ! J'en profite donc pour noter mon inconfort : je ne connais pas encore le processus et les astuces de cette méthode (suis encore en phase d'observation....), j'ai juste enregistré qu'on est censé attendre d'avoir faim pour manger.
Or là, je n'ai pas faim, juste une énorme envie de me concocter un sandwich sympa jambon-fromage pour passer : le temps, un mal de tête, la flemme d'aller préparer le dîner et la trouille de céder au gnignotage tout en cuisinant ! Ça me fait enrager de ne pas savoir, encore, à quoi me raccrocher. je vous lis et prends note des "lacher prise", des "prises de conscience", mais je ne sais pas comment le mettre en pratique.
M'observer, et donc me subbodorer pas vraiment à la hauteur, me stresse. Grrrrrr !
Hoho cool Elda
Ne mets pas la barre trop haute. Tu démarres... Observer que la faim n'est pas présente mais que tu as envie de manger pour passer le temps, c'est déjà super.
On peut aussi constater que c'est trop difficle d'attendre la faim pour manger ce soir et décider de manger tout en observant ce qui se passe : est-ce que ça me fait du bien de manger ce sandwich, correspond-il à l'idée que je m'en faisais, est-ce que je vais mieux après, mon inconfort as-t-il disparu ?
N'oublie pas que la régulation s'effectue globalent sur une quinzaine de jours. Tu peux manger même sans faim à condition que ce ne soit pas systématique. L'évolution et l'adaptation de ta faim se fera sur les autres repas. Il est aussi contre-productif de faire un régime des sensations alimentaires (ne manger strictment que quand on a faim par exemple) que de ne jamais suivre ses sensations alimentaires.
Bonne année à toutes. Ah si on pouvait faire des voeux et que ceux ci se réalisent, je sais lesquels je ferais...
En attendant, mon inconfort du moment, une langueur qui dure depuis pas mal de temps: mon énergie coutumière n'est plus là, envie de rien, sauf de trainer, de lire... d'ailleurs, je n'ai quasiment rien fait aujourd'hui, je crois que ça ne m'était encore jamais arrivé. Je ne sais pas ce qui se passe, peut être ai je trop travaillé dans ce dernier trimestre, il faut dire que j'avais l'impression de ne plus pouvoir m'arrêter.
Et bien, ça y est, pour ça j'ai arrêté, mais pas qu'à moitié. Il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps, tout ça!