Mon corps et moi!
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Hello ! Un peu de prose sur l'acceptation de soi... J'ai hésité sur le lieu où venir poser tout ce bazar, mais finalement, je repars d'une page blanche.. Nouveau fil !
Je me suis pesée ce matin. Poids stable depuis des mois, qui avoisine le poids que je faisais quand j'ai débuté LC, il ya plusieurs années de cela. Voilà, ce n'est pas nouveau mais pour la première fois ce matin, je me suis autorisée à formuler cette pensée, à ne pas la repousser, à l'observer en conscience : les quelques kilos que j'ai perdu à un moment, je les ai repris très discrètement, à coup de 500g par-ci, d'un kilo par-là.
Je me refusais à "verbaliser" ceci car je le vis, dans un premier temps, comme un échec terrible. Tellement terrible que je ne veux même pas y penser, en fait. Donc je n'y pense pas.
Ce matin je me suis arrêtée, enfin, pour accepter d'y penser (merci la méditation).
Et regarder ce qui se passe si j'y pense.
Eh bien tenez-vous bien : il ne se passe rien ! Pas de tremblement de terre, pas d'attaque cardiaque, même pas une petite larme, à peine de l'émotion.
Car au delà du chiffre sur la balance, force m'est de constater que, si ce fameux chiffre n'a pas bougé, tout le reste a changé.
Je me sens bien. Je me trouve belle, souvent. Je me regarde dans la glace et ça va. Je fais beaucoup de sport. Je mange de tout. Il m'arrive régulièrement des moments de franche écoute de mes sensations alimentaires : sauter un repas n'est plus impossible. Il m'arrive d'arrêter de picorer des M&M's parce que je me rends compte que mon palet me crie "stooooop".
J'arrive à observer les comportements de mes copines "régulées" avec une bienveillante curiosité.
J'arrive (un peu) à parler de mon poids, je ne le vis plus comme une tare honteuse.
Je ne crains plus de continuer de grossir jusqu'à une obésité morbide.
Pourtant, quand je vois ce fameux chiffre (87 kg pour 1,65m, pour tout vous dire), mon cœur chavire toujours, mes pensées s'affolent au point de ne plus fonctionner, et toute l'acceptation sur laquelle je pense avoir progressé fiche le camp. Ce n'est qu'au prix de tout un processus de réflexion que je parviens à me dire "arrête de flipper, en fait tu vas bien".
Je suis plus que jamais convaincue que seule l'acceptation "réelle" (= non feinte) est pour moi la clé du comportement alimentaire réellement pacifié, celui dans lequel les moments d'écoute évoqués plus haut ne seront plus sporadiques, mais réguliers.
Mais en pensant de cette façon, c'est bien qu'il y a toujours derrière ma tête une idée de l'ordre de la perte de poids... soit le contraire de l'acceptation ! Pour accepter réellement, il me faut faire le deuil de la perte de poids.
Sur le papier, rationnellement, c'est fait : je suis OK avec mon physique d'aujourd'hui, je sais que les kilos ne changent pas mon bonheur, qu'ils ne m'empêchent de rien faire, qu'ils ne sont qu'un chiffre sur une fichue balance.
Mais quand je monte sur la fichue balance, le discours interne automatique est toujours "ah bah bravo, tu en es toujours au même point, ma pauvre fille".
Qu'il est long, le chemin, qu'il est long !!!!!
Merci Mavo. Et de ton côté, de nouveaux apprentissages sur le chemin du "s'accepter pour de vrai" ?
en fait je ne sais pas comment elle se sent la patate...;)
Bon, si je suis ma faim, je mange peu. Mais j'ai peur de manger peu. Je souffre de fatigue chronique et dès que je mange moins je panique. Est-ce que le corps est ok avec moins de 1000 calories (oui je sais faut pas compter, c'est de l'estimation? Lol) et est-ce que le métabolisme va baisser avec moins de nourriture?
