activité physique une aide précieuse

c'est clair je n'ai plus du tout mal aux trapèzes maintenant

et même tout le monde me dit que j'ai grandi     vu que je suis déjà grande,  il ne manquait plus que ça !

ce matin 6 min d'elliptique,  je recommence progressivement

je suis motivée par une sortie à la montagne avec des amis, je ne veux pas être derrière et ne pas arriver à les suivre !!!

je croise les doigts que mes genoux acceptent de suivre !!!!   ils vont de mieux en mieux alors je teste régulièrement

eh bien moi ma prof de Pilates est formée à la méthode de Gasquet,  donc je peux dire tout ceci est génial

et d'ailleurs je me suis fait la constatation que je n'ai jamais réussi à 'accrocher' avec le sport jusqu'à entrer dans ce cours : j'y suis depuis trois ans et je ne loupe pas une séance

comme si je savais intuitivement, dans mon corps, que les abdos fessiers classiques n'étaient pas bons

et là, j'y suis, j'y vais

et.... je n'ai plus du tout mal au dos, ce qui bien sûr était la raison initiale de ma participation

sinon bravo pour les 10 000  pas

habitant à la campagne c'est très très dur pour moi d'en faire suffisamment

il suffit que j'aille en ville, par ex chez ma soeur, pour en faire facilement 6000 sans même y réfléchir, mais chez moi....  c'est très très peu,  rien n'est accessible à pied, en plus je bosse chez moi, donc......

c'est fou d'ailleurs comme ça agit sur le métabolisme

je vais essayer de me remettre au vélo elliptique, mais ça me portait sur le genou, qui ont été fragilisés chez moi il y a deux ans par une maladie

mais bon je vais essayer tout de même de m'y remettre très progressivement et voir ce que ça donne

j'avais acheté ce vélo pour compenser la sédentarité complète de mon mode de vie

Bonjour à toutes,

Je rejoins ce fil de discussion que je trouve fort intéressant !

A l'époque où je travaillais encore -- bien qu'ayant 48 ans, je suis à la retraite (retraite anticipée suite à des soucis de  santé) -- je faisais comme toi Nini :

- entre midi et deux, je faisais ma marche quotidienne : un (parfois deux) tour(s) à pied de l'université au sein de laquelle se trouvait mon lieu de travail, soit environ 20 mn ;

- étages montés et descendus à pied plusieurs fois par jour (j'étais au 6e étage) ; je le faisais avec plaisir... d'autant que je suis un peu beaucoup fâchée avec les ascenseurs (je souffre d'agoraphobie même si ça va aujourd'hui beaucoup mieux).

Quand on bosse et que l'on n'a pas spécialement de temps pour sortir marcher après le boulot, c'est une bonne solution. Faire le tour d'un parking ou d'une université ou du quartier pour marcher n'est pas la panacée, mais au moins cela a l'avantage de nous mettre en mouvement. Rester assise toute la journée derrière un bureau c'est dur. Téléphoner au collègue qui travaille à l'étage du dessous ou du dessus (voire dans le bureau d'à côté), c'est quand même aberrant quand on y pense ! Je faisais comme toi Ninie : je ne prenais pas le téléphone, j'allais voir les collègues. Aussi Ninie, je ne peux que t'encourager à fond à continuer tes tours de parkings et tes promenades entre les étages ! Surtout si tu as en plus un boulot stressant. Et qui sait, tu vas peut-être involontairement inciter des collègues à en faire autant (certains collègues se joignaient occasionnellement à ma petite sortie entre midi et deux ou finissaient par adopter les escaliers).

Maintenant que je suis à la retraite (mais néanmoins très occupée car trois grands enfants + grande maison + animaux + projet personnel de reconversion professionnelle), j'ai la chance de pouvoir aller marcher dans un cadre plus agréable puisque j'habite à proximité d'une forêt et que j'ai la chance d'avoir un petit chemin de randonnée qui passe devant chez moi. Mais je n'arrive malheureusement pas à sortir tous les jours tant s'en faut. Cela me frustre car j'ai vraiment un besoin très fort de marcher dans la nature. Mais j'ai tendance à faire passer le reste (la maison, les enfants etc.) avant moi... ; ceci explique aussi cela. Un peu comme si je ne me donnais pas le droit de prendre du temps pour moi (je travaille encore plus que lorsque j'avais une activité professionnelle).

Je n'ai pas de fitbit (j'ai un peu du mal avec tout ce qui est connectique :-D) mais j'ai quand même un podomètre qui, comme vous, me permet de me faire une idée du nombre de pas que je fais quotidiennement. Celui-ci varie selon les jours : entre 3000 et 7000 pas (sans compter les sorties marche) rien qu'en m'activant dans la maison ou le jardin. Mais bon, ce n'est pas suffisant, je souhaiterais moi aussi atteindre les 8000 voire 10000 pas par jour.

Hormis ces pas "intramuros :-D", je fais de la marche ou des randos dès que l'occasion se présente (forêt, campagne, montagne). Généralement avec mon homme, plus rarement toute seule. Je n'ai pas besoin de me forcer c'est pour moi un plaisir et un besoin quasi-vital. Je ne peux pas vivre sans espaces verts autour de moi.

