La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Partie 15 jours en vacances j'ai bien dû me sevrer de ma balance. Or, au bout d'une semaine, j'ai commencé à paniquer. Sans repère objectif j'ai commencé à me trouver trop serrée dans mes sous-vêtements, bouffie dans la glace, et à me seriner "faut faire attention (nouvelle version = demain tu écoutes (enfin) ta faim. Faut aussi avouer que les vacances en familles dont 4 lardons entre 3 et 9 ans, pour se reposer et destresser, y a mieux ! )
Bref, le jean fétiche comme recours, pour moi c'est nada ! Et balance ou pas, le stresseur poids, ben... y pèse son poids !
Jusqu'au moment où m'a traversée l'idée que s'accepter ça n'est pas uniquement accepter mon poids actuel, et fluctuant. C'est aussi accepter que quand je stresse je mange. Que quand je me retiens de crier mes 4 vérités, je mange. Quand je suis épuisée, je mange. Et que la RPC, ces 15 derniers jours, est carément passée aux oubliettes. (quitte à pas aller trop bien, hein...)
Et la question dans tout ça ? Difficile à formuler mais je crois être venue sur LC pour "guérir" de mes compulsions et je commence à me demander si la réussite n'est pas finalement non pas d'être "guérie" mais d'accepter d'être "malade" (en étant bien d'accord que si je suis à la phase consciemment incompétente cela n'a stricement plus rien à voir avec les phases compulsives de jadis).
J'en viens même à penser que cela cessera le jour où j'accepterai d'être ainsi. Qu'alors ça n'aura plus lieu d'être. (Sauf qu'accepter pour que ça cesse n'est pas accepter.)
Pfoui... J'ai conscience d'être nébuleuse. Excusez m'en.
Bonjour,
voilà je viens de passer l'expérience de la faim au petit-déjeuner. Du coup, depuis j'essaye de faire cet exercice à chaque repas de la journée. Mais le problème c'est que je me rends compte que lorsque j'ai envie d'aliments qui ne sont pas dans mes traditions familaies (exemple, ce matin envie de fromage au petit-déjeuner, j'en ai mangé mais j'ai "ressassé" ça toute la journée), je culpabilise, me dit que ce n'est pas "normal", comme si j'avais peur d'être "différente".
Ce qui est aussi étrange c'est que je me rends compte maintenant que si j'ai des envies de peti-déjeuner "équilibrés" je culpabilise de même ! c'est absurde ! Je crois que je me sens un peu perdue et un peu perdue moi-même. Puisuqe cela fait des années que ma vie est régie par la nourriture et les obessions alimentaires. J'ai l'impression de ne plus savoir ce dont j'ai envie.
J'avoue sortir d'une repture amoureuse alors peut-être que ça y joue un peu un rôle. Comment faire pour ne plus se sentir coupable à chauqe fois que l'on mange quelque chose ?
Merci beaucoup pour vos messages. Oui je crois qu'i faut que j'écoute mon corps. D'ailleurs je suis obsédée par le côté santé de l'alimentation et du coup je mange du pain complet parce que c'est meilleur mais j'ai une collopathie et du coup ça m'irrite les intestins. Et là je me rends compte que je n'écoute pas du tout mon corps. Et que je pense avec ma tête.
Flo, j'ai aussi fait le régime chrono-nutrition mais du coup quand j'ai envie de salé le matin, je me sens "comme au régime". Je sais que c'est très bête mais j'ai l'impression de manger encore avec ma tête. Oui moi aussi avec la chrono nutrition j'avais moins faim, c'est étrange non ?
Enfin, là vu que je n'ai pas trop le moral, je n'ai pas du tout d'appétit. Je viens de manger juste parce que j'avais préparé quelque chose même si mon estomac gargouillait mais sans véritablement d'appétit. Je pense que la RPC va me permettre de mieux ressentir mes sensations corporelles.
Pour mon compte rendu, on me demande de repondre a certaines questions dont je n'ai pas la reponse !
