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Avancée puis Régression... à répétition

Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
17 avr 2012 à 15h

Je m'interroge sur un fonctionnement que je répète régulièrement.

Je m'explique : le week end dernier, j'ai vraiment mangé en fonction de mes sensations : faim, satiété, rassasiement spécifique. J'ai ressenti une très grande satisfaction. Je me suis délectée de cette sensation qui a duré longtemps encore dans la journée! Ce fut très agréable. J’avais en + cette estime pour moi d'avoir pris la décision d'arrêter de manger parce que je n'avais plus faim, cette douce satisfaction de m’être respectée.

Mais depuis hier, je mange + au-delà de mes sensations, je ne les respecte pas. Alors certes, j'ai eu une contrariété, j'ai eu une eme et même le soir lors du repas, je suis allée au delà de ma faim. Je le savais mais je n'avais pas envie de pratiquer l'eme-zen, j'avais juste envie d'éviter l'émotion, de ne pas aller la voir. J'avais l'impression de me bouder ! Dans ces moments là, intellectuellement je me dis qu’il y a une émotion, je peux même la nommer mais je n’ai pas envie d’aller la voir, d’aller l’accueillir. Là où mon mental est pervers c’est qu’il est capable de dire « tu es en colère, prends cette colère en considération » et de dire « je m’en fiche j’irai pas faire d’eme-zen, je m’en fiche je mange un point c’est tout ». (ah oui je sais mes dialogues intérieurs sont assez drôles).

*****

En ce qui concerne le déclenchement d'émotions pénibles de hier, j'en suis là : Petit à petit, je reviens vers les exercices de pleine conscience, je me remets à mon écoute, je vais voir mes monstres intérieurs qui s’avèrent être en mousse (oui oui je parle par expérience, ils sont en mousse je vous assure), je finis par accepter telle ou telle émotion. Là, par exemple, je sais que la contrariété que j’ai eu et qui me provoque de la colère et de la lassitude, je vais mettre du temps à les « digérer » alors je fais profil bas, j’essaie de ne pas trop être exigeante avec moi : j'essaie de me pardonner si je mange trop, je prends du recul et me vois avec bienviellance, parfois avec de la taquinerie quand je me vois faire, je me dis que je fais du mieux que je peux, j'essaie de ne pas m'appliquer la double peine (déjà que la situation est difficile, je ne vais pas y mettre des jugements de valeur négatifs en +). Bref, j'essaie de me remettre en question mais pas en cause.

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Problème d'avancée et régression :

Ce que j'ai remarqué c'est que même lorsque je suis à mon écoute, que je respecte vraiment mes sensations sur, mettons pendant 2 jours, après, pendant quelques jours je vis une sorte de régression, qu’il y ait eu contrariétés, déclenchement d’émotions pénibles, EME ou pas !. Je n'arrive pas à me l'expliquer. Une hypothèse possible : une part de moi refuse le changement. Elle est ancrée dans un fonctionnement qui a duré plusieurs années, certes qui ne me convient plus, mais comme elle ne connait que ça, elle me fait replonger.

Pouvez-vous m'aider ? Avez-vous des conseils ? En vous remerciant

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30 commentaires

Saouler ? j'adore cette citation ! qui répond bien à mes "monstres de mousse" comme dirait Joilieronde. un livre de plus à rajouter dans la liste ?

bonjour

cela me fait penser à mes enfants. j'ai remarqué qu'à chaque crise de croissance ils semblaient régresser (sucer le pouce, parler bébé etc..) et ils demandaient plus de câlins. Je vis la même chose à chaque avancée je recule d'un pas. Changer nous fait perdre l'équilibre. Comme un enfant qui apprend à marcher ce n'est pas facile mais avec le temps il y arrive. Je me dis souvent quand je craque que je mange trop alors que la veille j'ai été raisonnable : "ce n'est pas grave, tu recules un peu pour mieux sauter" et ainsi je progresse lentement en prenant de l'assurance. J'essaie de me faire plaisir autrement que par la nourriture. Je redécouvre le plaisir de lire, de coudre, de méditer. J'ai l'intention d'aller marcher un peu chaque jour mais cela me coûte. Je redécouvre la force la méditation et vous partage ma découverte du moment:

