Se motiver au quotidien
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Pffft en ce moment c'est si dur ...moi qui pensais avoir minci...j'étais toute excitée en montant sur la balance...et toute déprimée en descendant....j'aipris 4 kg...
mais pourquoi? j'ai sauté plein de repas car je n'"avais pas faim, réduit mes quantités j'ai fait pas mal de sport (j'en ai toujours fait je suis déjà musclée, c'est pas le poids de mes muscles!) le pire c'est que maintenant je suis mal en jupe rapport à mes cuisses qui se frottent ...quelle horreur j'ai tellement honte...moi qui croyais être sur la bonne voie, je suis vraiment déçue.
Y en a t il parmi vous qui on attendu longtemps avant de maigrir?
merci
Bonjour à tous,
Bon, voilà quelques semaines que je suis inscrite à Line Coaching. J'aime les principes, j'arrive les exercices et jusque là ça fonctionne plutôt bien. A froid, je parviens même plutôt bien à les faire, mais au moment des EME, toute ma bonne volonté s'envole sans aucune résistance. L'angoisse apparait, âcre, pulsant dans mon ventre, et je ne sais plus. "J'ai faim? Je n'ai pas faim? Qu'importe. Je VEUX manger", m'hurle quelqu'un du fin fond de mes entrailles. Je n'ai même pas le temps de lui demander pourquoi. C'est toujours un peu la même chose, là je suis fatiguée, là il y a de la compagnie, là je dois travailler, là je dois partir bientôt... Je crois grâce à mes séances de pleine conscience à froid qu'il s'agit de ma bonne vieille amie l'angoisse car je suis dans une période très chargée de ma vie et j'angoisse beaucoup à l'idée de ne peut-être pas parvenir à terminer tous ces projets en temps et en heure. C'est mon gros défaut, accepter toujours plus de projets que ce dont je suis capable puis être angoissée H24 à l'idée de ne pas parvenir à les terminer à temps.
Bref, voilà. J'en suis là, bloquée car je ne parviens pas à trouver la moindre once de volonté pour tenter un peu de pleine conscience pour essayer d'entendre mes EME sans me laisser submergée par elles. Je crois qu'au fond je me trouve de bonnes excuses pour ne pas avoir à me forcer à le faire. Quelqu'un aurait un conseil à me donner à ce sujet? Je suis preneuse.
[quote=Stern]
un petit bout de fromage, un petit bout de saucisse. Je les ai mangé en attendant que le micro-onde sonne. Sans rien faire d'autre que de goûter le salé et le fumé de la saucisse, la puissance du fromage. Puis, j'ai pris une grande respiration : je n'ai pas faim et je me sens déjà mieux. Alors j'ai pris mon thé et j'ai quitté la cuisine sans rien emporter d'autre à manger.
[/quote]
eh ben voilà c'est parfait !!!!! (ouh attention les perfectionnistes vont se réveiller!)
non mais c'est exactement ça !!!!
il ne s'agit pas de ne "surtout pas" manger par EME, mais de savoir se réconforter avec des quantités insignifiantes qui ne feront que modifier notre appétit au prochain repas et qui n'auront donc pas d'impact négatif sur notre santé
surtout tu étais vraiment en pleine conscience du goût et ça c'est puissant !!!
cela ne t'empêchera pas de continuer à avoir conscience de ce que tu ressens, car tu ne t'es pas anesthésiée
quand on s'anesthésie, on ne sent pas vraiment le gout, mais on s'alourdit
alors là c'était le réconfort par le gout, en pleine conscience
cela te permet de te réconforter (c'est bien) sans t'anesthésier
eh bien moi je dis chapeau !
bonjour,
je cherche des personnes , pour échanger avec elles au sujet des impacts de leur travail sur leur vie personnelle (équilibre global, stress, sommeil, alimentation).
en ce qui me concerne je bosse en milieu ouvert dans le domaine de la protection de l'enfance depuis une dizaine d'année et je trouve que le travail prend beaucoup de place dans ma vie...je suis très souvent stressée par le fait d'avoir manqué de temps pour voir untel ou unetelle aussi souvent que je le souhaiterais, et pour faire ceci et cela...
en fait j'essaye de compenser individuellement le manque de moyens ou de solutions adaptées;forcément à un moment donné je trinque!!
ce travail me passionne mais me met vraiment à l'épreuve car je voudrais être partout à la fois. du coup je passe pas mal de temps à me sentir coupable, alors même que j'ai bossé d'arrache pied auprès de telle ou telle personne.
