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bonjour, je viens de terminer mon carnet découverte et je remarque d'emblée une différence les jours où je travaille et les jours où je suis à la maison
Je bosse en pause de 12h (plus les temps de trajets aller-retour) , Bref je pars à 6h30 et je reviens à 19h30.
Au boulot, je n'ai pas vraiment de temps de pause. Quand on mange , on est constamment dérangé (téléphone qui sonne non stop, demandes diverses). bref on se lève 20x sur notre heure de "pause"
Il n'est pas étonnant que l'on soit toujourr scotché au frigo ou qu'on se jette frénétiquement sur un chocolat quand on en voit passé 1.
Sutout, ce qui me stresse, c'est le fait que l'on ne sait pas a quelles heures on va pourvoir manger.
Comment vous faites pour gérér Lc au boulot, avez vous des astuces?
Sans oublier le retour à la maison où j'ai rarement l'occasion de rentrer tranquille et de m'installer à table.
Sweety
Coucou Cappuccino !
Oui bien d'accord avec toi et surtout être patiente et pas trop vouloir faire parfaitement.... enfin ça vaut pour la vie en général hein. Hé hé
Je suis en train de lire un livre de Russ Harris, que j'avais en anglais depuis deux ans, mais que je n'avais pas fini
j'ai fini par me résoudre à l'acheter en français et là je l'ai fini en moins d'une semaine (enfin j'en suis au dernier chapitre)
c'est le choc de la réalité pour ceux que ça intéresse
du coup j'ai fait un exercice du livre, qui s'intitule "un moment doux" et qui permet de vraiment cerner des valeurs très importantes pour nous
pour moi, sans surprise :
- la connexion à l'autre
et
- la beauté
voilà deux valeurs qui me sont absolument essentielles et depuis je m'efforce de leur donner plus de place dans ma vie
donc je me dis pourquoi ne pas créer un fil de discussion pour déposer tous ces gestes et attitudes du quotidien qui vont dans le sens de nos valeurs
la conversation se poursuit sur ce fil :
//www.linecoaching.com/forum-topic/values-en-anglais-dans-le-texte
De mon côté, avec mon système nerveux hypersensible, à partir de 16h je ne suis plus au top de mes capacités, loin s'en faut...
or certains jours c'est l'heure à laquelle je commence à recevoir des patients, et ce jusqu'au soir. D'un côté je suis obligée quand je travaille à être en pleine conscience donc cela n'est pas si mal pour mon système nerveux, mais c'est tout de même assez fatiguant
c'est pourquoi il est absolument essentiel pour moi de réussir à décompresser en fin de journée, sinon c'est l'overdose sucrée assurée
Je vous propose un nouveau fil, en continuation de l'ancien, pour venir y poser nos moments de décompression
Hier soir, après une journée bien remplie et un poil frustrante, je me suis posée sur le canapé et au lieu d'allumer la télé (mon ancien réflexe), et bien j'ai commencé à me concentrer sur ma respiration
je dois dire que l'on décompresse bien plus vite ainsi qu'en voyant la télé, même des émissions tranquilles
alors à vos tests de moment "décompression".....
oui je pense qu'il faut garder celui qui dans l'espace je gère mes fins de journées, car il est plus à sa place
c'est d'ailleurs un nouvel espace qui a été récemment créé, spécial sur les fins de journée, et il est tout en bas des forums
voici le lien pour ceux qui veulent s'y rendre.....
//www.linecoaching.com/forum-topic/mon-sas-de-decompression
je ferme les commentaires sur celui-ci pour que ça ne fasse pas doublon
Bonjour à tous et à toutes,
Suis-je la seule à être un peu perdue ?
Je ne trouve pas la méthode très structurée. Il y en a partout. Je ne sais pas par quel bout commencer et il n'y a pas de suivi journalier. Et puis c'est une idée ou il y a des bugs sur le site (exemple les activités quand je clique sur continuer j'arrive sur bilan alors que je n'ai pas terminé l'activité, etc.)
ça me perturbe un peu et surtout cela ne me motive pas du tout.
Quelqu'un a-t-il essayé l'activité "Je travaille sur les sources de stress liées à mon poids" ? Je ne comprends pas trop où cela nous amène. Ok je suis allée essayer un vêtement dans un magasin, je me suis regardée dans le miroir et j'ai vu que j'étais une grosse dondon. ça fait mal ok et après ??? Qu'est-ce que ça nous apporte de faire ça ?
oui il persiste encore quelques bugs
c'est bien de les faire remonter pour les régler rapidement
ensuite, pour le suivi, il est essentiel d'aller dans son espace personnel et continuer son programme alimentaire
c'est là que sont tes activités du jour, dans le parcours alimentaire
il y a en plus les activités libres, mais l'essentiel est tout de même le parcours alimentaire
concernant le travail sur les sources de stress lié à son poids, l'idée est de se confronter à ses émotions concernant son corps au lieu d'être dans l'évitement qui (à terme) ne fait que renforcer des sentiments très forts de honte et de répression des émotions.