      "Sénèque pensait qu'un bien que l'on craignait de perdre n'en était plus un. Or je redoute de mourir, de voir disparaître mes proches. Partout, je ressens la précarité de l'existence. En savourant les rires de mes enfants, en apprenant que la maladie frappe une nouvelle fois un ami, je cherche à tout prix un confortable refuge. Mais que faire de cette soif de sécurité que je ne pourrai jamais satisfaire? Comment puis-je envisager plus librement l'avenir? Peut-être, dans un premier temps, en renonçant à l'illusion qui me fait croire que je suis à même de tout maîtriser. Comme disait Épictète, certaines choses dépendent de moi, et d'autres pas. La sagesse peut faire ici ses premiers pas. Méditer chaque jour cette distinction me permet de concentrer mes efforts sur ce que je peux réellement accomplir.

[...] « J'aurai la force », c'est croire que l'existence, bien que fragile, me prodiguera, le moment venu, les ressources pour surmonter l'épreuve. Certes, aujourd'hui, je me sens incapable d'affronter ma finitude, mais j'aurai la force. Conscient que la vie demeure un perpétuel changement, je m'avance vers l'avenir les bras ouverts, sans vouloir tout deviner, tout maîtriser. Il s'agit avant tout de se méfier de l'imagination, qui grossit la réalité et crée des dragons là où il n'y a que des épreuves. Seule la confiance connaît les règles du jeu, Si elle se souvient des faux pas et des blessures, elle sait aussi que la vie est toujours nouvelle, qu'il ne faut rien figer dans la généralité. Je ne me réduis pas à mes échecs et, chaque jour, je peux inventer une voie inédite.Lucide et libéré des réflexes sécuritaires, je m'ouvre à l'avenir avec mes craintes, mes manques et je m'abandonne pas à pas. En composant ainsi avec l'existence et sans renier le pouvoir qui est le mien, je puis tout mettre en œuvre pour épouser le cours de la vie.  "                                       Alexandre JOLLIEN

j'espère ne pas vous saouler avec mes réflexions

bon courage à nous !

bonjour à toutes,

j'adore l'image de l'éléphant, ça correspond tout à fait à ce que je ressens. Pour moi ausi il y a les phases où j'avance et celles où j'ai peur de tout envoyer ballader. je me suis penchée la-dessus quand je me suis rendue compte que perdre mes kilos pouvait me faire peur. Je me suis demandé ce que je redoutais tant de perdre et là j'ai trouvé à quelle illusion mes kilos me permettaient de me raccorcher.

En clair, mon surpoids me pose, en impose dans ma relation aux autres. Il me donne l'impression d'être forte, affirmée, ce que justement je ne suis pas. Si je perds cette façade de chair, que restera-t-il ? moi sans défenses, vulnérable. J'ai donc décidé de m'attacher à travailler ce problème d'affirmation pour me rassurer en reconnaissant que les kilos me protègent mais que je n'ai plus envie de cette armure encombrante, et surtout illusoire vu qu'elle cache ma misère, je veux vraiment la faire tomber, quitte à accepter ma misère et apprendre ensuite à me rendre plus forte de l'intérieur.

c'est là que les conseils sont bienvenus pour renforcer son estime de soi, apprendre à s'affirmer.

Je suis d'accord pour dire que les avancée -régressions font partie de tout processus d'apprentissage mais ça apporte toujours de s'interroger sur la cause des régressions. On ne peut pas faire l'impasse sur le désir contradictoire de maigrir et en même de tenir à ses kilos ou à ses habitudes alimentaires : en général on connaît mieux le premier et on n'a pas trop envie de voir le second pourtant un éléphant ça devrait pouvoir se remarquer. Le problème c'est qu'un éléphant, ça trompe, ça trompe énormément...