L'arome vegetal de mon camemenbert !! Herbe, ail ou noisette ??? Rien de tout cela !
L'odeur lactique de mon camembert : beurre, petit lait, yoghurt ou je sais plus quoi !
Meme en faisant des efforts pour deguster, mon camembert avait un arome et une odeur...de camembert !!! Je ne suis pas poete.
Et en plus, il n'y a pas moyen de ne pas repondre a une question, donc soit j'ecris n'importe quoi, soit je ne remplis pas mon compte rendu.
Je pense que la qualité gustative comprend également tout ce qui est en dehors de l'arome : par exemple le craquant de la baguette (une bonne baguette peut encore avoir sont bon goûts mais avoir ramolli à cause de l'humidité),ou le fondant de la mousse, la texture d'une manière générale, le comportement en bouche (est-ce que cela reste longtemps ou au contraire apèrs 1 minute c'est comme si tu n'avais rien pris) ...
il est connu en cuisine qu'un bon dessert par exemple doit associer des textures différentes (du craquant, du fondant, du moelleux), si on peut rajouter un mélange de température (froid et tiède, frais et chaud), enlpus des aromes différents alors on atteint le graal ...
bonne continuation
Nikaia
Bonjour,
Je suis actuellement au début du programme (je dois expérimenter la faim), mais je me pose une question concernant ma façon de boire (de l'eau).
Voilà, j'ai pour habitude de boire environ 1.5 litre d'eau par jour (dont 1 bouteille d'Hépar). Mais, bien évidement, lorsque je bois, je n'ai plus faim, et maintenant que j'apprends à être plus à l'écoute de mon corps, je m'aperçois que lorsque je ressens un vide dans l'estomac, j'attrape ma bouteille d'eau, et je bois..
Je me demande si c'est une bonne chose?
Est-ce bien ...où pas..!!
Bonsoir,
J'aimerais le point de vue de MM. Zermati et Apfeldorfer s'ils passent par là.
Un peu compliqué à expliquer : je me croyais fine gueule devant l'Eternel, et je découvre que la dégustation m'ennuie, ou plutôt, je n'y trouve pas mon compte vu que tout me paraît ... insipide, c'est le mot.
Je me retrouve comme ce soir vers 19h30 devant une assiette de tomates-mozzarella-basilic, avec son filet d'huile d'olive, du basilic frais et un peu de sel, et une bonne tranche de pain. Le tout bio.
Ca a du goût, certes - forcément ! Mais je ne sais pas pourquoi, je me retrouve à m'ennuyer devant mon assiette. J'essaie d'éprouver des sensations (moelleux de la mozzarella, finesse de l'huile, acidité douce de la tomate, râpeux du pain) et je m'ennuie. Je ne ressens rien de particulier. Ces sensations ne m'évoquent rien, ne me parlent pas, un peu comme si j'étais littéralement incapable de savourer.
M'interrogeant sur ma faim, je me rends compte que je suis incapable de dire à cette heure - 21:10 - si j'ai faim ou pas.
Et pourtant, j'ai exprès fait les courses chez le bio en pensant à cette assiette en début d'après-midi.
Peut-on en arriver, à force de manger sans penser à ses sensations alimentaires pendant des années, à en perdre la faculté de déguster, celle qui procure du plaisir, qui satisfait dans tous les sens du terme ?
Et est-ce que ce sens de la dégustation a une chance de revenir un jour ?
Merci
Shack'
Ah ben, je ne me fâche pas. Pourquoi le ferais-je? Ne sommes-nous pas là pour mieux comprendre ce qui nous arrive, les mystères que ceal peut représenter? Ce quelque chose qui prend tout l'espace, ne seraient-ce pas des émotions, des pensées? Je pense que vous devriez peut-être chercher de ce côté.
Bonjour,
Je voulais savoir comment m'y retrouver dans tous les mp3 auxquels nous avons accès.
Lesquels sont incontournables, lesquels peut-on "zapper", par lequel faut-il commencer ? y'a t-il un ordre pertinent dans le temps pour les pratiquer ?