Il est important de répéter ces exercices plusieurs fois, ils visent surtout à nous aider à sortir de l'évitement et du repli sur soi
à dédramatiser le surpoids
c'est sûr que ça serait un travail plus profond suivi avec un thérapeute, mais là ce sont surtout des outils en libre accès qui nous demandent donc il est vrai un peu d'indépendance
après , si je me souviens bien, on peut avoir une formule plus "renforcée" sur LC avec un suivi et des entretiens cliniques réguliers avec une coach attitrée
si tu as besoin de plus de suivi, ça peut être une solution
a savoir que dans l'abonnement normal, tu peux aussi bien sûr t'adresser aux coachs, mais que cela demande tout de même plus d'autonomie
personnellement je préfère, mais parfois on a besoin de plus
à voir donc....
Bonjour,
Après 12kg de perdu, lors d'une première session Linecoaching il y a 3 ans, depuis quelques kilos se sont réinstallés dans ma vie et m'ont donné l'occasion de démarrer une nouvelle session. J'arrive au bout des 6 mois sans avoir été au bout de la méthode.
Depuis que l'on se connaît (30 ans ?), c'est ma femme la chef à la cuisine, même si j'aimais cuisiner avant. Pas de place pour moi, même en tant qu'assistant.
Engager sur quelques jours, le travail sur la Faim par exemple, ne lui plaît pas du tout, cela bouscule son organisation, elle travaille encore, tout défi sur le sujet est perçu comme une agression.
Cela fait deux ans que je suis à la retraite et ma "désinvolture" renvois à sa tension sur son travail (en télétravail qui plus est).
Je ne sais pas quoi par quel bout prendre le sujet ...
Olivier
eh bien moi je trouve ça bizarre
si tu as plus de temps qu'elle, pourquoi n'accepte-t-elle pas que tu la décharges en faisant la cuisine alors qu'apparemment tu veux le faire?
j'ai longtemps fait toute cuisine, mon homme ne savait même pas manier une casserole
il se trouve que l'an dernier j'ai été malade et clouée au lit, donc il s'y est mis a minima
du coup maintenant il cuisine, bon il est vrai que ce qu'il fait, je n'aime pas vraiment, je trouve que c'est toujours un peu la même chose, mais il ne cuisine du coup que pour lui et des fois j'en mange, et cela fonctionne très bien comme ça
il faut dire que chez nous, on est très libres par rapport aux contraintes sociales des repas : chacun mange selon ses envies et quand il a faim, et on arrive bien à jongler
c'est facilité par le fait qu'on travaille tous deux à la maison, donc on se voit tout le temps, pas besoin de se "retrouver" aux repas
peut-être que te concocter de bons petits plats est sa façon de te montrer qu'elle t'aime, mais si cela génère de la tension, des obligations, à mon avis, y'a un problème
si tu as envie de faire la cuisine, fais-le, tu es chez toi ! on a le droit de développer de nouvelles passions à la retraite 
parles-en avec elle car il n'y a aucune raison d'avoir ainsi des "territoires" qui n'appartiennent qu'à l'un ou l'autre
surtout à la retraite, les choses changent, il faut pouvoir aussi changer avec
bon courage j'espère que vous pourrez avoir un dialogue constructif sur cette question
Ah que c'était bien les régimes !
Quelqu'un savait, quelqu'un avait la solution, quelqu'un allait prendre les choses en main.
On me disait quoi faire, quoi manger, comment, où, combien.
Facile, il suffit de suivre, il suffit d'être bien gentille et d'obéir.
Et puis, ça occupe. Il faut compter, peser, faire les courses, prévoir, noter, se peser, planifier ses menus, ses sorties, aller au réunions, à la consultation, à la pharmacie.
Il faut lire des bouquins de régime, tester, comparer, se tenir au courant. Il faut acheter des magazines.
Il faut marcher, courir, nager, fréquenter une salle de sport, se faire faire des massages. Puis fréquenter le kiné pour réparer ce qui est cassé.
Il faut trier sa garde-robe, racheter des vêtements de toutes les tailles, ou prendre des cours de couture.
On s'occupe de soi, tout le temps, tout le temps, tout le temps.
Maintenant c'est fini.