Merci beaucoup pour cette discussion enrichissante. Jolie ronde, j'aurai pu écrire ton post, toujours ce mouvement d'avancée et de régression. Ca me rappelle une petite chanson pour la marche "trois pas en avant, trois pas en arrière, trois pas sur le côté, trois pas de l'autre côté"... j'imagine que l'avancée/régression fait partie de tout processus d'apprentissage et qu'il faut s'en accomoder, mais ce n'est pas facile, bon courage à toutes et à tous!

Déjà, Jolieronde, merci d'avoir ainsi répondu individuellement. Quel courage ! Je ne le fais jamais, par manque de temps, fatigue, mais c'est appréciable.

Ensuite, j'aimr beaucoup ton idée d'empathie. J'essaye déjà de me dire "pense à toi, parle-toi comme tu le ferais à une amie" donc avec indulgence :-) Mais c'est vrai aussi que l'empathie passe par la sollicitude sans pour autant se fondre dans l'émotion d'autrui.

Quant à l'éléphant de Tamar, derrière quel brin d'herbe se cache le mien ? Eléphant, hou hou, fini de jouer à cache-cache. Je t'adore, mais si tu retournais dans ta savane ?

Tout ça me parle bien. merci pour la richesse des échanges !

Pour les bouquins ou autre cd en anglais..

J'ai trouvé "intuitive eating" par deux américaines... Je suis au cd 1 sur 4.. une pure merveilleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Jsutement ça parle d'avancée et de régression

ça dit aussi jette ta balance

et arrêtons d'être en mode Régime (ce qui es tbien ou pas bien de faire ou de manger etc etc)

Bonjour à tous, je suis exactement dans la même situation, de belles avancées avec la compréhension de ce qu'il m'arive, et des reculs lors d' eme tellement violentes que je ne parviens pas à gérer autrement que par la nourriture.Ce problème dure depuis tant d'années , il est peut-être normal que l'on ne sache s'en défaire si facilement.

Merci à toutes pour ces échanges d’expérience et vos soutiens, ça aide :)

 

@ Juliaan

Non, dans ces périodes là, justement je n’ai aucune pression. Je ne suis pas dans le « trop bien faire » à ce moment là. Je vis ces moments là au + proche de moi de manière agréable et quasi intuitive. Je vis ça comme une expérience et je profite de l’instant présent. Ce n’est pas le mental qui commande mais bien mon corps.

 

@ Pommedereinette

Le seul effort que j’ai à fournir dans ces moments là est de prendre la décision d’arrêter car il reste la tentation (ce que j’ai mangé était super bon !). Cette décision se fait en douceur, je ne suis pas en lutte. Je suis au clair avec moi à ce moment là. Pour répondre à tes autres questions, je ne me demande pas vraiment si j’ai encore faim, c’est quasi intuitif. Le fait de respecter ma faim et ma satiété ne me demande pas vraiment d’efforts, je suis juste à mon écoute. Je me suis délectée de ces moments là car c’est récent comme expérience ! Je me suis aperçue que justement je n’avais pas à me poser de questions, que ça ne passait plus par le mental. Mais je reste très prudente car ce n’est pas du tout le cas tous les jours.

 

@ Gigi

« force ultra-conservatrice qui refuserait le changement. »   mdr !  C’est quasi politique comme terme mais l’idée est là :D Je suis assez d’accord avec toi, ça fait partie d’une de mes hypothèses.

J’ai eu un fonctionnement pendant des années qui ne me correspond plus aujourd’hui, mais une partie de moi m’entraine encore sur ce terrain. C’est connu donc tellement plus rassurant. Le changement fait peur. J’essaie de ne pas lutter contre cette peur, au contraire, j’essaie de la prendre en considération, de lui faire une place sans pour autant lui donner toute la place ! De ce fait, elle parait moins effrayante et devient diffuse. Comment faire ce travail ? En étant douce, indulgente avec moi. J’agis avec moi comme j’agirai avec une amie en difficultés. Je serais présente, à son écoute sans forcément être une éponge (c'est-à-dire si elle pleure, je ne pleure pas avec elle sinon on se retrouve à deux au fond du gouffre !). Et bien, j’essaie de me traiter en amie. Ça parait super joli ce que je dis mais c’est pas vraiment évident parfois.