Ah voilà le petit hic. Ma faim aime une petite collation à 15.30-16.00 et un tout petit dîner ou pas à 18.00-19.00. Mais si je prends une grande collation que j'ai envie alors pas de dîner et ça m'angoisse. Peur de manquer, pour mon mental et mon corps. Peur de ne pas participer au repas de famille...mais la collation était super bonne ;). Alors quelques jours après je mange n'importe quoi et j'ai mal au ventre.
Je ne perds pas de poids et c'est triste d'être à mon poids d'équilibre. Mon médecin me dit que je porte trop de kilos.
Pas toujours facile de se refaire.
Xx
je ne sais pas la traduction ça dépend du contexte
je le mettrai plutôt au pluriel, mais si dans la situation on aurait été plus susceptible d'avoir UN seul animal, alors j'imagine qu'on peut mettre la négation au singulier
mais dans un cas général, je le mettrai au pluriel
Je pose ça là les filles (et les mecs aussi) : une note de blog de l'excellente illustratrice Diglee (qui est féministe également) et qui s'insurge contre la standardisation des corps (même dans les illustrations).
Elle en appelle à la beauté dans la diversité !
Je vous conseille de jeter un oeil, moi ça m'a fait chialer :')
//diglee.com/le-probleme-du-modele-unique-dans-le-monde-de-limage/
Hauts les coeurs, belles dans notre diversité ! *\o/*
Je n'ai pas réussi à accéder au site de l'illustratrice mais je réessaierai. Merci du lien en tout cas ! Je suis en effet très sensible à cette question de la diversité des images des personnes, à la fois sur le poids mais aussi le sexe selon les contextes et aussi l'âge et la couleur de peau. Bref, j'ai hâte.
Bonjour à toutes et à tous,
je ne viens pas souvent sur le forum, mais aujourd'hui j'ai une question qui refait surface :
Sur la page d'accueil je viens de lire l'article qui traite de la difficulté de se voir aussi grosse que l'on est.
C'est exactement mon cas : alors que j'ai un IMC de 39 je ne me vois pas grosse dans mon miroir. Tout au plus je trouve qu'un pantalon marque ou qu'une jupe serre, qu'un T shirt pourrait être plus long ... Ce n'est qu'au détour d'une fenêtre, d'une vitrine que tout d'un coup je vois une grosse bonne femme que j'ai du mal à reconnaître : c'est pas ça , moi? non c'est le verre qui est incurvé... Même en me maquillant je ne vois pas mon triple menton. Comme un déni de grosseur!
Je me suis longtemps dit que je ne pourrais pas mincir puisque je ne sais pas que je suis obèse... Bon sur les photos je vois quand même que quelque chose ne va pas, mais je me trouve des excuses...
Je me demande si d'autres éprouvent cette curieuse sensation de se sentir mince comme quand on était jeune, de se voir mince, alors qu'on est obèse, d'être(par exemple) persuadée de pouvoir se glisser entre 2 voitures dans un parking sans toucher les rétros, alors que même en rêve ça ne peut pas passer!
Et si vous avez eu ce même souci, comment avez-vous fait pour que vos yeux, vos sens et votre tête prennent la mesure du volume que vous occupez?
Merci beaucoup de tous les témoignages , de toutes les pistes que vous pourrez me donner, car pour changer il faut quand même commencer par reconnaître qu'on a un problème et moi je ne le vois pas. Mais il faut dire que mon médecin s'en charge
Amicalement
Sahara
Le corps, le miroir et nous. Je n'ai pas de problème à me mirer le matin devant le miroir de la salle de bains. je ne me vois que jusqu'à la poitrine. Pour une vue "d'ensemble", je vais dans ma chambre, et me positionne dans le couloir, nickel. Sinon, c'est de profil, à 2 mètre de l'objet. Souvent, c'est à ce moment que je change de tenue, jusqu'à ce que mon profil me satisfasse.
Aujourd'hui, je ne suis plus surprise de voir le volume de mon corps, mais ce fut le cas pendant longtemps.
