La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour ,
je reviens sur linecoaching après y avoir inscrite pendant quelques mois au début de l'ouverture du site mais là les mauvaises habitudes reviennent (c'est très bête mais ça me fait pleurer). J'avais arrêté l'abonnement parce que je n'ai que le ras mais je vois que ça me faisait du bien.
Je me rends compte que je retourne dans mes régimes. Pour moi, ce sont des régimes "santé" , pas de sucres, d'aliments à index glycémique élevé... Je me rends compte que j'ai peur d'être malade, de mourir sans doute. Et puis ma fille a des allergies alimentaires et je crois que ça n'arrange pas mes affaires puisqu'inconsciemment je crois que je m'interdis certaines choses. Et aussi et surtout les choses qui me font du bien qu'en je vais mal (et là ça n'est pas le paradis : pas de travail donc peu de revenus, ma mère ne m'adresse plus la parole sans raison, une rupture amoureuse, et une histoire qui commence mal. Je crois que le stress me bouffe. J'ai une colopathie fonctionnelle et ces derniers temps j'ai des crises tous les jours.
Je crois que la nourriture envahit ma vie et je voudrais me détacher de ça. C'est stupide de vouloir trouver son salut dans la nourriture non ?
Voilà, je ne sais pas si je dois prendre ce retour comme un échec mais j'aimerais tellement manger sereinement sans arrière pensée (et puis surtout mes chocapic ;)). Pensez-vous que je suis une coriace face au programme (le terme est peut-être mal approprié!)
Si d'autres personnes sont passés par ce chemin là, je serais ravie de lire leur parcours.
Merci
Bonjour,
Je viens de finir mon carnet degustation et maintenant j'ai un nouvel exercice ou je vais manger moins au repas, pour ensuite manger une collation si j'en ai besoin. Mais quand mon "dejeuner" consiste en 3 sushis et un fruit, est-ce un repas ou une grosse collation ?
J'ai pris maintenant l'habitude de manger plusieurs petits repas par jour, quand cela est possible, car j'ai remarque que c'est ce qui me convient le mieux. Je ne sais si je dois les considerer comme repas quand ce n'est pas copieux.
Aussi quand un repas est pris a 11 heures, est-ce un petit dejeuner ou un dejeuner ? je ne prends plus de petit dejeuner car je n'ai pas faim au reveil. Ma routine, de plus en plus, est : 11 heures, 1er petit repas, 14 heures : 2eme petit repas, 19 heures : gros repas, 22 heures : collation.
Bonjour,
Votre petit déjeuner intervient à 11 h. C'est donc votre premier repas de la journée. Nous avons pour habitude de dire qu'une collation intervient entre deux repas comme complément d'une prise alimentaire qui n'a pas suffi à apaiser la faim jusqu'au repas suivant. Nous considérons que votre prise alimentaire de 11h est un repas et non une collation. Je suis d'accord avec votre évaluation de vos prises alimentaires entre 11h et 22h.
Mais finalement peu importe la quantité et l'heure de prise alimentaire pour définir un repas ou une collation, ce qui compte c'est votre appréciation sur le moment de l'intensité de votre faim et votre capacité à déterminer les quantités qui vous suffiront pour calmer cette faim.
Bonne continuation
Marie, votre coach
Ceci est un message de détresse...
Je ne sais plus quoi faire et si ça continu, je risque de sombrer dans la dépression.
j'ai commencé ce programme avec plein d'espoir, et j'ai quand même réussis a perdre 5 Kilos en moins de 3 mois et j'ai tout repris en l'espoace de presque 3 mois aussi.
Mais a cause du boulot j'ai du interrompre le programme faute d'ordinateur pour continuer a suivre les forum et a remplir les carnets.
la semaine qui a suivi ma mère est arrivé de voyage pour mon mariage qui a été repousser pour la 3ème fois à la dernière minute , pour cause de maladie de la belle soeur (ma mère est toujours chez moi 2 mois et demi plus tard, elle repard a la fin du mois de juillet, elle était venu pour aider aux préparatifs.).