 

@ BIL

« Il me semble difficile lorsqu'une émotion ou une contrariété apparaît de décider de faire une eme-zen en espérant que ça passe. Non seulement ce serait trop facile mais j'ai tout simplement l'impression que j'ai envie ou besoin de la vivre et de la ressentir et que je ne veux pas l'accepter grâce à une rpc. Je veux la comprendre, la gérer et la solutionner. »

Oui c’est difficile mais les exercices tels que l’EME-zen ne sont justement pas là pour « espérer que ça passe », pour contrôler. Justement, Ils permettent (ces exercices) de vivre, ressentir l’émotion, de lui faire une place en nous-mêmes sans fusionner pour autant avec elle, sans qu’on se la fasse sienne.

Je te rejoins sur le fait que parfois on n’a pas du tout envie de l’accepter grâce à une RPC et de vouloir intellectualiser. Et oui, nos résistances, notre égo sont des coriaces ^_^ Mais patience smiley

Je t’invite à ne pas te mettre « la double peine », c'est-à-dire à considérer le fait de ne pas lâcher-prise comme un gros problème. Déjà que ce n’est pas facile à vivre, surtout du moment qu’on en a pris conscience, mais il me semble que ce n’est pas la peine d’y rajouter un jugement de valeur négatif, tu vois ce que je veux dire ? J De toute façon le « lâcher prise » ne nous appartient pas, c’est le propre du lâcher prise ! On peut mettre des actions en place au quotidien pour l’inciter mais lorsqu’il arrive ce n’est pas nous qui l’avons décidé. Ce n’est pas évident à accepter. Donc, et je dis ça pour moi, autant se concentrer à nos exercices au quotidien sans essayer de trop intellectualiser, se poser trop de questions et y aller en douceur. Tu peux te remettre en question, pas en cause smiley

« Que voulez-vous dire, toi et tes correspondantes, par attendons la réponse des docteurs; comment les questions leur parviennent-elles et où trouve-t-on les réponses » à j’ai posté sur le topic qui s’appelle « Vos questions à Gérard Apfeldorfer et à Jean-Philippe Zermati ».

« je crois qu'il y encore beaucoup à découvrir mais je ne maîtrise pas bien ce genre de programme; je me limite souvent à l'essentiel. » à ça va venir smiley En +, le site est + étoffé qu’il y a quelques mois (je suis arrivée en aout 2011), donc je pense c’est peut-être moins évident pour les gens qui sont arrivés récemment, car il y a beaucoup d’infos. Je comprends que le forum, avec sa multitude de sujets peut déstabiliser. Chaque chose en son temps smiley

« Bon, eh bien je vois que je n'ai pas aidée du tout, je ne t'ai donné aucun conseil; c'est plutôt toi qui m'a aidée à réfléchir! Désolée, j'essaierai de faire mieux la prochaine fois. » -à oulala que tu es dure avec toi ! Tu sais, je ne recherche pas forcément de conseils. Chacun arrive avec ses expériences, ses témoignages, ses facilités, ses difficultés. Je trouve que les échanges sont souvent riches d’enseignement et jamais je ne me placerai au-dessus de quelqu’un ou le jugerais sur ses dires, faits et ce qu’il ressent. Je suis sûre que tu fais bien au quotidien, mais vas-tu accepter de le voir ? smiley

 

@ Libellule2

Je ne sais pas si un des deux docteurs répondra ici car hier soir au tchat, nous avons commencé à aborder le sujet. Peut-être que nous aurons un topic, ou un article consacré à la perennisation de nos apprentissages, leurs durabilités.

