Découverte intrigante et étonnante
Bon ... sur le conseil de Courtepatte (merci merci ;-)), je viens poster ici le dernier billet de mon blog car je patauge un petit peu, et j'aimerais avancer avec la découverte que je viens de faire ... Toutes les pistes de réflexion et d'action sont les bienvenues :-).
Ca fait bien longtemps que je n'ai plus lu, ni écrit sur LC, pourtant, je suis toujours là, et bien là.
J'avance lentement, trèèèès lentement, et je ne vois pas la balance diminuer. Je ne dirais pas que je perds en motivation, par contre, je crains de ne jamais y arriver vraiment ... mais ne le fais-je pas exprès ? J'en viens à me poser la question (mais je creuserai celle-ci plus tard ... une chose à la fois).
Dans ce contexte psychologique un petit peu dépité, je viens de faire une découverte étonnante et intrigante ...
Jusqu'ici, la seule chose que j'arrive réellement à faire du programme, c'est la Pleine Conscience :
- la respiration en Pleine Conscience ,
- les étirements en Pleine Conscience ,
- la marche en Pleine Conscience
- et la toile de Pleine Conscience.
J'en suis à un point maintenant, où je m'amuse à tester : prendre ma douche en Pleine Conscience, m'habiller en Pleine Conscience , faire la cuisine en Pleine Conscience, faire des copies en Pleine Conscience, faire des réunions en Pleine Conscience, donner la main aux enfants en Pleine Conscience, etc.
Au début, lors de la mise en place de la PCS, je ne faisais attention qu'aux moments où j'étais vraiment "connectée" à moi-même, à mes pensées, et à mes sensations car, étant nouveaux pour moi, ils étaient courts et rares. Du genre : "Ah tiens, là, pour le moment, je suis en pleine conscience en fait", et le reste fonctionnait en pilote automatique.
Et là, depuis quelques jours, et ça m'a "frappée" vendredi dernier, c'est tout le contraire. Je découvre soudain avec objectivité les moments où je suis déconnectée. Ils semblent devenir plus rares, et c'est comme si je les remarquais plus. Avant c'était tout l'opposé !?
Et ce qui me percute et me chamboule le plus, c'est que je viens de réaliser que ces (seuls) moments de "déconnexion" sont ceux de mes repas !?
Je commence à manger mon plat, et hop, mes pensées se bousculent, je passe d'un truc à l'autre dans ma tête, tout en mangeant, mais en ne réalisant pas ce que je mange, ni comment je le mange, comme si mes pensées venaient me détourner exprès, exactement comme les premières fois où j'ai essayé de faire de la respiration en Pleine Conscience et où le moindre bruit, la moindre pensée, la moindre chatouille, la moindre émotion, la moindre sensation désagréable, me détournait de l'exercice.
Je n'en reviens pas car moi qui adore tellement la nourriture, la cuisine, les goûts, les saveurs, en fait, inconsciemment c'est comme si je fuyais les sensations qu'ils pourraient me procurer en bouche !? C'est comme si je ne pouvais pas en profiter. Comment est-ce possible ?
Alors j'ai aussi remarqué que c'était plus intense quand je mange seule, et encore plus lorsque je mange seule à mon bureau (et que je ne vais pas au restaurant d'entrprise avec mes collègues) … je ressens alors une sorte de sentiment de culpabilité, comme si manger était une bêtise. Cela me fait manger vite, comme une "voleuse", et sans aucun plaisir alors que s'il y a bien quelque chose que je recherche (en principe) dans la cuisine et dans la nourriture, c'est bien ça !
C'est étrange car cette découverte n'est pas en soi si extraordinaire, notamment car c'est là sous mon nez depuis si longtemps, mais pour moi, ça me fait l'effet d'une bombe car ça me paraît invraissemblable, illogique ...