On a quand même fini par faire une petite cérémonie, histoire d'officialisé les choses dans un premier temps en attendant que ma belle soeur se rétablisse, une fois que ce sera le cas, nous reprendrons les préparatifs pour les festivités.
A chaque fois ke le mariage approchait, 1mois avant elle est au plus mal, et mon mari et sa famille annule les festivités du mariage (elle n'est pas amené à participer aux préparatifs du mariage, car encore fragile), et son état nécessite des interventions churirgicale, je ne peux pas l'envouloir, c'est normale et ça arrive, c'est une être humain aprés tout, et je dois soutenir mon mari, dans ce moment difficile, mais je me sens abominable de ressentir ce que je ressens, de la colère, quel genre de personne peut être en colère dans un moment pareil, j'ai l'impression de lui en vouloir d'être malade et ke le plus beau jour de ma vie soi toujours repoussé à l'année prochaine, j'ai honte de moi-même,
est ce que c'est normale ou est ce que je suis une méchante personne qui n'a rien compris a la vie.
Entre le boulot et l'arrivé de maman, je me disais dans un coin de ma tête, il faut que je poursuive le programme, mais je n'ai jamais eu le courage de le faire, quelque chose de plus fort que moi me retiens et ne me laisse pas revenir dans le programme.
mais je m'inquiète beaucoup car je n'arrête pas de me remplir jusqu'a parfois l'écoeurement, les kilos augmentent un peu plus chaque jours et en même temps je n'arrive plus a revenir sur linecoaching, ni a écouter mes signaux de la faim, ni a suivre les exercices de pleine consience ou l'eme zen, je ne le veux tout simplement pas, alors qu'il le faut.
Enfin là j'ai quand même réussis a écrire deux post et c'est déjà un grand pas pour moi, mais je n'arrive pas à respecter les consignes de mon étape actuelle "déterminer ce qui me fait manger en excés", je n'arrive pas a remplir mon carnet et aller de l'avant, je bloque, c'est plus fort que moi, je n'y arrive pas.
Aidez moi svp !
Kyna.
Bonjour
et bon courage
je suis en accord complet avec l'analyse de Clementine..ce "je tombe malade 1 mois avant le mariage de mon frere" qui se répète est comment dire .. suspect ...
jalousie par rapport à son frère (et son mariage avec toi)? jalousie par rapport à toi (qui sera le centre de l'évènement)? .. bref
Si c'est le premier cas, votre cérémonie intime devrait résoudre le problème. Si c'est le deuxième .. il faut peut etre que tu discutes avec ta belle soeur pour comprendre pourquoi et peut etre essayer de l'associer plus au préparatifs (en lui demandant son avis par exemple) pour qu'elle ne se sente pas exclue
Et je pense qu'il faudra que tu prennes les devants en disant que tu n'accepteras pas une 4ème annulation car c'est un manque de respect envers toi. (et au besoin faire remarquer que bizarrement c'est toujours un mois avant .. quand c'est encore possible d'annuler mais que tout est déjà bien engagé que "ça" se déclenche ...)
En attendant, détends toi, dis toi que les choses vont se resoudre petit à petit, soit bienveillante envers toi.
bon courage
Nikaia
Bonjour
J'ai encore pris du poids, bientôt j'aurai retrouvé celui que j'avais en début de programme il y a presque un an. Ca me désole, me déprime, je ressens du dégoût et du mépris pour moi (en tout cas une partie de moi ressent ça), et en même temps une sorte de satisfaction morbide, du style "héhé, tu vois, t'as regrossis, t'es une grosse, t'es une nvloppée, c'est comme ça, tu n'en sortiras jamais".
Cette semaine j'ai rêvé que je chopais une maladie que à une bactérie située sur la croûte d'un brie. Je précise que cette semaine j'ai effectué l'exercice de rassasiement spécifique et que j'avais choisi un fromage type brie, du Coulommiers.
