Défi une bonne faim pour un bon appétit !
Vous savez que la base, c'est vraiment de pouvoir à la fois ressentir, mais aussi aimer, rechercher cette bonne faim
la plupart d'entre nous sont un peu faché avec, au début c'est c'est dommage
on apprend à la réapprivoiser dans le programme
car la bonne faim est notre meilleure copine :
- elle nous dit quand nous avons besoin de reprendre de l'énergie
- elle rend le goût des aliments encore plus savoureux
- avec elle c'est facile de sentir quand elle s'arrête, car c'est une sensation forte, c'est pourquoi elle facilité également la perception de la satiété
alors voici un nouveau fil pour y noter nos bonnes faims, jour après jour.....
Vous devez vous connecter pour poster un commentaire
Vous devez préalablement être authentifié auprès de votre assureur afin d'accéder à nos services
Répondre
Coucou !
Bonne année à tout le monde :-)
merci izabelle pour ce défi bonne faim.
pour ma part, je crois l'avoir réussi ce soir... Bonn faim, qui grandissait... Mais satisfaite avant qu'elle ne devienne trop grande, et en plus j'ai réussi à déguster un peu mon repas ;-)
chouette... Moi qui stagnait depuis des semaines dans mon programme, je suis contente de moi (et c'est pas si souvent que je m'en rends compte !)
bisous les filles, merci pour vos bons conseils et vos partages d'expérience
Moi j'ai l'inverse, avec la dégustation je n'ai plus peur de prendre un chocolat chaud (poudre de cacao type van houtten) au lait avec quelquefois une cuillère de miel. J'ai appris à me réconforter avec des boissons chaudes (thé, tisanes, etc.) et j'en bois pas mal avec le froid qui arrive.
En revanche j'ai quelquefois des EME où je me contente plus que de deux carrés de chocolat :/
Alors, depuis quelques jours, observation à nouveau de mes sensations de faim, je m'interroge quand les premiers signes se présentent et attends la "bonne faim" que j'ai appris à reconnaître grâce à mon parcours, merci LC !
Enfin ça, c'est la plupart du temps, car il m'arrive tout de même, en cas de "petite faim", de manger un petit quelque chose par anticipation du fait que je suis ass-mat (enfants en garde avec leurs propres besoins donc) et que j'ai remarqué que si je suis occupée avec eux et que la "bonne faim" se présente, si je mange trop longtemps derrière son signal, j'outre-mange, voire je compulse.
Le soir me pose question. Je sais attendre la bonne faim et manger ce dont j'ai envie et seulement ça.
Depuis un bon moment, avant toute prise alimentaire, je me pose la question, face au frigo ou au placard : "qu'est-ce qui me fait envie ?" et là, plus de diabolisation de quelque aliment que ce soit. Un grand pas de fait.
Par contre, c'est vraiment le repas auquel j'ai du mal à mettre fin, et il est souvent suivi en soirée d'une prise type EME, un chocolat chaud accompagné d'aliments gras et sucrés. C'est vraiment "le moment" à travailler pour moi car il y a derrière ça ou de la fatigue non respectée (pas envie d'aller me coucher tôt même si fatiguée car impression de ne pas profiter de la soirée) ou tout autre besoin que je dois identifier. A suivre...
Belle journée à vous.
Evelyne
bon allez défi tenu hier soir
j'ai pu avoir une bonne faim pour le repas du soir
cela suppose pour moi de zapper le goûter où j'ai un peu faim
sinon ça dégènère tout de suite en collation dinatoire, mais avec un début petite faim (donc tatonnement)
là j'ai pu avoir une bonne faim pour diner
par contre j'ai eu une EME après !!!
comme quoi.... peut-être qu'il faut que je m'habitue aux bonnes faims du soir
ou peut-être plutôt que ça n'avait rien à voir avec ça...
je relance ce défi car on dirait qu'il est un peu passé à l'as depuis un mois, or c'est vraiment la base, la base, la base
de mon côté la bonne faim au petit dej et dej c'est ACTE
mais pour le diner, ça dépend encore des jours
alors je relance ce défi, avec de mon côté vraiment pour le diner
bonne faim, les crocs, bon appétit
et combiné à un bon repas
Bonjour à tous,
je viens de lire ce fil, pas facile, l'étape sur la faim !
Pour ma part, c'était la cata, car je ne supporte pas l'idée d'avoir faim dans certaines situations, ou plutôt je peux m'y confronter mais dans des circonstances particulières qui sont rarement réunies : être seule, détendue. C'est beaucoup plus difficile avec d'autres personnes, comme si une paranoïaque sommeillait en moi pour ressurgir quand j'ai faim en présence d'autres et qu'il n'est pas possible (ou mal vu) de manger. Je partais de loin !
La première fois que j'avais suivi le programme LC, j'avais carrément laissé cette étape se passer sans moi.
Mais pas cette fois, grâce à la coach avec qui j'ai eu un entretien salutaire. Je passe rapidement de la petite à la grande faim, et rien ne m'oblige à me confronter à la grande faim, qui peut être très problématique (et engendrer des EME). Le programme nous aide à nous confronter à certaines réalité, mais sans nous mettre à mal. J'ai alors pu expérimenter plus sereinement cette sensation de faim, et je la respecte presque toujours maintenant. Lorsque je ne la respecte pas, j'en ai conscience et peux analyser les raisons (sociales ou EME).
En résumé : mieux vaut y aller en douceur avec soi-même, c'est une étape qui exige beaucoup de bienveillance.
A bientôt
Adonon
bonne faim ce matin au petit déj
ça faisait longtemps!!!!!