Alors je suis super contente d'avoir découvert ça, c'est bien la preuve que ça bouge, que ça avance ... mais j'en fais quoi moi maintenant ? Je sais que je vais devoir recommencer plusieurs fois et approfondir l'étape de la dégustation, mais pour le moment, je n'y arrive pas vraiment. Oui, une fois ou l'autre dans le cadre d'un exercice, mais pas lorsque je suis en "mode libre". J'aimerais comprendre POURQUOI je fuis mes sensations alimentaires.
Avez-vous des idées ?
Un tout grand merci de m'avoir lue :-).
Belle journée à tous.
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Répondre
Isana, ça me parle complètement à moi aussi !
Toujours commencer par les corvées, par exemple, et oui, bien sûr, à la fin, pas une minute pour soi... Je lis avec attention le fil sur le lâcher-prise, sans participer parce que ça me parait encore pas posible, de lâcher le contrôle que j'essaie d'avoir sur tout. C'est-à-dire : tout est parfaitement sous contrôle dans ma vie, au prix d'efforts assez consiédrables, sauf l'aimentation, zone de lâchage dans laquelle je n'ai pas ou peu de contrôle.
Ne pas arriver à se faire plaisir quand on s'imagine épicurienne, manger pour ne pas se retrouver seule face à moi-même : dans tout ça aussi, je me retrouve à 100%. D'ailleurs, manger seule sans rien faire d'autre, je ne sais pas faire pour le moment.
Il y a encore de sacrés zones de travail !!!
Dans le même ordre d'idées, j'ai réalisé récemment que face à une assiette composée de différents ingrédients, je commence par ce que j'aime le moins, pour "garder le meilleur pour la fin". C'est juste un gros piège pour ne pas écouter ma faim et ma satiété, cette histoire, puisque ça veut dire que avant même de commencer, je sais que je vais finir mon assiette...
Bon, ce n'est pas en lien direct avec "ne pas assez s'écouter", mais ça m'y a fait penser.
Isana, c'est super toutes ces découvertes, je pense que ça va être capital pour toi ! Pas grand chose à ajouter à ce qui a été dit mais tu as de belles pistes je crois.
Merci beaucoup les Filles pour toutes vos interventions, elles me sont vraiment bénéfiques :-).
@ Izabelle : non, je ne pense pas que tu t'avances trop loin ;-) ... je suis convaincue en effet qu'il doit y avoir quelque chose qui me fait peur d'être confrontée à ce "moi qui mange", mais les mécanismes de "défense" semblent bien ancrés car j'ai du mal à distinguer ce que ça pourrait être. Mais ta notion de "danger" lorsque je suis face à mes émotions me parle beaucoup car je viens d'une famille où elles n'avaient pas leur place. Surtout ne pas troubler l'ordre établi, surtout pas d'excès de joie (ça fait tache), surtout pas d'expression de la colère (tu n'as pas le droit d'être en colère ma fille, après tout ce que nous avons fait pour toi), ne te montre pas triste à l'enterrement de ton grand-père (ça ferait encore plus pleurer ta grand-mère et puis tout le monde se mettrait à pleurer, et tout ça ça ferait désordre), etc. Alors avec tout le travail que je fais sur moi depuis des années, et encore plus depuis le début de LC, j'apprends à accepter le fait que c'est normal de ressentir des émotions. Je me rends compte que dans la majorité des cas, ça va mieux. Mais ça persiste à coincer quand je mange ... pourquoi, j'aimerais le comprendre.