Par contre, je fais très attention quand je dois passer entre 2 voitures, moi aussi,, je regarde attentivement les sièges avant de m'assoir pour ne pas me retrouver assise sur les accoudoirs par exemple ou coincée, etc .... et c'est encore plus vrai lorsque je suis avec des amis. Je file avec eux, et in-extrémis, je change ma trajectoire. C'est devenue une habitude de recherche du bon parcourt, ça me laisse un peu triste.
Et puis, comment pourrais-je dé-aimer mon corps, donc moi-même, moi qui veut tellement être aimée ?
Comme nous sommes dans un monde où la minceur est de règle et que les gros sont mal vus, je voudrais rééquilibrer la balance (pardonnez-moi l'expression) et montrer que ce n'est pas le cas dans toutes les civilisations:
La préhistoire :
Le corps de la femme est représenté avec un gros ventre, et de gros seins, des grosses fesses, symboles de sexualité, de fertilité, de générosité et de vie. On peut penser qu'il s'agissait là de leur vision de la femme idéale.
Le boudha
Le gros bouddha n’est pas une présentation du bouddha historique. C’est plutôt une présentation de Butai ou Putai. Butai était un Chan, c’est à dire un moine bouddhiste Zen chinois.
Selon la tradition chinoise, Budai a été un moine qui a vécu au cours de la dernière dynastie Liang de la Chine. Il était originaire de Fenghua, son nom bouddhiste a été Qieci, ce qui veut dire Promesse en chinois.
Il était un homme de bon caractère et respecté par les chinois. Son identification avec le Maitreya Bodhisattva (futur Bouddha) est également attribuée à un hymne bouddhiste qu’il a prononcé avant sa mort.
La création de ses statues s’est répondue en Chine puis à travers le monde. On le trouve aujourd’hui un peu partout surtout dans les temples Zen. Ces statues et statuettes le représentent comme étant gros et rieur vu qu’il a été comme çà durant sa vie.
Dans le folklore chinois, Budai est apprécié pour sa joie de vivre, sa plénitude et sa sagesse. Une conviction traditionnelle existe dans le floklore populaire chinois (mais qui ne fait pas partie de la doctrine bouddhiste). Cette tradition dit que le fait de frotter le ventre de Bouddai apporte la richesse, la chance et la prospérité aux gens. (Source: //www.comprendrebouddhisme.com/connaitre/bouddha-maigre-gros.html)
Au moyen âge, être gros était un signe de puissance et richesse. Plus on était maigre, et plus on était pauvre. Et surtout moins on avait de chance de survivre aux famines.
A la renaissance, voici la beauté idéale: La Vénus de Botticelli illustre à la perfection l'image de la femme à cette époque. Elle est à la fois charnelle et céleste. Teint diaphane, cuisses dodues, poitrines généreuses et embonpoint sont signes de beauté, de richesse et de bonne santé. La taille devait être fine et lisse, sans pli, ni bourrelet. Pour l'obtenir cette taille parfaite, les femmes utilisaient des corsets à baleines qui emprisonnaient leur bustes et donnait un effet d'extrême finesse au niveau de la taille.
Les hanches féminines étaient larges. Ce n'est pas pour rien qu'on compare la silhouette de la femme de la Renaissance à un sablier ou à une bobine de fil, car l'effet obtenu est équivalent. (source: //www.aufeminin.com/portraits-de-femmes/evolution-corps-feminin-d39391c483866.html)
plus près de nous, dita von teese remet les formes au gout du jour:
De quoi relativiser nos kilos en trop!
oh rien n'est pourri par ici, je pense que tout le monde a apprécié cette discussion à sa juste valeur. Nous sommes aussi là pour partager les bons et les mauvais moments, sinon nous resterions plus en retrait. Même si on ne nous voit pas c'est une façon de nous exposer à travers nos mots. Merci Redgine's pour cette reflexion
Bonjour à tous,
A l'occasion de l'épisode de grosses chaleurs que nous traversont (enfin pour ceux de métropole) je me demandais quelles sont vos astuces pour mieux supporter la chaleur et soulager votre corps.