Ce qui est en plus difficile à accepter c'est de voir que le service social est souvent cité par les médias, en fautif des drames qui ont pu se produire.
je ne dis pas qu'il n'y a pas d'erreurs ou de manquements, cela arrive, mais quel dommage qu'il n'y ait pas à côté de reportage sur ce que le service social esaye vraiment d'apporter aux familles en difficultés...
bref, au delà de ce débat de société, je voudrais vraiment avancer pour trouver plus de sérénité dans mon travail.Biensur, ces émotions ont vraiment des impacts sur ma façon de m'alimenter...
Y a t il d'autres personnes dans la même situation que moi?
Nous pourrions peut être nous soutenir?
bonne journée
salut!
Plein de courage Isage pour ces candidatures! ça m'intéresserait bien moi aussi de postuler sur le service d'accompagnement des familles d'accueil. Les places sont chères mais je guette!
Je viens ce week end de décider de faire une VAE pour obtenir le diplome d'assistante de service social qui m'ouvrira d'autres portes! et qui va aussi élargir mon regard, mes compétences, je suis contente cela me correspond bien.
et à plus court terme je tente de porter un regard bienveillant sur moi même...ce qui est loin d'être un réflexe ayant tendance à ruminer sur ce que je n'ai pas réussi à faire, dire comme je le souhaitais.
" la rumination empeche la cicatrisation psychologique naturelle des souffrances" dit Christophe André; j'aime cette phrase.
j'ai aussi réalisé que je passe beaucoup de temps à être en "surrégime", c'est à dire que je suis qqun qui a besoin de temps pour réfléchir, élaborer, formaliser et que dans mon boulot je cours d'une tache à une autre. Donc je ne respecte pas du tout mon rythme. Je vais donc essayer de prendre en considération avec bienveillance ce besoin de temps.
Izabelle , je suis d'accord avec toi quand tu dis que le fait d'exprimer "je ne sais pas" est vraiment libérateur de pression!
bonne journée
Médicalement au régime je suis, ou plutôt mon propre détective car les experts pour ma maladie ne courent pas les rues. Comme vous le savez, je souffre d' encéphalomyélite myalgique/ syndrome de fatigue chronique (ils pensent changer le nom: SEID (americain) systemic exertion intolerance disease).
Lien français si ça vous intéresse:
//www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Outils
/Syndrome_Fatigue_Chronique/Brochure_SFC.pdf
Il y a un docteur au Royaume-Uni qui se consacre pour cette maladie: Docteur Sarah Myhill. Elle a une grande liste d'attente, elle est submergee. Elle est connue pour dans notre monde de EM/SFC. J'ai lu son bouquin:
- Pacing: faire ce qu'on peut et prendre beaucoup de poses.
- Dormir de 8 à 9 heures minimum dans le noir mais bien noir. Au lit à 22.00 pour m'endormir dans cette heure-là.
- Supplements, je les ai commandé et je crois que c'est à peu prés ça: //www.drmyhill.co.uk/wiki/Nutritional_Supplements.
- Régime Paleo/stone âge: souvent la fatigue est liée à l'hypoglycémie et aux allergies..
- Éviter les infections.
- un grand ménage à virer les produits ménagers....
[quote=Maggali]Bonjour Pascaline, J'espère que ce régime et les recherches vont t'aider et surtout te soulager. Tiens le coup, même si je comprends la difficulté de ce genre de maladie, ma sœur a une fibromyalgie et souvent les gens ne se rendent pas compte de cette fatigue permanente, usante, épuisante physiquement mais aussi moralement. Je t'envoie plein d'ondes positives ;-)) Magali[/quote]
Même constatation avec la thalassémie (thalassémie mineure, heureusement), fatigue permanente car état d'anémie permanent contre lequel on ne peut rien
Je reviens encore une fois sur cette question de la restriction cognitive, dont je n’arrive pas à sortir.
Je me suis pesée ce matin, mon poids redescend lentement mais sûrement vers ce que je pense être mon set-point, au dessus duquel je suis repassée ces derniers mois. Et ma première pensée a été « que c’est long, il faut encore continuer les efforts, j’en suis à peine à mi-chemin ».
Ce qui signifie bien que je vis LC comme un effort, et donc +/- comme une forme de restriction…
Dans les faits, pourtant, (et c’est ce que j’ai corrigé mentalement), je ne fais pas d’efforts type régime : je perds réellement du poids en mangeant du chocolat, du pain, du fromage, en buvant de l’alcool, en prenant des apéros, etc, etc…
Alors pourquoi ma tête a-t-elle au fond toujours l’impression d’être au régime ? Et comment faire un « reset » et ne plus vivre mon alimentation actuelle comme « un effort » mais tout simplement comme « mon mode d’alimentation normal pour toujours » ?
Violette,
Je me permets de faire un copier/coller de ton message pour le faire lire à la seule personne à qui j'ai confié m'être inscrite sur le site. Tu exprimes EXACTEMENT et tellement bien ce que je ressens, c'est troublant.