J'ai pas mal d'outils débloqués, je lis les conseils, je visionne et écoute les vidéos, je télécharge les mp3..mais en fait, il y en a tellement (j'en ai déjà 16 !) que maintenant je me décourage, je ne sais plus quel exercice faire..entre les excercices de RPC (j'en ai téléchargé 6 !), la marche PC, l'image refuge, les étirements PC, l'espace de respiration, bien gérer les EME, la PC, aprivoiser sa faim, la PC sensations physiques inconfortables...bref, d'abord je ne sais plus trop quel exercice faire et quand, puis le nombre fait que je me demande combien d'années il me faudra pour savoir pratiquer tout ça judicieusement et sans les mp3...
N'y a t-il pas des exercices plus recommandés que d'autres pour chaque personne ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Les mp3 :
Il y a d’essentiels, et d’autres qui sont accessoires.
Considérez comme essentiels ceux qui posent les bases de l’apprentissage de la pleine conscience : respiration, pensées, sensations physiques, body-scan,. À faire quotidiennement, jusqu’à ce que, idéalement, on puisse pratiquer la pleine conscience sans mp3. Merci Lorraine pour vos précisions encourageantes.
D’autres sont là pour permettre de varier un peu les approches de pleine conscience : étirements, marche. On introduit ainsi de la pleine conscience dans différentes activités.
D’autres sont faits pour travailler avec un objectif déterminé : c’est le cas des exercices sur apprivoiser sa faim, ou sur les sensations physiques inconfortables ce dernier étant destiné à augmenter sa tolérance à l’inconfort). On fera ceux-là quelques fois.
Combien de temps faut-il pour que la pleine conscience soit intégrée harmonieusement dans notre existence ? On évoque habituellement 2 à 3 mois, mais certains pratiquants vous diront qu’on n’en a jamais fini, qu’on progresse sans cesse.
Combien d’heures de vol pour être pilote d’avion ? Un minimum pour être autorisé à voler, mais plus on a d’heures de vol et mieux c’est, n’est-ce pas ?
Bon, les vacances ne sont-elles pas le moment idéal pour se recentrer sur soi, et pratiquer? Bonnes vacances, en pleine concience!
Bonsoir,
J'ai un peu de mal à saisir la notion d'unité alimentaire, or elle est utilisée dans le prochain exercice que je vais faire. Ce que j'ai compris : ce n'est ni une quantité ni un aliment, mais un élément de repas. Ça se décline en entrée, plat, dessert... mais le pain qui accompagne compte pour un.
Alors voilà, j'aime bien, comme dessert ou collation, prendre un carré de chocolat avec un petit bout de pain. C'est une UA, nous sommes bien d'accord ? Si je prenais une tartine à la confiture, c'en serait une aussi, n'est-ce pas ?
Autre exemple : s'il y a fromage (généralement après le plat), la plupart des gens le mangent avec du pain. Dans ce cas, est-ce une ou deux UA ?
Bref, considérerons-nous que le pain accompagnant un plat est quelque chose en plus, mais que le pain servant de support à un fromage ou à un bout de chocolat n'est pas une chose en plus ?
Voilà, si quelqu'un peut me dire que j'ai bien compris, ou qu'au contraire ce n'est pas du tout ça mais autre chose, je serai rassurée avant de commencer le carnet qui utilise les "UA" et dont j'ai oublié le nom.
Bonne soirée, bonne nuit, bonne semaine, bon été !
Bonjour à toutes,
Vous avez bien compris ce qu'est une UA, unité alimentaire.
Il s'agit de compter en terme de plats ou d'ensemble d'aliments pris au même moment, quelqu'en soit la composition ou le nombre de fois que vous vous resservez.
Vous pouvez vous inspirer de l'exemple de Rikki, sauf pour un verre de vin rouge qui ne doit pas être comptablisé comme une UA, tout comme tout autre type de boisson tant qu'elles ne sont pas consommées en grande quantité (au-delà d'un ou deux verres, vous pouvez comptabiliser comme une UA).
