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un poids stable après 2 mois ?
Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching
La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
Abonné
14 Mar 2013 à 15h
Bonjour !
JE me demandais tout de même comment se faisait-il que le corps résiste autant au changement... cela fait deux mois que j'ai commencé la méthode et mon poids est stable au gramme près malgré mes changements d'alimentation. Cela faisait par ailleurs au moins un an que je n'avais pas grossi (avant la méthode). Mon corps a-t-il cette capacité (que je déplore évidememnt) de se maintenir au même poids pourtant très élevé (140 kg) ?
Merci pour votre aide,
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Salut les filles
je me dois de revenir aux nouvelles, surtout qu'elles sont bonnes :) En fait suite à ce post, j'étais un peu perplexe. Je ne comrpenais pas pourquoi je ne perdais pas de poids. Bon, je n'avais peut être pas tellement tord, parce que depuis je perd régulièrement, et j'ai déjà moins 3,5 kg, ce qui est génial parce que depuis très longtemps je n'avais connu aucun baisse de ce maudit poids.
Du coup je revenais pour donner espoir aussi, le corps peut manifestemtn résister assez longtemps.
Du coup aussi cela m'a donné confiance dans mes premiers acquis avec la méthode et ça aide à poursuivre les exercices et à avoir confiance dans le fait qu'on acompris des choses.
Je rejoins Isabelle qui a dit qu'elle était paresseuse (ou sans volonté je ne suis plus sure) et que la méthode était adaptée pour elle :) je confirme, je perds du poids mais sans faire d'effort, franchement je trouve ça presque magique :p bon, je sais que c'est lié au travail en amont, mais ce que je trouve "magique " (je mets des guillements qd même) c'est le fait qu'en mangeant àsa faim et gras, sucré, bref ce dont on ressent le besoin, eh bien on MAIGRIT. Oui ça me bluffe. Je n'y croyais quasi plus.
BOn, faut que je me calme aussi, je sais que l'euphorie peut aussi apporter des eme... donc keep calm and carry on comme on dit.
Je suis super contente pour toi Hellome et ça m'encourage car je note que je mange toujours avec la tête. Durant les quelques jours où j'étais à Paris cette semaine, je me suis autorisée à dégustée des aliments tabous que j'avais pas goûté depuis des années, par exemple une tarte au citron. J'ai adoré, c'était merveilleux, j'ai réussi à m'arrêté à ce que je crois être la satiété mais pas sûre car je sentais qu'il y avait mélange de "peur de manquer", après toutes ces années à m'en être privée.
J'avoue que je mange encore tout le temps des "aliments santé", sans vraiment en avoir conscience. Du coup j'y vais sur les quantités, genre une grosse salade verte, avec une assiette d'asperges et une petite tranche de pain.
Je n'arrive pas à croire que je pourrai maigrir en mangeant des aliments "gras" ou sucrés. Je sens que je suis toujours en lutte intérieure.
Peut être que comme je m'autorise encore que trop rarement de manger des aliments qui me font envie, j'ai toujours la croyance que je peux pas en manger autant que je veux. Et je confirme cette croyance en ne me permettant d'en manger que de temps en temps. Du coup, ils restent un peu tabous.
Je sais pas bien comment sortir de ce cercle vicieux.
Bonjour,
Je voudrais faire part de mon expérience à Biche et à Mavo qui ont du mal à "zapper" le petit déjeuner avec leur famille.
Quelque soit le repas, quand je n'ai pas faim je mets quand même mon couvert pour ne pas "m'exclure" de ce moment.
Jusqu'à présent personne ne s'est inquiété de ne pas me voir manger... Même si la 1ère fois cette indifférence familiale m'a touchée je n'y prête plus cas. Le plus important ce sont ces moments où nous sommes réunis.
moi aussi je m'assois à table quand je n'ai pas faim à l'heure du diner ou du petit-dej, je profite de la discussion
Pareil pour moi. Souvent, je bois un thé pendant que mon mari mange quand je n'ai pas faim. Comme ça je suis quand même à table avec lui et je profite de la discussion.
Le regard que nous portons sur nous-même...
Ce regard qui fait que nous sommes incapables de nous regarder en photo peu de temps après qu'elle ait été prise, ce regard qui fait que nous détournons le regard en passant devant un miroir, car cela pourrait gâcher notre journée.
Vous connaissez sans doute cette image :
Voilà ce que nous vivons toutes, quelles que soient nos formes réelles.
C'est ce que nous dit Liegama, heureuse un matin de se regarder dans le miroir. Mais qu'y voit-elle les autres jours ? Honnêtement, nous autres qui dépassont le quintal avons du mal à comprendre qu'à 70 kilos il puisse y avoir problème ! Et pourtant, ces chiffres (nombres !) n'ont aucun sens dans l'absolu, chacun y met le sens qu'a construit son histoire, chacun a construit son regard sur son corps qui fait que l'on ne se voit jamais en réalité.
Je me vois grosse depuis toujours, oui, même quand je pesais 70 kg et que je refusais d'entendre les voix qui me disaient belle. Je ne me concentrais que sur celles qui parlaient de mon ventre, je ne voulais entendre et retenir que celles qui me blessaient.
Je tente en ce moment de donner un sens à ce regard, de le rendre aimant. J'ai acheté une robe sur Internet, assez moulante, je la mets un matin, je suis une bombe, avec un gros ventre certes, mais cette forme est belle, c'est décidé, je la porterai ce week-end. Le week-end arrivé, je m'habille, je pars chez mes beaux-parents, c'est très stressant, ce sont des personnes qui accordent beaucoup d'importance à leur ligne et jugent beaucoup les autres sur leur apparence, ma robe enfilée, je me regarde, je suis un gros tas, je me dépêche de me changer en enfilant des vêtements informes...
Tout est là, dans cette scène un peu caricaturale mais vraie.
Le parcours est long, merveilleusement décrit par vous toutes, il nous a fallu tellement d'années pour ne pas nous aimer, il en faudra sans doute encore beaucoup pour reconstruire une belle image de nous-même.
Belles journées de week-end à toutes.