 

@ tamar

Merci ! Je suis en train de faire une réponse personnalisée à chacune et je tombe à l’instant sur ton sujet de réflexion. Ah ben me voilà avec un bel os à ronger mdr !! Je vais relire tout ça. Alors où qu’il est mon éléphant hein ? :D Je vais « méditer » tout ça smiley Et ensuite essayer d’arrêter d’y penser, d’intellectualiser et la réponse arrivera. C’est régulièrement comme ça que je fonctionne. Je me suis aperçue que je ne maîtrisais quasiment rien dans la vie donc bon, autant laisser travailler d’autres forces que les miennes !! C’est déjà assez dur comme ça ^_^

 

****

D’une manière générale, entre tout ce qui a été dit ici, hier soir sur le tchat et sur d’autres topic.

Il me semble que je fais encore trop une fixation sur le poids « chiffre », ensuite que j’ai peur de grossir-maigrir. La pérennisation de mon apprentissage va certainement passer par un travail à ce niveau là.

Ces « avancées-régression » font partie du processus finalement, je me dois de faire preuve de patience, d’indulgence et peut-être aussi d’humilité car finalement il y a des choses qui ne m’appartiennent pas, qui se déclenchent, qui s’acquièrent sans moi (remarque, une fois que j’ai accepté ça, c’est vachement soulageant comme système !). Un apprentissage, une rééducation ne se fait pas du jour au lendemain cela dépend de son histoire, du contexte, de notre personnalité, etc.

Autant me consacrer à mes progrès acquis (aussi faut-il les voir ^_^), à mes apprentissages au quotidien. Le reste se fera tout seul. Vivre tout ça comme un voyage, une expérience, une aventure, c'est régulièrement ce que je me dis car je trouve ça attrayant, avec un côté excitant parfois, un côté jeu aussi qui me plaît. Je dis ça aussi pour m'encourager car il y a une partie de moi qui est en peine. Tiens, si j'allais me bichonner ? ^_^

En tout cas, ce sujet "d'avancées-régression" reste ouvert à la réflexion, aux échanges et à l'expérience. Il me semble faire partie d'un travail sur la perennisation de notre apprentissage avec ce que cela implique en résistance, peur...

Bien à vous toutes et sincèrement, je nous trouve sacrément toutes belles à vivre cette aventure.

JolieRonde, j'ai eu récemment un éclair de lucidité grâce à un podcast américain que j'aime beaucoup et qui rappelle LC par bien des côtés (encore que pas identique). L'auteur (Renée Stephens) dit (entre beaucoup d'autres choses) que le désir inconscient de ne pas maigrir, le blocage, provient toujours d'une intention positive. A nous de découvrir quelle est l'intention positive qui se cache derrière nos blocages. Style peur de séduire, désir d'obéir à une injonction entendue dans l'enfance et prise au pied de la lettre, crainte d'avoir à changer toute sa garde-robe, n'importe quoi de ce genre. A la question de savoir comment on découvre l'identité de son intention profonde, elle répond: c'est ce qui vous crève les yeux, qui est comme un éléphant devant vous et qu'on refuse de voir (un éléphant? ah bon, quel éléphant ?). A partir du moment où on a identifé son éléphant, il faut dire merci à l'intention positive (c'est très important, paraît-il, de la remercier), et lui expliquer gentiment qu'elle a eu son utilité mais que maintenant on va attaquer ce problème de façon différente. Merci, me garder grosse était une bonne solution en effet, mais il y en a peut-être une autre que je vais essayer maintenant.

Je sais que ça peut paraître beaucoup de blabla, mais il se trouve que très récemment j'ai eu l'éclair de ce qu'était mon éléphant (et crois-moi, c'était vraiment un mamouth !) - et depuis je me sens beaucoup mieux. C'est peut-être une recherche qui t'aiderait. Bon courage, car il en faut.

Tu sais quoi? Moi aussi je boude, na! wink