Le fait que Rikki consomme un carré de chocolat après sa salade de fruits est effectivement à comptabiliser comme une UA à part car ils ne sont pas pris au même moment.
Bon appétit.
Bonjour,
J'ai lu dernièrement un article sur une étude américaine (cf. ci-dessous) et j'aurai souhaité pouvoir le mettre en perspective : je commence tout juste le programme LC et ce que j'en retire pour le moment est qu'il est important de manger quand on a faim.
J'aimerais donc une mise au point par rapport à cette découverte afin de ne pas me mettre en tête de fausses assertions.
Bien cordialement,
N.
Manger à des heures régulières serait un moyen d’éviter une prise de poids, révèle une étude américaine.
"Ne pas manger entre les repas", cette recommandation assénée par les nutritionnistes vient de trouver une nouvelle confirmation dans le récent constat de chercheurs californiens.
Des souris qui mangeaient à n’importe quelle heure ont beaucoup plus grossi que leurs congénères qui prenaient des repas à heure fixe et respectaient des périodes de jeûne de 8 heures entre chaque repas. Les deux groupes de souris se nourrissaient des mêmes aliments gras et donc ingéraient le même nombre de calories.
En tenant ces rythmes pendant trois mois, la différence entre les deux groupes de rongeurs était frappante : celui qui avait mangeait n’importe quand avait augmenté son poids de 28 % et présentait un taux de glycémie en hausse, s’exposant d’autant plus au risque de diabète. Le second groupe, qui mangeait gras mais à heure régulière avait moins grossi et présentait un bilan de santé général positif.
L’enseignement de cette étude américaine publiée dans la revue Cell Metabolism ne fait aucun doute : manger sans grossir est aussi une question de timing. Pour garder la ligne, respecter une fréquence et des horaires de repas compte autant que la composition des repas.
Bonjour Niceday et tout le monde. Quel plaisir, ce forum ! Je n’ai plus vraiment besoin de répondre, puisque Isana, poneyville et positivethinker répondent très bien à la question. Que dire de plus ?
Effectivement,, les journalistes s’emparent de la moindre étude sur le comportement alimentaire qui paraît dans le monde, pour en tirer moultes conclusions, souvent démenties par d’autres études15 jours plus tard.
En ce qui concerne cette étude sur les souris, comme je ne connais pas le protocole, il est bien délicat d’en dire quelque chose d’intelligent. Il se peut que les souris nourries ad libitum soient stressées, auquel cas, elles mangent toute la journée. Il se peut qu’on les nourrisse selon le modèle du « rat cafétéria », c'est-à-dire avec une grande variété alimentaire, ce qui conduit aussi à manger en excès, en tout cas pour des souris.
Bon, revenons à Homo sapiens. Nous vous demandons dans le début du programme, de privilégier vos sensations alimentaires pour déterminer quand, quoi, combien manger. Tout ça parce que vos processus de régulation sont déréglés. J’aime bien à ce sujet la comparaison avec les nourrissons d’Isana. C’est exactement ça. Il faut se laisser le temps de « se régler » et les horaires sociaux réapparaissent comme par magie.
Ceci dit, une fois qu’on est « réglé », on peut désobéir aux règles, assouplir ses conduites, par exemple pour des raisons sociales : on peut manger alors qu’on n’a pas vraiment faim, par exemple pour manger sur un mode socialisé, ou bien pour se réconforter (l’exercice de l’EME-zen ne vous conduit-il pas à manger sans faim, pour le réconfort ?)
On peut aussi ne pas manger alors qu’on a faim. Parce qu’on n’a pas accès à la nourriture qu’on voudrait, ou pour attendre les autres, ou pour des raisons religieuses ou philosophiques. La régulation, qui se fait à l’échelle de plusieurs jours, se fera un peu plus tard.