De mon coté j'ai de gros problèmes de gonflement des pieds dès qu'il fait chaud (et de sensation de pieds brulant) du coup je me fais tous les soirs un très long bain de pieds avec des pastilles effet glaçon, je me met aussi du gel effet glaçon. Malheureusement ça ne me soulage que temporairement mais c'est déjà ça de gagné.
J'ai toujours un vaporisateur d'eau thermale et un éventail sur moi.
Je mange aussi beaucoup de fruits gorgés d'eau (melon, pasteque, concombre, tomate...)
Et vous de votre coté?
[quote=redgine's cocktail]
pour les bains dérivatifs, j'ai cherché sur internet : en fait, il faut se mettre l'entre jambe au froid, le cul au frais quoi
aprés le pastis bien frais avec les glaçons, vives les fesses fraiches, Rica Zaraï avait raison !
dés lundi, au boulot, j'essai, je vais mettre une poche remplie d'eau au congélateur, et je la mettrai sur mon siège de bureau
et je vous dirai tout
[/quote]
Je viens de regarder sur Internet
Ah Rika Zaraï... je me souviens lorsqu'elle avait parlé de ses "bains de siège". Mais ça doit donner envie de faire pipi, ça... donc tu vas mettre une poche d'eau remplie au congélateur sur ton siège au bureau, qui va bien entendu fondre à la chaleur de ton corps, et lorsque tu vas te lever (pour aller aux toilettes) tes collègues auront l'impression que tu t'es "oubliée" sur ta chaise.
Oui, dis nous tout
Je n'ai pas encore essayé mais je me souviens de ma mère et de ma grand mère, le bras à 90° au-dessus du lavabo, qui faisaient couler de l'eau froide pendant quelques minutes sur la saignée du bras pour se rafraîchir.
Bonjour à toutes et à tous,
voilà, j'ai fait un peu le tour des forums et je n'ai pas vu exactement le probléme que je rencontre concernant l'image de mon corps...
C'est à dire qu'aprés avoir expérimenté tout un tas de régimes au cours de ma vie, parcours yoyo classique oscillant entre 65 et 95 kilos pour arrondir, je n'ai pas en tête une véritable image de mon corps puisque je n'ai jamais vraiment gardé un poids stable plus de quelques mois.... Sur les photos, je n'ai jamais la même apparence, et dans le miroir, je ne sais que constater l'augmentation ou la réduction de mes rondeurs localisées. Mais il me manque une image globale de moi-même à laquelle je pourrais m'identifier durablement. La plupart du temps je me trouve trop grosse mais lors de mon dernier régime (Dukan il y a 2 ans, perte : 28 kg en 5 mois, poids atteint : 66 kg pour 1m63), j'ai eu soudain la peur de maigrir davantage : je ne me reconnaissais plus, des perceptions de mon corps qui m'étaient devenues étrangères comme sentir certains os saillir de ma peau m'ont parfois fait peur... Pourtant, j'étais satisfaite du chiffre obtenu sur la balance.
Je ne sais pas vraiment comment l'exprimer mais je n'ai jamais vraiment pris conscience de mon corps... C'est comme si je n'étais qu'une tête pensante, avec une bouche que je remplie en fonction de mes émotions. Parfois je prend consciece de certaines parties de mon corps lorsqu'elles sont douloureuses par exemple mais toujours comme si elles étaient distinctes du reste de mon corps.
J'aimerais vraiment percevoir mon corps dans sa globalité pour pouvoir enfin m'identifier à lui et en prendre soin.
Est-ce que ce que je dis vous semble clair ? Est-ce que certaines ou certains d'entre vous ressentent des choses similaires ? Avez-vous des suggestions à me faire pour parvenir à mon but ?
Salut, je poste ici un message relatif aussi à l'image du corps... je n'ai pas tout à fait le meme problème... quoique...
En fait, je me vois d'une façon dans le miroir, je m'apprécie... d'ailleurs...
Et là je viens de voir des photos de ma rando de dimanche sur facebook prise par un type de l'association... et là je me dis, Je suis aussi grosse que ça? le problème c'est que ça génére de la pression à DEVOIR maigrir, et donc ça diminue la bienveillance que j'ai à mon égard...
