Mon vécu du programme
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Oui, j'adore cette expression et j'avoue que je voulais piquer votre curiosité
Parce qu'en 2011, en achetant les livres et en découvrant ce forum, j'étais cette pauvre poule, qui en grattant le sol dans son poulailler, découvrait soudain un couteau ! (à la place des vers de terre habituels et autres trucs peu ragoutants)
Ce couteau, il était sacrément brillant, différent, excitant, mais aussi mysterieux, déroutant et un peu dangereux ...
Donc après avoir tourné longuement autour, je l'ai ramassé, puis comme ne savais pas vraiment quoi en faire, ni surtout comment m'en servir, je l'ai rangé quelque part.
Je l'ai ressorti en janvier, avec mes bonnes résolutions des années précédentes, j'ai viré la poussière.
Je l'ai redécouvert, comme si c'était hier, et au fur et à mesure du programme, j'en ai moins peur, je l'apprivoise, je lui trouve de nouvelles fonctions, surtout en parcourant le forum, en lisant vos témoignages, vos analyses, vos réussites, vos échecs, vos évolutions ...
Et vous savez quoi ? mon couteau est un couteau suisse : et quasiment toutes les semaines il a une nouvelle lame !!!
Alors peut-être que vous trouverez une autre image que ma poulette et son couteau, moins animale ? moins "sexiste" ? idem pour le couteau ... mais c'était juste pour vous dire que ça fonctionnait, qu'il fallait juste prendre le temps de se donner du temps. Ne pas baisser les bras, ne pas se décourager. Et que finalement, cet auto-support entre nous était une des choses les plus fortes et efficaces du site.
Allez, courage les poulettes
Bonjour à toutes et à tous,
Je voulais vous faire partager une expérience de repas que j’ai fait ce weekend.
J’ai démarré le programme la semaine dernière et entre temps, nous sommes partis en weekend à Milan avec mon chéri pour fêter nos un an.
J’appréhendais à mort ce weekend en Italie car je sais qu’on y mange bien, souvent en grandes quantités et que parfois ce n’est pas très « diététique ».
Malgré tout, j’avais envie de me faire plaisir, de profiter de ce moment de complicité avec mon homme et de célébrer notre anniversaire (que ce soit par la découverte culinaire ou culturelle).
Je n’avais donc pas envie de me mettre en « restriction cognitive », mais je vivais très mal par anticipation le fait de « me lâcher » et de me faire plaisir. La perspective des repas était une angoisse énorme !
Le premier soir, je m’étais faite toute belle pour sortir et profiter à fond du moment. Nous avons beaucoup tergiversé pour trouver un endroit où manger et je commençais à avoir très faim et à me sentir mal en pensant que j’allais craquer à mort pendant le repas car j’avais trop faim.
Nous avons finalement choisi un restaurant limite gastronomique et là, j’ai commencé à regarder la carte, il y avait plein de bonnes choses.
Et il y a eu comme un déclic, je ne sais pas bien comment expliquer ça, mais j’ai eu envie de me faire plaisir, de me faire du bien et de partager un bon moment de convivialité avec mon chéri.
Nous avons partagé une entrée (alors que d’habitude, moi c’est plutôt « pas touche à mon plat » haha) et carrément pris notre temps au restaurant en dégustant réellement tous nos plats (alors que les autres couples autour de nous arrivaient et partaient sans arrêt), nous avons bien dû passer 3 heures en tout au restaurant alors que rétrospectivement parlant nous n’avons pas mangé tant que ça (quelques gnocchis partagés à deux, une petite pizza fine chacun et une petite part de tarte aux fruits en dessert).
Mais ce que j’en retient c’est d’avoir pris un plaisir immense à déguster ce que j’ai mangé, d’avoir véritablement « choisi » ce que j’ai mangé parce que j’avais envie de le manger, que ça me faisait plaisir.
