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Je craque dès que je pose les pieds à la maison

L’alimentation émotionnelle Les envies de manger émotionnelles
22 juin 2011 à 18h

Chaque jour ressemble au précédent.... je craque au retour à la maison donc vers 16hr. Ok je m'offre un goûter mais là c'est comme si j'avais ouvert la boite de pandore et je commence à engouffrer tout ce que je trouve et qui me plait bien. J'arrive à m'arrêter car je culpabilise mais cela n'est pas génial.

Aussi dès que je prends un livre, j'adore lire, j'ai tout à coup envie de manger ..... Alors ok je peux dévorer le livre mais cela ne suffit pas... j'ai l'idée en tête et elle ne me quitte plus.

Comment faites-vous ?

Merci et au plaisir de vous lire !

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59 commentaires

C'est leur du BN!! horrible!

moi aussi je gere mal ce retour à la maison, après des journées ters tres denses, j'attaque ma deuxième journée par le gouter des enfants....

Respirer et boire un thé avant la lutte des activités diverses et des devoirs...les rapres fois ou j'y suit arrivée, la machine ne s'est pas emballée. Le reste du temps, je suis fatiguée, je grignote un truc avec eux  (souvent un truc que je n'aime pas particulièrement!!) et là, en effet, j'ouvre la boite de pandore qui me fait grignoter jusqu'a ce satané repas que je dois preparer et pour lequel je n'ai plus faim! Aie Aie Aie!

Donc, une solution dans un premier temps, systhematiser pour commencer ce thé en pleine conscience, privilegier ce moment d'échange plutot qu'en faire un moment de stess alimentaire. Je vasi peut etre reecouter l'outils sur les repas de fete....car hormis cette fatigue, je crois qu'il m'est necessaire de reinssufler un peu de plaisir dans ce moment là avaec les enfants pour eviter de me rassurer avec du pain d'epice!

Quand je lis les réponses je me retrouve, je mange lorsque je me retrouve seule chez moi.

Mon ami passe en moyenne 15 jours par mois chez moi, mais dés que je me retrouve seule les 2 ou 3 premiers jours qui suivent son départ ce qui coincide bien souvent avec le week end,  j'ai beaucoup de temps libre et donc beaucoup d'opportunités de compluser. Aprés 2 ou 3 jours ça va mieux mais dans la semaine lorsque je rentre chez moi et que je suis seule, toute la pression de la journée me retombe dessus associés à un coup de fatigue vers 18h30, la compulsion se met en place comme un automatisme dés que j'ai franchi la porte de l'appartement. La prise alimentaire n'est jamais trés importante mais elle est trés fréquente et se peut se répéter trés fréquemment pendant plusieurs heures ce qui au final fait une quantité de nourriture importante.

Lorsque je me retrouve seule chez moi, j'ai toujours l'impression de combler un vide soit par des activités que je planifie ( je vais faire la lessive puis je vais faire du tai chi puis je vais prendre une douche etc...) soit par la nourriture.

En semaine pendant le pause déjeuné Je souffre aussi beaucoup de manger seule. Je ne me sens pas à ma place  comme si je n'avais rien en commun avec les personnes et je me sens décalée.  Quand mon ami est là on mange parfois ensemble cela me réconforte.

 

je comprends bien ce que tu ressens mais tu devrais essayer de positiver le fait que tu te retrouves seule. Je pense que tu devrais en profiter pour bien prendre conscience de tes sensations et aussi de tes manques (notamment ton ami). c'est ce que j'ai appris moi aussi avec cette méthode. déjeuner ou diner seul me permet de me concentrer sur mes sensations que j'ai plus de mal à percevoir quand je mange accompagné ou en famille.

et çà marche !

bon courage

Après une semaine de calme relatif, de nouveau de grosses compulsions en rentrant à la maison. Rien n'y fait, mais s'y ajoute l'expérience de la faim. Non seulement je suis vide après la journée, mais en plus j'ai faim (cette fois, je ressens enfin!)