@ Monia : merci beaucoup pour tes pistes de réflexion J. J'y ai beaucoup réfléchi, et oui, oui, oui, j'adore vraiment la peinture, la lecture et la guitare (entre autres). J'en suis convaincue. D'ailleurs, j'ai débuté la guitare sur le tard, il y a seulement 2 ans (à 34 ans) … au grand étonnement de plusieurs personnes de mon entourage, dont mon ex-mari qui n'a rien trouvé de mieux à me dire que "Mais qu'est-ce que tu as encore inventé de nouveau !" … C'est quelque chose qui me trottait en tête depuis mon adolescence et grâce à mon travail avec ma thérapeute, je me suis dit que j'y avais droit, que ça me tenait à cœur et donc, que c'était tout à fait normal, légitime, quelque soit mon âge. Par contre, ce que j'ai découvert grâce à ton intervention, c'est :
- Je culpabilise de jouer, donc de me faire plaisir,
- J'ai peur des résultats et d'être confrontée au fait que je n'y sois pas douée (satané hyper perfectionnisme),
- Ce qui entraînerait le point 3 : je ferais d'abord passer toutes les corvées (et je m'en rajouterais sans cesse), pour m'empêcher d'échouer ?
@ Hellome : tu as tout à fait raison, nous rejoignons ce qui avait été dit dans ton post. Merci pour le lien, car comme je ne me connectais plus au forum depuis de nombreuses semaines, je n'avais pas pu en profiter J. Je l'ai trouvé très, très instructif à lire. Mon problème à moi, c'est que j'ai bien plusieurs passions (on peut même dire que j'en survole plusieurs par phases répétitives et cycliques, au gré de mes envies et idées du moment), mais que je ne m'en accorde pas le temps.
@ Mavo : oh lala, je me retrouve tout à fait dans ce que tu dis concernant la composition des assiettes :-s. Moi aussi je garde le meilleur pour la fin (alors que je devrais garder le meilleur pour la faim ;-) ?), ce qui fait que je ne m'accorde de nouveau pas le plaisir de manger puisque lorsque j'arrive à ce "meilleur", je n'ai en fait plus vraiment faim ! Est-ce que ça n'ancre pas le principe de l'aliment tabou puisque ce qui est bon, est mangé en culpabilisant de manger trop ?
@ Lyphaé : oui, tu as raison, je suis bien contente de ces découvertes J. Elles me secouent un peu (un petit peu comme si, jusqu'ici, je me voilais la face, alors que je pensais plutôt être quelqu'un qui ne craint pas la remise en question), mais je sens qu'il y a là un fameux nœud à décoincer :-P.
Depuis ces quelques jours d'introspection plus intenses, je réalise que je culpabilise de me faire plaisir, vraiment. La clé se trouve quelque part par là. Je culpabilise d'avoir des loisirs. J'ai toujours la sensation que je ne peux m'en accorder qu'une fois que j'ai rempli toutes mes tâches, tous mes devoirs. Mais d'où est-ce que ça vient ? Et il est clair que, dans le même ordre d'idées, je culpabilise de manger et d'y prendre du plaisir. Culpabilité au plaisir … beh mince alors … pour une épicurienne :-P.
Je continue donc de creuser car je ressens le besoin de comprendre ce qui se cache derrière tout ça et que c'est ça qui me permettra d'avancer.
Merci à toutes encore une fois, car ce sont vos témoignages et ressentis qui me permettent de "tester le système" ;-).
Bonjour Isana... et les autres !
Avant j'étais comme vous ! Je galopais dans tous les sens et étais prèsente sur tous les fronts... Mais ça c'était avant !
Les enfants ont grandi et sont partis de la maison... petite déprime mais bon rien de grave lol
Je pense que le moment où j'ai vraiment percuté que la vie est trop courte pour passer à côté sans s'occuper de soi c'est quand j'ai changé de métier. Evidemment je ne vous dis pas qu'il faut changer de profession
Il y a 6 ans je suis devenue aide-soignante et là j'ai eu comme un choc ! Je ne voulais pas me retrouver dans un lit à 50 ans sans avoir pris soin de moi et profiter de la vie... Vous comprennez ce que je veux dire ?
Mon mari, qui est hyper cool, a applaudi des deux mains à ma prise de conscience et mes enfants sont ravis quand je leur dit que je suis allée faire du shopping avec une amie ou visiter une expo...