De m’être demandé après le plat principal si un dessert me faisait réellement envie, et en le voyant en vrai me disant « oh oui ! il est beau, il est appétissant et j’ai encore une petite place pour lui et le plaisir qu’il va m’apporter ».
Après être sortie du restaurant, je me sentais hyper bien ! Heureuse, détendue d’avoir passé un bon moment, j’avais passé une excellente soirée et je ne regrettais absolument rien ! (fait hyper rare pour moi, je regrette souvent d’avoir « craqué » ^^’).
A aucun moment je ne me suis dit que j’étais moche ou grosse d’avoir mangé. Je me sentais limite sexy à être heureuse ^^
Je garde ce souvenir du restaurant en mémoire pour me remémorer qu’il est possible de manger ce qu’on aime en tout plaisir, sans aucune culpabilité sous-jacente. Juste dans le bonheur de partager un moment de convivialité et de joie :D
Je voulais le partager avec vous :)
Bonne journée et courage ! Nous sommes sur la bonne voie pour nous réconcilier avec nous-même
Raphy
Oui merci de partager cette très belle expérience avec nous !! Ca donne des envies d'Italie !
(à défaut de déjà bien réussir la pleine conscience ... )
Voilà, cela fait un mois que j'ai (re) commencé l'experience Linecoaching (après un passage en 2011, où je n'étais clairement pas encore mûre ...) et je me sens mieux ... tellement mieux, que contrairement à mes autres (centaine d') expèriences de perte de poids, je ne suis pas obsédée (ni trop effrayée) par ma balance !
La preuve ? ce matin en reboutonnant mon pantalon aux toilettes du travail, je me suis soudain aperçue qu'il flottait à la taille (alors qu'après noël j'étais très serrée), du coup j'ai foncé à l'infirmerie (je bosse dans le médico-social) et j'ai osé monter sur la balance (étalonnée tous les ans !) même pas à jeun, même pas nue comme un ver (avec un jean, un pull, des chaussures et une grosse écharpe ! oui, même pas peur !) et là, divine surprise : - 1,8kg en 1 mois !
Alors, certes, contrairement à mes autres (maudits) régimes, le resultat n'est pas fulgurant, mais justement, c'est en cela qu'il me rend fière et confiante car il ne ressemble pas à un feu de paille.
Je ne fuis plus les grignotages, les envies de manger EME, juste j'y réfléchi, je les contemple ... et s'ils sont toujours là, j'y vais sans craintes, mais en essayant de les déguster, de les faire durer ... chez moi, en ce moment, j'ai deux sachets de graines épicées, type arachide, et je n'en ai entamé qu'un, et il en reste les 3/4 ! En fait, l'interdit donnait beaucoup plus de goût à ces aliments "tabous".
J'ai également constaté, au travail, que si l'ennui et surtout le stress (EME) me poussait dans la cuisine/salle de pause, la faim y était également pour beaucoup ... le midi, à cause de mes anciens conditionnements, je ne mangeais souvent qu'une salade composée, qui ne me calait que sur le moment ! Hier midi, j'ai fait une belle découverte, bête comme chou : j'ai garni un bon morceau de très beau pain aux graines de ma salade composée lambda (roquettes, tomates cerises, avocat, chiffonnade de jambon cru) et j'ai obtenu ... un sandwich !!! (fière comme si j'avais inventé l'eau chaude !) je l'ai mangé longuement, me suis régalée et pas eu faim du tout jusqu'au soir.
Aujourd'hui, j'ai l'impression d'avoir muri, d'être devenue plus sage ... et pourtant la pleine conscience ce n'est pas encore ça ... mais comme j'ai décidé d'être bienveillante avec moi-même, ça ne me prend plus la tête, je ne suis pas parfaite, alors j'y vais à mon rythme ... et je zute les obsédées du régime et du contrôle qui m'entourent au travail et ailleurs !