MERCI, je te souhaite un bon week-end.
Je répondais au message de Violette du 14/02 mais apparemment je ne maîtrise pas encore toutes les subtilités du site ... Du coup, je vous souhaite à tou(te)s un bon week-end !
Bonjour, je suis toute nouvelle sur LC, mais j'ai beaucoup parcouru le site, et je trouve ça super. Je n'ai pas de très gros (!) problèmes de poids, mais les kilos s'accumulent petit à petit (+12 kg en 20 ans : faut quand même les porter), et comme la ménopause approche, j'ai peur que ça s'aggrave, et je souhaite donc agir.
Le problème, c'est que depuis toujours, dès que j'envisage de maigrir, j'ai l'impression que mon corps n'est pas d'accord. Même avant que je ne modifie mon alimentation, rien que l'idée : je me mets à avoir faim tout le temps, à être constipée, à mal digérer... Pourtant, je n'ai jamais fait de régimes, j'ai juste fait un peu attention pour ne pas trop grossir à certaines périodes. Rien que de l'écrire, juste là, j'ai le ventre qui gargouille sévèrement : ça me fait rire !
J'espère que les exercices sur LC vont réussir à convaincre mon corps que je ne lui veux pas de mal, que je l'aime bien au fond ! Je fais du yoga depuis septembre et je fais aussi des exercices de pleine conscience (Christophe André + les Méditations Guidées sur YouTube //www.youtube.com/user/cinnamonroll9 que je trouve supers).
Est-ce que vous aussi vous avez parfois l'impression de ne pas être "en phase" avec votre corps ?
Merci Noelle : oui, je ne suis que dans la phase d'observation, et effectivement, on ne change pas en quelques jours... mais parfois, on aimerait bien !
Je vais essayer d'être patiente alors...
Je suis tellement ravie par une récente expérience que j'ai envie de la partager avec vous !
Depuis 15 ans, je suis abonnée aux lumbagos à répétition. Aggravés d'une double hernie discale diagnostiquée il y a deux ans. Les connaisseurs me comprendront : c'est l'horreur. Des douleurs paralysantes, épuisantes. Des journées interminables allongée sur le canapé. Et tout le cortège des physios, des kinés, des ostéos, qui massent, tirent, poussent, arrangent, soulagent, mais pour que tout reparte de plus belle quelques semaines plus tard. Et bien sûr les antidouleurs, les antiinflammatoires, les relaxants musculaires, en comprimés, en gélules, en suppos, en piqûres : j'en ai une vraie pharmacie !
Et il y a quelques semaines, un ostéopathe m'a parlé de la table à inversion: un engin qui vous permet de vous suspendre par les pieds (pas complètement la tête en bas quand même), qui décolle les vertèbres (et autres articulations au passage) et envoie de l'oxygène, du sang frais, littéralement, dans tout le corps.
J'ai acheté, plus par désespoir que par conviction. Je fais le cochon pendu, donc, pas longtemps: 3 minutes 2 fois par jour. Je ne vais pas dire que c'est miraculeux, mais c'est quand même fantastique. Ma hernie, qui s'était bien réveillée, l'a mise en veilleuse. Je me sens infiniment mieux. Pratiquement plus de douleurs lombaires. Un bonheur.
Voilà. Rien à voir avec LC, tout ça. Mais quand même, qu'est-ce que ça fait du bien de ne plus avoir mal. Ça aide à gérer les sensations alimentaires !
je viens de voir mon kiné prêter la sienne à un patient....
de mon côté grace au travail de ce kiné-ostéo je n'ai plus d'inflammation sur la colonne
encore des contractures musculaires mais je continue mes renforcements posturaux
Bonjour,
Alors je suis le programme depuis plusieurs mois, avec plus ou moins d'assiduité car je ME consacre peu de temps même si j'ai conscience qu'il le faudrait. Deux jeunes enfants, un travail à temps plein prenant, etc
Actuellement une question me pose beaucoup de problème et j'espère que vous saurez m'aider.
Lors de ma dernière grossesse, j'ai présenté un diabète gestationnel. Aujourd'hui, 18 mois plus tard, les taux sont bons mais "limites", je suis nettement moins regardantes sur les sucre srapides par exemple, je mange ce qui me plaît (vive LC!)