Pour pouvoir donner du temps aux autres de façon positive, je crois qu'il faut d'abord savoir s'en accorder à soi-même et sans culpabiliser
J'ai l'impression que nous avons été formatées pour culpabiliser ! c'est terrible !
Sur ce je vais aller petit déjeuner car je commence à avoir faim lol
Bises à toi Isana et aux autres aussi d'ailleurs
Bon courage
Merci Nicky pour ton intervention :-).
[quote=NICKY]
Pour pouvoir donner du temps aux autres de façon positive, je crois qu'il faut d'abord savoir s'en accorder à soi-même et sans culpabiliser
J'ai l'impression que nous avons été formatées pour culpabiliser ! c'est terrible !
[/quote]
Tu as tellement raison !
D'où vient toute cette culpabilité ? Mon voisin de bureau me prétend que cela vient de notre culture judéo-chrétienne ... mais c'est tellement puissant que ça ne peut pas être que ça quand même ? Je rencontre tellement de personnes qui ne culpabilisent pas, et qui ont, pourtant, la même culture que moi ? Souvent des hommes d'ailleurs. Le mien sait tout à fait prendre sa guitare et s'asseoirt pour jouer un petit peu, même s'il est sensé descendre faire tourner une machine à laver, vider le lave-vaisselle, et donner le bain à son fils ... le tout, sans culpabiliser le moins du monde ! Alors pourquoi est-ce que moi je n'y arrive pas ?
salut à tous, je vous indique le lien vers une discussion que j'avais initiée //www.linecoaching.com/content/les-nourritures-spirituelles
il me semble qu'on cause de ce dont vous parlez !
sinon moi aussi je suis épicurienne (officiellement) mais moi aussi je suis incapable de manger calmement, j'expédie. Par exemple j'ai réalisé que qd je mangeai j'avais carrément des tensions dans toute la nuque et le haut du dos, je suis crispée en fait oO
J'ai moi aussi je crois un travail à faire sur l'immense culpabilité d'ingérer un aliment. Ce n'est même plus DES interdits alimentaires, mais UN interdit GENERAL alimentaire.
Merci pour ce post il m'aide à y voir plus clair, vraiment !
Oui Courtepatte ... grâce à toi ;-). Merci :-). Il y a de fameuses pistes, en effet !
Merci Mavo pour tes précisions ... je pense qu'il est temps que je m'offre ce livre mdr ;-).
Sinon, à force de réfléchir et de se remettre en question, il finit toujours par ressortir quelque chose. Du coup, autre constat aujourd'hui : en fait, je n'arrive pas à me faire plaisir. Dingue. C'est bête quand même !?
J'adore le faire pour les autres. Je prends sans cesse le temps de le faire pour les autres, mais je ne le prends pas pour moi. Comme si je ne me l'autorisais pas. Je cours partout pour les autres, mais plus que rarement pour moi. Je prends le temps de faire les choses pour les autres ... mais pas pour moi. Je fais d'abord toutes mes corvées, mes devoirs, et s'il reste du temps (mais il n'en reste quasi jamais évidemment, ,car étant super exigeante, je m'en rajoute toujours plus), alors parfois j'y arrive ... mais parfois seulement car souvent, je me sens comme perdue d'avoir un peu de temps pour moi, et du coup, je ne sais pas quoi en faire alors que j'ai plusieurs passions qui ne demanderaient que s'y installer (peinture, lecture, guitare, ...).
Je me dis épicurienne mais en fait, je ne le suis pas !?
Est-ce que certaines d'entre vous s'y retrouvent ?
Bonjour,
Isana, dans tout ce que tu écris je m'y retrouve... Et comme c'est toi qui écrit j'y vois plus clair !
Par exemple tu écris :
[ en fait, je n'arrive pas à me faire plaisir. Dingue. C'est bête quand même !?