Cette bactérie faisait d'abord maigrir une de mes collègues obèse à toute vitesse, elle était au bord de mourir. et de mon côté je perdais 9kg en 3 jours (je rêve de perdre ces 9kg, mais sans escompter l'atteindre un jour). Avec ces 9kg perdus, j'avais la peau sur les os, j'allais mourir.
Je vous passe les détails sur le fait que personne ne trouvait le numéro de téléphone de l'ambulance et que je n'arrivais pas à joindre mon ami...
Bon, finalement je ne mourais pas.
Mais ce rêve m'a fait me rendre compt à quel point j'ai peur de mourir si je maigris.
Mon grand-père paternel a été déporté à Buchenwald (camp d'extermination 4 mois puis 1 an en camp de travail, à l'époque il était jeune et fort et donc "utile" aux nazis). En revenant en France après s'être échappé lors d'un transfert, il avait perdu 40kg. J'ai souvent entendu cette histoire, petite.
Je ne savais pas alors ce qu'étaient ces camps. Mais je pesais alors justement une quarantaine de kg, une infirmière en avait fait le reproche à mes parents, et je rêvais d'aller en camp de concentration pour perdre tous ces kilos dégueulasses qui faisaient de moi quelqu'un de pas bien.
Je me rends compte juste maintenant que si j'avais perdu ces 40kg, je serais morte.
Je fais peut-être ds raccourcis, et je sais très bien que mes problèmes avec la nourriture n sont pas uniquement dus à cela, mais quand même, je me is que tout ça a peut-être quelque chose à y voir ?
Bonjour :-)
Pour ma part je ne pense pas avoir peur de maigrir, mais cela n'empêche pas ce qui s'échange ici d'être très intéressant aussi pour moi.
Je voulais juste ajouter mon petit slogan à la collection amorcée plus haut : jusqu'il y a quelques années, mon père me disait souvent "mieux vaut faire envie que pitié".
Ironiquement, au-delà d'un certain poids (ou d'une taille de vêtements) tu commences à susciter vraiment la pitié (*), et c'est vrai, c'est très dur à vivre, mieux vaut faire envie ! Envie comme, au hasard, les personnes qui peuvent porter n'importe quoi avec toujours la même classe !
Cela dit, j'ai moi aussi des parents nés au sortir de la 2e guerre mondiale et des grands-parents qui, l'ayant vécue de plein fouet, ont eu tendance à faire des réserves et à vouloir que les enfants soient bien gras. Quel étau, ces injonctions de "bonne santé" et de minceur... Mais la densité paraît un concept tout à fait intéressant pour concilier ces deux exigences.
(*) J'ai parlé ailleurs du regard condescendant des vendeuses de prêt à porter dans des boutiques où le XXL correspond à un bon 36... ah quel bonheur, quel plaisir pour l'ego ! Je me suis lancée dans la couture, c'est peu dire si l'on tient compte que j'ai vraiment autre chose à faire, aucun talent, un petit tremblement et un début de presbytie qui rendent la chose vraiment, vraiment fastidieuse !
Très bonne fin de journée
Coucou,
en pleine réfléxion (intense ?) je me suis demandée d'où vient ce réflexe d'ingérer de grandes quantités de nourriture pour se calmer? Après tout je n'ai jamais vu une personne de mon entourage faire cela. Or nous sommes très nombreux à le faire, même si ca nous apporte la plus part du temps plus de malheure que du réconfort.
Deplus ce phénomène est-il nouveaux? En effet il y avait très peu d'obèses dans les temps anciens. Ils avaient surement d'autres moyens pour décompresser, peu être efficaces et à copier ...?
Jespère que mes questions vont vous aussi vous amener à réfléchir.
Manger pour se réconforter est une conduite parfaitement normale. La nourriture est avant tout d’ordre affectif, émotionnel. Un nourrisson boit en premier lieu l’amour de sa mère, et cet amour contient du lait. Sans l’amour, l’enfant dépérit, et le lait ne le nourrit pas. En fait, l’enfant refuse carrément le lait sans l’amour.