L’important est, quand on mange, de manger avec attention, en s’intéressant à ses sensations alimentaires. N’est-ce pas ainsi qu’on en a du plaisir, et qu’on peut repérer la fin de ce plaisir, c'est-à-dire le rassasiement gustatif ? Ou bien, qu’on peut repérer l’apparition du réconfort ?
Ce qu’il convient d’éviter : le grignotage. Grignoter, c’est manger sans attention, sans faim, sans fin. Et rappelons-le, faire une collation, c’est faire un petit repas, pour une petite faim, ou en vue d’attendre pour se resynchroniser.
En résumé, rappelez-vous qu’en début de programme, vous êtes en quelque sorte en rééducation, et que donc, vous ne possédez pas encore la souplesse qui permet de s’adapter aux circonstances.
Bonne journée et bon appétit.
Mr Apfeldorfer, Vous touchez vraiment là où je bloque. Divorce, la peur d'une vie dissolue, de souffrir etc... C'est bien là que cela coince. Oser. Je n'ai jamais oser être moi. J'ai fait une thérapie voilà 20 ans mais inachevée apparemment. Après cette thérapie je n'ai pas su m'affirmer face à mes parents, mon frère et j'ai pris du poids et encore plus à la mort de ma mère ... je me suis entourée d'une tour qui me protège et que j'ai détesté cela va mieux depuis LC. Je sais pourquoi mais je n'ose pas franchir le pas, je ne sais pas franchir le pas. Nous sommes maître de notre vie, on a toutes les cartes en main, apparemment je ne sais pas jouer aux cartes, enfin pas ce jeu-là. Merci pour cette réaction qui me parle énormément. Je vais reprendre mon bâton de pélerin et retrouver l'espoir. Bonne journée.
Je vois de plus en plus autour de moi des personnes qui consultent des diététiciennes pour maigrir et qui se voient diagnostiquer une intolérance au gluten. Donc, intolérance eu gluten = régime alimentaire = amaigrissement.
j'ai la forte impresssion qu'il s'agit de régimes "masqués", sous le couvert d'un traitement médical. en effet, ces personnes sont "toutes contentes" d'avoir enfin un motif médical qui leur sert d'alibi pour maigrir....
j'ai une connaissance qui a ainsi perdu une vingtaine de kilos et qui les a tous repris bien entendu....
quelqu'un a t'il eu cette même impression ?
qu'en pensent nos experts ?
Bonjour,
Cela fait maintenant 4 ans que j'ai une sensibilité au gluten. Je ne parle pas d'intolérance ( maladie coeliake diagnostiquée par une biopsie), ni d'allergie (symptomes clairs après l'ingestion d'un aliment auquel on est allergique) mais bien de sensibilité au gluten.
Comme ce que j'ai pu lire dans ce fil n'est pas toujours exact et qu'il est vrai que cela pourrait apparaître comme un effet de mode, je tiens à préciser que le fait d'avoir supprimer le gluten de mon alimentaiton a permis, de manière spectsculaire et vérifiée par prise de sang, de fi^re chuter mon taux de graisse (tryglicéri) dans le sang.
Depuis, à plusieurs reprises, j'ai essayé de réintroduit^re le gluten dans mon alimentaiton mais mal m'en a pris. J'ai alors des brûlures insupportables à l'estomac et des problèmes de diahrrées. J'ai petit à petit appris à vivre sans mais doit me méfier de beaucoup d'aliments préparés qui contiennent de la dextrose de blé. Pas besoin de lire l'étiquette, s'il y a du blé dans l'aliment, je suis malade 2 heures après!
Alors, je ne sais pas si c'est un effet de mode, mais je sais que le blé a été sélectionné de manière à le modifier et à augmenter sa teneur en gluten. Il y avait dans les espèces anciennes de blé 7 èaires de chromosomes et il y a en a maintenant 21!
Je pense que l'agriculture telle qu'elle est malheureusment souvent pratiqué entraîne ce genre de problèmes aliementaires.
[quote=izabelle]
ou de me sentir envahie par les bambins qui courrent partout
[/quote]
D'actualité ! :-))