[quote=lorraine]
Fitzie, je crois bien dans la manière dont tu vis les choses, quand tu décris tes dégustations,que tu y es en pleine conscience, tu manges en pleine conscience par exemple...;Ca vaut bien une séance de respiration en pleine conscience (rpc)!
Et bonne continuation
[/quote]
Merci pour cet encouragement ... parce j'ai vraiment du mal avec la pleine conscience, quoique maintenant que j'y pense, ça va de mieux en mieux ...
Quand on "débarque" dans le programme, cela est parfois facile, pour certains, de faire confiance à leurs sensations, écouter leur faim, leur non-faim, etc... perdre rapidement du poids
.... et laisser perplexe ceux pour quoi cela est beaucoup, beaucoup, beaucoup... plus compliqué
vous vous reconnaissez là-dedans?
eh bien pour moi cétait comme ça aussi
j'avais lu les travaux de Zermati et Apfeldorfer depuis l'an 2000, alors je savais pertinement qu'il "fallait" écouter ma faim, cependant je n'y arrivais pas
c'est bien d'ailleurs pour cela que je me suis inscrite ici, et j'ai très bien fait !
je veux aborder dans ce post pourquoi cette difficulté à écouter ses sensations, mais aussi surtout à les suivre, vraiment, à l'aveuglette ?
rien que ce mot, à l'aveuglette, pourra hérisser les poils de n'importe quelle personne qui exerce un contrôle phénoménal sur sa faim et l'acte alimentaire en général
cela peut être du à une pratique des régimes, ou à un essai de pratiques (mon médecin s'est escrimé pendant des années à me faire suivre une "hygiène alimentaire" que je tenais maxi deux jours)
mais cela me semble finalement beaucoup plus lié au fait d'avoir du mal avec l'incertitude
c'est à dire qu'on ne sait pas quand on aura faim, quand on n'aura plus faim
on ne maitrise pas les choses et surtout on ne sait pas quand elles vont se produire
pour ma part, je vois que c'est encore une source d'inquiétude, et cela doit être certainement pour ça que je suis devnue une spécialiste en appétit prévisionnel
et c'est pourquoi il est absolument essentiel, pour pouvoir véritablement écouter et suivre son corps via les sensations, de faire de la place à cette chose qui nous inquiète tant : l'incertitude
faire de la place, c'est simplement s'élargir (comme on le fait dans l'espace de respiration), élargir autour de ce ressenti, le laisser exister en soi-même, et être présent à soi-même tout en ressentant cette chose-là, sans se contracter, mais au contraire en s'élargissant, en se dilatant
ce que je vous propose dans ce fil, c'est d'accueillir ce ressenti bien spécifique, et notamment en lien avec nos expériences de faim et de satiété
ce ressenti est notamment très présent dans l'étape de la satiété, mais aussi de la faim, mais encore plein d'autres étpaes
et puis au quotidien.....
dès que vous ressentez l'incertitude, venez-ici faire un genre d'espace de respiration, et puis le noter pour encourager aussi tout le monde
ensemble, on sera mieux à même de se motiver pour faire de la place à cette incertitude, et donc remettre du vrai choix conscient dans notre vie
tant mieux si ça te parle, c'est n'est pas mon approche, mais celle d'une thérapie proche de la mindfullness, qui s'appelle l'ACT thérapie et que je trouve très efficiente à la fois pour moi et pour mes patients (eh oui je suis psy)
c'est sûr que c'est très important de pouvoir se poser la question et faire le choix de sortir du 200km/h
souvent cette attitude là est une attitude fuite, d'évitement, pour éviter de se ressentir, pour éviter de ressentir pas mal de choses
enfin bien sûr cela ne marche pas car ensuite ça nous retombe dessus
c'est le principe des fameuses fins de journée, qui sont travaillées dans le programme
pour ma part cette étape m'a beaucoup aidée
voilà mon ultime défi
je n'ai encore que rarement une bonne faim pour le diner !!!