Oui il faut que je maigrisse, NON je ne veux pas de pression...
Et en écrivant ce post, je réalise que finalement, mon problème rejoint celui de sourire: à force de régime, et de reprises de poids, je ne suis pas vriament consciente de l'image de mon corps.
Ce forum-là, mon corps et moi, je n'y vais JAMAIS :!!!!!
comme si je l'évitais soigneusement
en fait j'attends de mon corps qu'il soit bien sage, pas fatigué, pas douloureux..... et alors ça va
mais dès que....
- je me fais mal par un sport ou une mauvaise posture
- je suis fatiguée
je perds totalement les pédales, je me sens "nulle" corporellement parlant
remonte des vieux souvenirs de la "gym" où mon corps était infichu de rproduire ce que l'on me demandait
cette impression de non-controle angoissante surtout pour une controleuse telle que moi
Je propose ce fil donc pour partager nos expériences d'inconforts corporels en pleine conscience : fatigue, douleur, par exemple
Dans mon cas, je pense que c'est un gros frein à mon amincissement ultime (on va dire) puisque j'ai si peur de me faire mal et de réveiller cette histoire de "la fille qui ne controle pas son corps" que je m'économise au moindre effort
donc je m'engage à venir ici décrire mes inconforts corporels pour essayer de les dédramatiser et arrêter de lutter toujours contre tout ça
en essayant de le vivre en pleine conscience
ce qui à mon avis est plus difficile qu'un ressenti-pensée, vu que dans le corps, ben là on va ressentir !!!!
j'ai même un peu peur de m'être lancée ce défi à moi-même, là.....
mais je sens que j'en ai vraiment besoin
n'hésitez pas à me rejoindre
ah oui il faut s'y remettre
j'ai eu tellement mal au dos et au cou depuis une semaine que bien sûr j'ai "fui"
je viens de faire 10 secondes (et déjà c'est dur)
beaucoup de peurs, peur de souffrir essentiellement si je place ma conscience dans mon corps
à refaire donc chaque jour pour sortir de ça
Un petit cri du coeur aujourd'hui... Je suis nouvelles mais on m'a dit que la communauté était géniale de soutien et d'entraide. C'est ce que je viens chercher: vos témoignages m'aideront peut être....
Je sais que ça pourrait en faire hurler certaines car je n'ai finalement pas beaucoup de poids à perdre par rapport à d'autres, mais on est toutes dans le même bateau je crois...
Donc ce matin, j'ai pleuré en me voyant dans le miroir. Ce n'est pas la 1ere fois que ça m'arrive, non. Ca me fait mal de voir tous ces kilos sur moi, je trouve ça moche, j'ai du mal à me reconnaitre. Je suis boudinée dans mes vêtements, je ne peux pas m'habiller comme je le voudrais et ça me déprime.
Quand je me suis regardée, j'ai dit à celle que je voyais "j'aimerais pouvoir t'aimer" mais j'ai du mal... Les larmes me montent aux yeux à érire celà.
Je sais qu'il faut que je m'accèpte, sans quoi tout ce travail sur l'alimentation risque d'être contre -productif. Je sais bien que je dois cesser de me battre contre moi-même, c'est pour cela que je suis ici et non sur le site d'un énième Ducon ou Co***. Je sais que je dois éprouver bienveillance et bien être pour commencer... Je sais aussi que c'est le plus dur.
J'ai lu récemment que notre corps devait être notre meilleur ami, car c'est grace à lui que nous ressentons, que nous aimons, que nous vivons... Pour l'instant, il est à peine mon pote. Comme si lui et mon esprit étaient 2 entités à part...
Comment réconcilier tout ça?
ce que l'on remarque souvent c'est que les gens qui nous entourent ne nous jugent pas. C'est nous qui nous faisons du mal en imaginant que l'on nous regarde de travers. L'image que l'on a de nous, le regard que l'on porte sur notre corps est souvent sans complaisance, c'est ce qu'il faut changer même si ce n'est pas facile
bon retour ici! et bonne réconciliation