Cette valeur intensément réconfortante de la nourriture a donc des racines très profondes.
Ce sont les nourritures les plus riches (à haute densité énergétique) qui s’avèrent les plus réconfortantes. Clairement, le chocolat est plus réconfortant que les légumes à l’eau.
Je rappelle à ce sujet que le lait maternel est un produit très riche en sucres et en graisses. En voilà bien, un produit réconfortant !
Chez les personnes en restriction cognitive, comme le chocolat est interdit, on cherche alors à se réconforter avec des légumes à l’eau. L’échec, question réconfort, conduit à en consommer des très grandes quantités : quand une solution ne fonctionne pas, on insiste alors encore et encore, on fait « toujours plus de la même chose » comme dirait Paul Watzlawick. (je vous conseille son livre : Comment réussir à échouer :)). Cela donne une boulimie de légumes, qui a vite fait d’évoluer en boulimie d’aliments riches, suivie ou non de vomissements.
La panne, chez les personnes en restriction cognitive, provient du fait que la nourriture n’est plus réconfortante, en raison de la culpabilité que sa consommation engendre. On n’en finit alors pas d’essayer, et on est pris dans ce cercle vicieux.
Donc en conclusion, sachons retrouver le côté profondément réconfortant qu’il y a à manger de bonnes choses, et ainsi nous aurons besoin de peu pour nous sentir bien et nous nourrir !
Merci nikaia, elena33, pour vos réponses pertinentes.
Bonjour
J'en suis presque à la faim de mon parcours (au bout de quasi un an, mieux vaut tard que jamais...)
et là je me rends compte que j'ai écrit "faim" au lieu de "fin" !
Je pratique actuellement le deuxième exercice de fractionnement des repas. Il me pose bien moins de difficultés que le premier, sans doute parce que je panique moins face à ma faim.
Avec cet exercice, je mange moins, voire nettement moins, peut-être est-ce trop. Je n'arrive pas encore à bien doser.
La nuit dernière, j'avais une faim à 4/10 à 23h, mais je n'ai rien mangé. Ce matin, j'avais des nausées en attendant de manger, et je me demande si ces nausées ne sont pas liées à cette faim. je précise que je en suis pas enceinte.
Ces nausées peuvent-elle être un indicateur de ma faim ? Ou bien est-ce forcément lié à autre chose ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Bonjour à toutes et tous,
Je réponds sur cette affaire de nausées. Oui, la grande faim peut s’accompagner de sensations nauséeuses, de faiblesse physique et mentale, voire de sensation de malaise chez certaines personnes. Sans compter qu’on est de mauvaise humeur ! Cela passe effectivement avec très peu de nourriture, comme le fait remarquer fabou.
La nuit est une période de jeûne normale, et le matin, on dé-jeûne. Bien sûr, être affamé à ce point est pénible et je ne vois pas au nom de quoi on pérenniserait cette conduite.
Mais l’exercice de fractionnement n’est qu’un exercice, destiné à pousser un peu plus loin certaines conduites pour les vivre expérimentalement, en mesurer par soi-même les résultats. Il vous faudra donc, clémentine, parvenir à un juste milieu, dans un second temps, éviter de trop manger le soir (ce qui est inconfortable) et éviter de ne pas assez manger le soir (ce qui ne l’est pas moins). En attendant, durant l’exercice, manger un petit bout de quelque chose durant la nuit, si nécessaire, est dans la logique du fractionnement.
Bonne continuation.
Bonsoir a tous,
Je ne me pese pas (peur de la balance) mais j'ai senti a mes vetements que j'ai beaucoup grossi depuis mes debuts sur LC. Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion de me voir en video et ce fut horrible car j'ai pu voir que je suis presque obese ou meme peut-etre deja obese (sans doute a la frontiere). Quand je me vois dans un miroir je n'ai pas le meme effet, sans doute parce que ce n'est pas du 3D.