eh oui les amis
là aujourd'hui j'ai déjeuné (tard) au resto, entrée-plat-dessert, je me suis fait plaisir, et d'ailleurs cela me faisait plaisir
seulement il est 20h je n'ai pas l'ombre d'une faim, alors qu'en général je dîne à 19h
et depuis une heure, me voilà en train de m'observer, car cela n'a rien d'évident
c'est qqchse que j'ai fait qq fois seulement
donc je me dis que j'ai besoin d'un défi ciblé spécialement sur le soir, car c'est le seul repas que je mange fréquemment sans faim (les autres quasi jamais maintenant)
quand je porte un regard en moi-même, dans l'attente de cette "bonne faim" qui ne vient pas (et risque de ne pas du tout venir), j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup de pensées
liées à l'incertitude (je risque d'avoir faim juste avant de me coucher)
liées à la peur de ne pas y arriver
liées au jugement sur le fait d'éventuellement ne pas y arriver
donc ça mouline sévère là-dedans....
et puis au final je dois tout de même faire un diner pour ma fille, donc il va y avoir d'autres choses à observer
je reviendrai ici les noter
bravo les filles!
pour moi aussi hier soir une bonne faim pour le dîner
Suite à une discussion dans le sujet "La victoire du jour" je remets ici mon expérience avec miss estomac et madame chocolat. Venez partager vos expériences avec vos miss et mister intérieurs! :)
"Conclusion, j'ai trop mangé, beaucoup trop mangé. A tel point d'avoir la nausée en rentrant le soir, à regretter d'avoir mangé tout ça. Bref on rentre à la maison et on se dit ce soir on ne mange rien. Moi intérieurement "rien de rien? Ca va être dur quand même". Le soir arrive et donc mon corps me dit "je ne veux absolument pas manger, c'est la dernière chose dont j'ai envie". Par contre ma tête "rha je me mangerai bien qd même un biscuit/bout de chocolat/yaourt sinon je vais avoir faim/tomber dans les pommes/ mal dormir/ faire une hypoglycémie cette nuit (oui oui j'ai le sens de la mesure). Et ben, grâce à mon chéri qui m'a soutenu, je n'ai pas avalé le moindre aliment. On a juste bu une tisane digestive. J'ai survécu même si j'ai ressenti un manque. Comme quoi je peux me passer de repas du soir après un gros repas et survivre (sens de la mesure tout ça tout ça )
J'ai vraiment pu sentir l'envie de manger émotionelle pure, mon corps refuse de manger mais mon esprit le souhaite. Vraiment curieux, comme si il y avait deux personnes en moi : miss estomac et madame chocolat. Il ne me "reste qu'à les réconcilier ou au moins de les mettre d'accord et à prendre soin des deux."
Et chez vous comment s'appelent et s'entendent-ils ?
Les jolis noms viennent de cet été Petronille. Et merci Clairette.
oui c'est très important d'échanger, n'hésitez pas à provoquer ces échanges car ils nous font généralement beaucoup progresser, y compris ceux qui lisent simplement sans participer
Je démarre juste mais c'est un défi que je veux me lancer et ça m'aiderait que vous soyez avec moi
Nous mangeons dans le salon (à table, sans télé et en famille), la cuisine ne "sert" donc qu'à la préparation des repas (c'est à dire moi 365 jours par an exclusivement!!!).
Or je me rends compte que beaucoup beaucoup de prises alimentaires, de grignotages ont lieu dans la cuisine, "en cachette" en quelque sorte, debout, sans déguster, juste en avalant, et très souvent en préparant les repas.
Je pioche, sans y penser ou parfois consciemment...
Ce qui fait qu'arrivée à table je n'ai plus faim, et c'est souvent là que commencent les ennuis et le trop trop trop plein du dîner...
Donc voilà, le défi c'est j'arrête de mettre des choses dans ma bouche sans y penser si je ne suis pas assise tranquillement à table.