J'adore le faire pour les autres. Je prends sans cesse le temps de le faire pour les autres, mais je ne le prends pas pour moi. Comme si je ne me l'autorisais pas. Je cours partout pour les autres, mais plus que rarement pour moi. Je prends le temps de faire les choses pour les autres ... mais pas pour moi. Je fais d'abord toutes mes corvées, mes devoirs, et s'il reste du temps (mais il n'en reste quasi jamais évidemment, ,car étant super exigeante, je m'en rajoute toujours plus), alors parfois j'y arrive ... mais parfois seulement car souvent, je me sens comme perdue d'avoir un peu de temps pour moi, et du coup, je ne sais pas quoi en faire alors que j'ai plusieurs passions qui ne demanderaient que s'y installer (peinture, lecture, guitare, ...).
J'ai pensé alors, ce n'est peut être ni la peinture, ni la lecture, ni la guitare.... qui te feraient vraiment plaisir...
Qu'est ce qui te ferait vraiment plaisir ? Ce n'est pas simple en fait... Ca passe par la connaissance de soi, mais pas seulement, ca passe par prendre du temps...
Pour moi ça raisonne avec découragement et "je n'y arriverai jamais...." ! C'est dingue d'arriver là en partant de qu'est ce qui me ferait vraiment plaisir ? Ainsi, je n'arriverai jamais à me faire plaisir... ? C'est bizarre, c'est carricaturale... Mais ce que je désire je n'ose même pas le désirer, même pas y croire... je vais continuer à y réfléchir.
Quand tu écris "je fais d'abord toutes mes corvées, mes devoirs...", je suis en plein dedans, d'ailleurs je ne sais plus au bout d'un moment ce qui n'est pas une corvée, ça se multiplie d'ailleurs, au point de ne plus arriver à ren faire, de procrastiner fort, c'est comme une petite prison, j'ai envie d'évasion...
ça me parle Isana..... et je m'y retrouve
pour ma part je me suis aperçue que cette façon de se focaliser sur les autres et leurs besoins, c'était surtout une façon d'éviter de me confronter à "moi-même"
tout comme le fait de manger.... ça fait la fille qui se donne à fond pour les autres et les rares moments où elle se retrouve face à elle-même, eh bien : elle mange......
Je dois dire que tout cela a changé depuis que je suis ici, la semaine dernière je me suis pris une demi-journée pour aller déjeuner avec une amie (une LC-naute en plus! bises si tu me lis...) et demain je me prends un moment aussi pour un massage, ce qui n'est absolument pas raisonnable avec tout le travail que j'ai....
Je me sens moins "en danger" quand je suis face à moi-même et mes émotions, du coup j'en fais moins pour les autres, ce qui leur fait le plus grand bien
pareil quand tu manges, tu dis que c'est le seul moment où tu te sens déconnectée
or quand on mange, n'est-on pas confronté à soi-même, quand on mange en pleine conscience il y a une dimension de connexion à soi-même qui peut-être te fait peur?
bon je m'avance, tout ça ne sont que des pistes, mais c'est ça que mon intuition me souffle pour toi ce matin.....
bises
Bonjour à tous !
Suite au post de Mr Apfeldorfer, il me vient plein d'idées lol
C'est vrai que j'ai longtemps été enfermée voire engluée dans mon histoire familiale : éducation très stricte avec une tonne de principes pas vraiment cool. Un jour, j'ai compris que je pouvais penser par moi-même ! Wahou la révélation lol
En fait j'étais quelqu'un de très positive dans une famille très négative ! Cela ne s'est certes pas fait en un jour ni sans domage mais je pense que je me suis enfin sortie de ce carcan.
Je m'autorise à vivre pour moi tout en étant présente pour les autres et mes proches (famille et amis) le savent sans abuser.
Autre chose que je voulais partager : là ça tient plus à mon côté aide-soignante ! Au début de ma formation nous avons étudié les besoins fondamentaux de l'homme. Il va de soi qu'il doit respirer, manger, boire, éliminer... mais il doit aussi se divertir et communiquer...
Bon courage à tous et à bientôt
Nicky