J'ai du reprendre au moins 5 kilos.Je ne veux plus faire de regime, mais si je mange de tout, sans aliments tabou, en essayant de manger moins que ma faim, peut-on considerer cela comme un regime ?
[quote=Elena33]
"...ce medecin sevit encore, affichant son "fessebook" dans la salle d'attente (il se croit tres drole...), affiche le top ten des meilleures "eleves", toutes catégories d'age confondues, c'est ainsi que l'on voit que la meilleure eleve est la personne qui a perdu le plus de poids grace aux proteines, sur un laps de tmps tres court. Il y a des photos avant apres de chaque derriere le type de regime suivi, le poids, la taille, le nombre de semaines de regimes cumulées.... ! "
[/quote]
C'est incroyable cela ! Quel manque de respect envers les patientes, exposees comme des vaches.
Ce genre de nourriture en sachets devraient etre denoncees et meme interdites car on sait qu'ils sont dangeureux pour la sante. Une femme est morte en Angleterre il y a quelques mois a cause de ces sachets pourris.
Moi aussi j'avais fait le slim fast dans les annees 90, c'etait la grande mode, heureusement je n'ai pas tenu bien longtemps. Je ne comprends pas que des medecins diplomes avec toutes leurs annees d'etudes puissent sciemment prescrire ce genre de choses.
Bonjour, bonsoir,
Je lis un peu partout sur le site et dans les forums que s'il nous arrive de manger trop, eh bien n'en faisons pas un fromage (haha) : attendons le retour de la faim pour manger à nouveau.
Or, mon expérience, ou mon impression, est que si j'ai vraiment beaucoup trop mangé un jour (ou un soir ?), j'aurai plus ou plus vite faim le lendemain.
Cette idée largement répandue de l'estomac qui grandit à mesure de ce qu'on mange pourrait donner une explication logique à cette impression.
L'appel du plein par le plein est-il une idée fausse ?
Pourriez-vous nous expliquer (ou m'indiquer où vous l'avez déjà fait) comment, physiologiquement, se rétablit cette régulation naturelle que pour devenir gros nous avons (nécessairement) perdue ?
Bonne soirée en tout cas, et d'avance merci pour vos indications
Merci beaucoup, cher Gérard Apfeldorfer, pour vos explications éclairantes sur le fonctionnement de l'estomac.
Je continue à essayer de le domestiquer, celui-là, car c'est bien lui qui commande, ai-je l'impression, mais avec malice et caprice.
En tout cas, même si je ne suis qu'au tout début du programme et n'ai pas encore fait les exercices sur les sensations (je vais à mon rythme de tortue), j'ai l'impression qu'à l'heure actuelle tout passe par lui dans les sensations de faim et de satiété - ce qui justement me conduit, alors même que je me méfie désormais, à me sentir un peu ballonnée alors que je n'ai pas eu l'impression de manger trop, sur le moment.
Je sens bien que je dois faire des pauses, de très petits repas et attendre un assez long temps avant de savoir si j'ai assez mangé. Mais si c'est possible le week-end, en semaine convenons que c'est nettement plus compliqué. C'est bien pratique, la cantine, tout de même ! J'essaie en général de garder des choses pour l'après-midi... mais je les mange très vite après être rentrée dans mon bureau, juste parce que ça me tente trop. En fait je crois que c'est à cause de cette histoire de rassasiement gustatif dont vous parlez : j'ai assez mangé de légumes, mais j'ai besoin de clôturer par un peu de sucre. Bref, choisir différemment ce que j'emporte... mais qui doit être transportable !
Autre souci avec ce fractionnement et cette attention : le risque de ne plus penser qu'à ça, faire que ça. Mais c'est censé être provisoire ; j'espère que c'est du provisoire de durée plutôt courte
Merci à toutes et tous pour vos retours d'expérience ; je note bien que mon impression de faim plus grande et plus rapide après d'importants excès est probablement fausse (mais je ne l'ai pas expérimentée récemment donc je ne peux préciser cette impression) ; et je suis contente car à simplement prêter attention à tout ça, j'ai stoppé la prise de poids et même plutôt perdu un petit kilo depuis mon inscription sur le site.