C'est un ENORME défi pour moi qui fais n'importe quoi de ce côté là depuis un moment déjà. D'autant plus, qu'avant d'être detraquée par toutes mes restrictions alimentaires, j'ai toujours été naturellement une grignoteuse...petit appétit mais j'aime goûter à tout en petit...
oui il y a deux fils pour cette journée
celui-là a été créé par une participante à la journée
et l'autre a été créé à sa place habituelle, par une coach
la place habituelle pour échanger sur les journées thérapies est dans le forum : Actualités des groupes de soutien
mais je trouve chouette qu'une participante à la journée ait créé ce fil, n'hésitez pas à créer des fils pour lancer des échanges, cela fait vivre le forum
Salut à toutes,
Je m'étais interessée il y a quelques temps à la notion de kilos émotionnels. ça faisait complètement sens pour moi car mes kilos sont majoritairement associés aux eme.
et dernièrement j'ai pu expérimenter comment le corps joue un rôle protecteur face aux émotions inconfortables et notamment face à mon hypersensibilité.
Après une phase eme-zen completement ratée il y a deux semaines, je me retrouvais agréablement surprise la semaine qui suivait à manger en pleine conscience, à savourer, à écouter ma satiété, à trouver du réconfort et du plaisir dans les aliments. Tout n'était pas parfait, j'avais encore des eme tous les jours, mais la pratique semblait avoir payé, la quantité de nourriture était largement diminuée, je développais la notion d'appétit spécifique et je sentais même que je m'étais allégée de quelques grammes, voire peut être même d'un kilos.
Cette même semaine je découvrais également mon "hypersensibilité".
Et cette semaine, tout se casse la gueule. Au contact de cette vulnérabilité, de ce sentiment de trouille quasiment permanent chez moi, je me suis confrontée à un état d'agitation interne terrible.
J'ai ressenti cette nervosité si fort qu'il a fallu manger à nouveau en quantité, comme pour mettre une enclume à l'intérieur, comme pour m'allourdir tellement je tremblais d'agitation à l'interieur. Peut être que ce que je vous dit vous parait fou. Mais j'ai eu le sentiment qu'après m'être un peu allégée, mes émotions m'amenaient à me "ré-envelopper".
En tout cas, après une semaine que j'avais trouvé idyllique tellement j'avais progressé en terme d'écoute de soi, et de respect des sensations, je me retrouve aujourd'hui le moral dans les chaussettes. Je me suis "alourdie" de nouveau, ne pouvant vivre en pleine conscience aucune eme, et ayant simplement le besoin de remplir.
Je voulais partager avec vous ma tristesse, tout d'abord. Et puis aussi cette notion de protection. Car parfois niveau technique on se débrouille bien, on suit les consignes, on pratique, et ça finit par payer même si c'est pas tout de suite. Mais comment faire quand lorsqu'on s'allège on se sent encore plus vulnérable?
Je suis un peu abattue, je me sens comme dans un cercle vicieux. J'apprend à accueillir mes émotions, du coup ça se passe mieux, je mange moins, je maigris et là je me sens envahie par encore plus de peur, de fragilité, et donc je repars dans les vieux schémas.
Je crois que j'ai eu l'impression que plus j'étais en conscience de cet état d'agitation à l'intérieur, plus je me rendais compte que je passais quasiment toute la journée dans cet état là. Et ça m'a fait peur! Je me suis sentie vraiment vulnérable, et dépassée surtout. Après des mois de pratique de pleine conscience, je me suis sentie plus agitée que jamais, déçue de ne pas observer une petite diminution de mon anxiété, et je me suis sentie impuissante.
Comment j'allais pouvoir mener une vie heureuse en étant en permanence dans cet état de peur, d'agitation?
Aujourd'hui je me pose encore la question. Dois-je vivre recluse pour m'éviter le stress? Mais j'aime trop la vie avec les autres, les moments de partage!
Je vous avoue que je ne sais plus quoi faire ou quoi penser, alors si vous avez des idées, je suis preneuse.
Au plaisir de vous lire.