J'ai reçu cette semaine une convocation du service diabéto qui m'avait suivi, pour un rdv fin avril, pour "faire le point". OK. dans le courrier est précisé que 55% des femmes ayant présenté un DG déclaraient un daibète de type 2 dans les 6 ans suivant l'accouchement..... Evidemment, étant donné le stress et la "douleur" quotidienne de devoir gérer un diabète, les dextros, etc, cette perspective est ultra effrayante. Je sais déjà quel sera le discours de mon endoc, perdre du poids, pratiquer une activité physique, JAMAIS au grand JAMAIS d'aliment sucré ingéré de façon isolée (ce que je fais aujourd'hui car rien de meilleur qu'un carré de chocolat ou un petit bonbon quand on a bien faim). Mon IMC est à 26, je vais avoir droit au discours culpabilisant, c'est sûr. J'en suis déjà à penser à la tenue que je porterais ce jour-là car dès qu'on met un pied dans le service, on est pesé (habillée) donc j'ai déjà en tête de porter une robe légère (= pas lourde).
Tous les matins en me levant j'y pense, en me disant "aujourd'hui, pas de sucres rapides, juste1 fruit comme on me l'a dit", et bien tous les jours je mange du gâteau, du chocolat, de la brioche... et je culpabilise A MORT!
C'est fou comme les vieux réflexes de la restriction refont surface.
Lorsque j'ai faim, je me dis que je peux encore attendre, et finalement j'ai tellement faim que je mange comme 4! ou alors je me dis "impossible d'avoir faim maintenant j'ai bien déjeuné" donc je ne mange pas mais suis obsédée par la nourriture.
Qu'est-ce qui est le plus important? avoir un poids normal (quoique cette endoc m'avait dit un IMC dans la fourchette mais à 22 c'est mieux! 22 n'ets pas mon set point c'est certain) mais avoir régulièrement des pics de sécrétion d'insuline car aliments sucrés pris isolément? elle m'avait dit que cela fatiguait le pancréas, donc la route vers le diabète de type 2 était toute tracée.....
Je suis perdue, je ne sais plus à quel saint me vouer.
J'ai écrit à la coach, qui me dit que je ne dois pas avoir d'aliment tabou, etc. ce n'est pas ça le pb.....
Quelqu'un peut m'aider?
oui moi aussi je suis allergique aux règles diététiques... mais depuis que j'ai reçu cette fichue convocation, j'y repense et me dit que j'en suis loin
je suis déstabilisée
oui, certains patrons, on va dire..... ceux qui donnent du boulot
ce qui a toujours été mon rêve
si je gagne au loto (ce qui ne rsique pas d 'arriver vu que je n'y joue pas), je créee des entreprises pour donner de l'emploi!
j'ai encore mieux recadré le gars, qui n'a pas confirmé un rdv, j'envoie un message pour qu'il se manifeste, aucune réponse bien sûr, donc je renvoie un message du style "étant donné votre absence de réponse, je consdière donc que vous ne venez pas au rdv du...." toujours aucune réponse
il va me trouver un peu moins arrangeante la prochaine fois...
son fonctionnement c'est de faire pleurer sur son sort, avec chantage affectif, puis de se fiche totalement de l'autre, un vrai enfant, en plus tout cela je lui ai déjà dit et à l'époque il avait progressé, mais bon je ne l'ai pas vu depuis 6 mois, moi qui pensait que du coup il allait mieux.... enfin il va quand même mieux puisqu'il a pu gérer des changements de vie importants, mais niveau relation à l'autre, c'est pas encore ça.....
je suis à deux doigts d'aller lui dire qu'il se trouve un autre psy....
oui !
la complicité et la bienveillance y'a que ça de vrai !
avec la fermeté qui cadre et qui rassure
depuis hier soir ma fille se mettait un stress haut de gamme parce qu'elle a fait une boulette au collège (oublié de rendre un controle)
donc ça a été l'occasion de discuter de l'imperfection
ce qui l'a aidé le plus, c'est de savoir que moi dans mes bulletins j'avais des remarques de type "bavarde en cours" "isabelle pourrait mieux participer" ou autre imperfection
et aussi mon image de défusion préférée..... wonderwoman qui se prend les pieds dans sa cape en tournant sur elle-même pour sauver le monde et qui s'étale par terre.....
ça l'a pliée de rire et ça lui a permis aussi de s'endormir
j'ai remarqué que la complicité aide vraiment l'enfant à mieux accepter ce qu'il ressent, parce qu'il voit que c'est humain, normal, presque anodin finalement
c'est bien pour les enfants hypersensibles qui sont très vite submergés par la force de leurs ressentis
pourtant les légumes c'est super bon !!! j'espère que tu continues quan dmême à en manger!
c'est vrai que si on s'est interdit certains aliments pendant des années, le programme conseille d'attendre, pour les réintroduire, l'étape qui y est consacrée, l'étape des aliments très caloriques
car ces aliments sont très rassasiants et c'est une habitude à prendre pour le sentiment de rassasiement sur ces aliments-là
c'est mieux de le faire dans l'étape pour ne pas exagérer sur les quantités