Merci et bonne semaine
bonjour
je suis le programme depuis 6 jours, je note chaque prise alimentaire. les 4 premières jours était assez facile, j'ai deja lu les livres concernant cette methode et donc je me sentais super. je mange quand j'ai faim et arrete de manger après avoir assez, par contre, ceci me déprime maintenant. je saute des repas pour avoir faim au prochain, mange ensuite un peu trop et une heure après j'ai une compulsion qui est très difficile a supporter. le fait de savoir qu'il faut que j'attend longtemps pour avoir faim a nouveau me rend encore plus triste et stressé, comme beaucoup entre vous j'ai trois petits a la maison et cest des fois très difficile de ne pas etre stressé. je m'angoise et je doute si j'ai fait le bon choix d etre inscri pour 6 mois, meme si je sais que les regime ne marche pas, en fait, je ne cherche meme pas a perdre du poids, je ne veux plus avoir mes compulsion alimentaire et le stress après que je grossit, jai lu pas mal des sujet dans le forum mais je n'ai pas l habitude décrire moi meme, cest le promiere fois de ma vie que jécris sur un forum, j'espère que quelqun peut me motiver, désolé pour l écriture, ne suis pas dorignine francaise; amicalement
helow
voila je redescends de nouveau apres un an de stagnation suis contente ca remotive
La question peut paraître bizarre.
Je ne ressens pas encore bien la satiété. J'arrive à le ressentir sur des aliments très gras et/ou très sucrés (chocolat blanc, crème de marron, chips ...).
Mais il arrive que certains "mélanges" changent cet état de fait. Je pense au citron mélangé à la crème. Des pates à la crème : je la ressens. Ajoutez-y du citron, plus rien, nada ! Pourtant, c'est toujours aussi gras ! Mon homme qui semble à peu près régulé me dit ça : le citron masque la satiété, ça lui fait la même chose.
Le sel me fait un peu ça aussi (vive les chips moins salées qui sont en vente aujourd'hui ! Mais pas les chips au vinaigre ...)
Je ne sais pas si c'est logique, normal ou quoi ? C'est le fait que ça masque le goût du gras ?
Je comprends mieux maintenant, pourquoi certains exercices se font sur des aliments "simples" en tous cas.
Bonjour hermine et poneyville,
Vous avez tout à fait raison, certains goûts peuvent nous induire en erreur et modifier notre perception du rassasiement gustatif. Le côté gras ou sucré est masqué, et on mange alors trop.
Mais cela provient essentiellement du fait que cet aliment-là, transformé de cette façon, nous est nouveau. Si nous reconsommons de la même chose, une fois ou deux, nous ne nous laissons plus prendre. Notre cerveau aura appris ce goût, et saura ajuster la consommation : la rassasiement gustatif surviendra plus vite !
Pour notre cerveau, est « nouveau », inconnu, un aliment dont il ne reconnaît pas la flaveur, même si cet aliment est voisin d’autres aliments déjà consommés précédemment. Pour un aliment nouveau, nous n’avons pas l’étalonnage, en quelque sorte. Nous pouvons nous faire piéger, mais une fois ou deux seulement.
Le problème est que, comme nous mangeons tout le temps des nouveautés, nous pouvons nous faire piéger sans arrêt. On sera donc plus en sécurité si on a un répertoire alimentaire relativement stable.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas manger des nouveautés, mais qu’il ne faut pas être un zappeur alimentaire. Des nouveautés, oui, pas aussi des habitudes !
Je rappelle aussi que si on mange trop, qu’on se fait piéger, rien de bien grave, en fait. On aura ensuite moins faim, on régulera, et tout rentrera dans l’ordre. À condition bien entendu, qu’on ne mange pas trop tout le temps!
Merci JolieRonde. Je crois qu'effectivement, je ne "prends" jamais soin de moi parce que ma mère m'a toujours répeté que je m'écoutais trop.