Je continue à travailler les fin de journée... Jusqu'à ce que...

Gérer les fins de journées, et les retours au bercail... Moi j'en suis là de la méthode, et franchement, c'est là que ça coince. Les outils que j'ai accumulés depuis deux mois, la pleine conscience, les pauses "dirigées" sont une aide précieuse mais ne sont vraiment pas acquises. C'est toujours quand j'ai les doigts dans le pot de confiture que je réalise que "non. L'avantage est que je commence à pouvoir m'arrêter en route. Au moins, mal est moindre, mais c'est quand même perturbant de ne pas pouvoir anticiper.

Je continue quand même et encore...

J'ai moi aussi cette réaction quand je rentre à la maison.

Le pire, c'est à l'issue d'une journée stressante (estomac noué, et déjeûner oublié) ou très chargée (pas le temps de manger attablée). Et là c'est vraiment effrayant. Il m'est arrivé de commencer une religieuse dans l'entrée de la maison ou de dévorer un énorme sandwich, à toute vitesse, tout en conduisant. Ca me fait du bien sur le moment, mais après je ne me sens pas très bien parce que je comprends bien que j'ai complétement perdu le contrôle de la situation. Quand ce n'est pas directement en sortant du travail , c'est à la maison et là, un demi camenbert peut y passer s'il a eu la mauvaise idée de se trouver sur mon chemin (suis l'Attila du fridge dans ces cas là.  le pire c'est que je n'aime pas le fromage trop froid directement sorti du frigo!

Je  n'éprouve jamais cette sensation de faim urgente quand je ne travaille pas.

Fut un temps ou pour éviter ces crises, je filais à la salle de sport directement après le boulot. les jours où je n'y allais pas,ces envies subites étaient moins fortes, je crois que c'est parce que le sport me calme. j'attends avec impatience de finir mon carnet découverte car j'espère qu'ensuite je pourrais commencer un programme d'exercices qui me relaxent.

 Un défi à ce sujet, je trouve l'idée excellente mais comment faire ? 

Comme promis, la suite.

Je n'ai pas mangé de pomme au goûter mais je n'ai pas non plus dévalisé les placards. Je suis plutôt contente. J'ai réussi "à me raisonner", me demandant si c'était nécessaire de manger plus, sans faim particulière... Bref, on vera demain mais si hier n'était qu'une aventure, ce serait plutôt une bonne nouvelle.

A suivre. Ecouter les séances de PC est une aide véritable.

Bonjour,

Hier j'ai mangé beaucoup en rentrant du boulot (ce qui ne m'était pas arrivé depuis deux mois (et craquer, et le boulot, comme quoi il doit bien y avoir un lien...) et je me demande si dans cette compulsion il n'y avait ps une part de faim, même de grande faim (je ne mange pas le matin, et peu le midi car là, je n'ai pas faim...). Je vais essayer de gérer ça ce soir en mangeant une pomme pour commencer (parce que c'est long à manger et que ça salit les doigts, donc il y aura une action intermédiaire, se laver les mains), avant de continuer éventuellement.

Je vous raconterai.

et si tu essayais de manger une collation (1pomme 1 tranche de pain complet) soit sur le chemin du retour soit avant de quitter le travail, tu n'aurais pas la tentation de tomber dans le frigo... puisque pas là ! et le temps d'arriver la collation est au fond de l'estomac et le cerveau a reçu le message au bon moment.

 

Qu'en penses tu ?

En fait, il faudrait surtout que je ne rentre pas tout de suite.

En sortant du travail, je n'ai pas envie de manger, j'ai envie de rentrer, et à la maison c'est automatique, comme un fumeur qui allume sa cigarette en ouvrant sa voiture, je mange en posant mes affaires.

En revanche, si j'ai des obligations types courses, passer à la poste ou autre, je ne mange pas forcément en arrivant. Mais je déteste faire les courses, je ne vais pas me forcer pour ne pas manger!

Bon je vais quand même creuser les alternatives...