En revanche, je ne suis pas bonne élève pour ce qui est sport en intérieur :-/. Je suis un peu comme vous : j'ai bien du mal avec toutes ces salles de sport hyperbranchées. Sauf que de toute manière, si je suis honnête, il n'y en a pas autour de chez moi :-D car j'habite en zone semi-rurale. En revanche, ma commune propose pas mal de cours... mais je ne me suis jamais bousculée pour y aller. Je ne suis pas très "activités en collectivité" mais comme le dit Ninie, je pense qu'il y a vraiment du bon dans ces cours sans prétention : c'est convivial, moins cher, pas loin de chez soi, cadré par un enseignant diplômé, etc. Il faudrait peut-être que je me bouge pour aller y faire un tour, ne serait-ce que pour voir comment ça se passe/à quoi ça ressemble. La manière dont tu en parles Ninie me dit que je devrais sans doute faire un effort, cela vaut sans doute la peine de dépasser mes a priori !

J'ai déjà fait du yoga dans mon village (yoga très très orienté méditation), et j'ai adoré/adhéré à fond. J'ai malheureusement mis cette activité en veilleuse car j'ai depuis 2 ans une arthrose lombaire qui vient m'enquiquiner par périodes. Bien que n'étant pas véritablement un sport, le yoga m'apportait beaucoup au plan psychique ; je pense qu'il peut d'ailleurs être un bon complément voire une aide précieuse (comme la méditation) pour les personnes qui comme nous n'ont pas un rapport "neutre" avec la nourriture, qui ont quelques soucis avec la gestion de leurs émotions. En écrivant cela, je me dis que je ferais bien de me remettre à la méditation. Je pratiquais un peu la méditation toute seule à la maison et cela me faisait un bien fou, m'équilibrait au niveau émotionnel : j'avais bien évidemment des émotions mais dans un format moins "XXL", je les gérais mieux. Même mon homme me dit que lorsque je fais de la méditation régulièrement cela se sent :-). Oh, je ne faisais que des petites séances (10 à 20 mn/jour) mais lorsque l'on a des journées hyper-remplies, même 10 ou 20 mn paraissent difficiles à caser. Et puis là encore, il est facile de se trouver une excuse "valable". Pour moi c'est le manque de temps. Ouais. Mais bon, si je suis honnête envers moi-même, je sais que méditer c'est se retrouver face à soi-même, ses émotions, ses sensations, et même si la méditation me fait un bien fou, ce n'est pas toujours facile. Au cours de mes premières séances (comme au cours de mes premières séances de yoga), j'ai failli partir en courant, prendre la fuite, avoir une attaque de panique. Mais pour fuir quoi ? Paniquer devant quoi ? Au début je n'ai pas compris cette réaction d'angoisse ; et puis j'ai saisi : se poser ainsi pour méditer ou faire du yoga c'est cesser d'être en hyperactivité. Or quand on est en hyperactivité, on est fort occupé, donc pas très à l'écoute de ses émotions, de ses sensations, bref on n'est pas face à soi... Et là tout de suite je me dis que je devrais sans doute profiter de commencer le programme LineCoaching pour me remettre doucement à la méditation. Ce n'est certes pas du sport (donc hors de ce fil de discussion), mais je pense que ça peut aider dans la démarche et au-delà bien évidemment.

Je suis très intéressée par les abdos dont tu parles Ninie. Je dois en effet renforcer ma sangle abdominale pour limiter les problèmes de mobilité/de douleurs induits par l'arthrose lombaire. Ma kiné m'a montré deux exercices (abdos profonds) que j'essaie de faire régulièrement et c'est vrai que cela me fait beaucoup de bien. J'aimerais aller plus loin, je vais me renseigner sur la méthode dont tu parles ; ayant eu trois enfants je commence moi aussi à avoir quelques petits soucis de périnée :-/.

Sinon, suivez-vous le programme activité physique proposé par LineCoaching ? 

Je vous souhaite à toutes une belle journée,

Corinne

Bonsoir Ninie, oui, j'ai une vision d'horreur de ces salles de gym. Une pub actuellement dans ma ville sur les abribus, une femme très maigre fait le poirier en mettant en "valeur" ses fesses, et le slogan du genre "c'set aps en restant assises deddus qu'on se fait de belles fesses". Pour moi, c'est rédhibitoire ce genre de truc. Tu as raison, il existe souvent des offres locales, municipales, parfois université populaire, toutes simples, sympathiques et abordables !

Adonon

Bonjour Ninie, 

se lancer dans le programme pour perdre du poids est sans doute la première motivation de beaucoup de personnes ici, et toute la comm' de LC se fait sur ce thème, c'est donc bien normal. 

Ma limitation physique ne n'était pas aussi sensible pour deux raisons : j'ai connu de grandes variations de poids, mais pas toujours corrélées aux mêmes variations de mobilité, en raison de divers problèmes de santé, et mon histoire personnelle a fait que j'ai mis très longtemps à "investir " mon corps comme étant le mien et capable de ressentir du plaisir, de la force, ou de la mobilité. Donc quand je dis que la perte de poids se traduit en gain de mobilité, c'est un raccourci !

Il a l'air bien, ton cours de gym, parce que les collants qui brillent et les justaucorps restent pour moi associés aux clubs de gym (alors que je n'en ai jamais fréquentés !!).

Quant aux virus, la saison est pénible pour ça, 

A bientôt

Adonon