Je ne me tracasse plus de quoi manger, ou, combien, comment. C'est ma faim qui fait ça, elle le fait toute seule.
Je me contente d'une promenade de santé et de quelques brasses le samedi matin.
Je ne lis plus de livres de régime, je préfère un bon roman.
Je ne sais pas si je maigris ou pas, je m'en fiche.
Et je m'ennuie.
J'ai trop de temps pour moi, et ça fait 40 ans que le temps pour moi sert à me faire maigrir.
Pour enfin vivre !
Mais je ne veux plus maigrir, je veux vivre directement.
Et ça, je ne sais pas trop comment faire.
Je me sens un peu coupable, un peu larguée.
Je fais quoi de tout ce temps gagné ? J'ai gagné en plus des heures de sommeil en réglant mes problèmes d'insomnie.
J'ai du temps pour vivre.
Et je ne sais pas vivre.
La bouffe, les régimes, ça prenait tout mon temps, ça prenait toute ma vie.
La bouffe, les régimes, ça remplaçait sûrement quelque chose, mais quoi ?
Si je ne m'occupe plus de maigrir, il faut que je retrouve de quoi m'occuper....
Si je m'ennuie, je vais manger, et je vais grossir et il faudra maigrir...
Et si faire des régimes ce n'était pas s'occuper de soi mais au contraire, s'éloigner de soi ?
Je sais ce que je vais faire.
Je vais apprendre à me connaître, à vivre avec moi.
Je suis sûre que ça va m'occuper longtemps.
Peut-être bien toute la vie, tiens....
super tout ça !!!
de mon côté je n'ai jamais été capable de suivre le moindre régime, sauf quand j'avais 15 ans et que j'ai fait un truc de magazine genre "oeuf dur' et compagnie
ensuite mon médecin s'est acharné à me faire des plans avec des grammes de ci ou de ça qui soit-disant n'étaient pas un régime (mon oeil)
bref je ne perds que lorsque je me détends et que je me fais plaisir sur des petites quantités
Vu sur FB à l'instant, une petite BD marrante sur "Accueillir une émotion"
moi qui suis très "visuelle" et qui adore les métaphores (la seule qui me permet de comprendre!!
), j'ai bien aimé le côté BD
voici le lien :
//conscience-quantique.com/extrait-2-accueillir-une-emotion/
la suite sur le site en question (que je ne connais pas, je ne conseille pas ce site, mais je trouve la BD vue sur cette page assez parlante)
De mon côté : deux carrés de Milka lait
je prends les deux carrés, je me mets dans mon canapé, je les déguste en ressentant le réconfort
et je recommence au besoin
cela n'est pas mon chocolat préféré, il est un peu trop sucré et pas assez fin par rapport à du Lindt, mais je ne sais pas pourquoi il remplit bien le rôle de réconfortant, ça doit être le sucre mélangé à un peu de gras, un peu âcre aussi
bon parfois je change selon les envies du moment, mais en ce moment mon aliment réconfort, ce sont ces deux carrés de chocolat
chris212 ven 02/06/2017 - 00:29Mon aliment réconfort, le chocolat noir à 70%
.
J'adore ça... Je le laisse fondre lentement, très lentement... Et le goût persiste très longtemps. A la fois doux, amer, fruité. Souvenirs qui remontent à la surface... Que du plaisir !
Lorsqu'une EME se profile à l'horizon, c'est le chocolat qui va me réconforter... Et sans culpabilité.
Par contre je ne pourrai certifier par avance que seuls 2 carrés me suffiront en cas de très grande EME !L'EME-zen me permet de passer le cap si nécessaire... Mais cela demande de l'entrainement, de la constance, de la patience. Et un jour on réalise que c'est bon !
peu importe le nombre de carrés, c'est super que tu aies un chocolat réconfort
ce qui est important c'est de déguster ce chocolat sans rien faire d'autre, en tout cas pour moi
dès que je vois la télé en même temps je m'aperçois que le réconfort ne vient pas, ou pas aussi bien, et généralement ça peut tourner à la compulsion
alors qu'en dégustant dans le canapé en me concentrant et sentant le réconfort, là, ça le fait.....
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Bonjour
J'ai bien besoin de partager avec les plus anciens pour connaître leur expérience du debut du coatching. Je viens en effet de commencer depuis 6 jours. Je suis contente mais c'est difficile de s'interroger tout le temps. Ca marche un peu sur la satiete hier je l'ai ressenti et j'ai diminué mes portions sans effort mais j'ai perdu un certain plaisir car les aliments désormais ont presque tous des défauts qui me renvoient à l'idée de devoir chercher d'autres aliments... quel travail et vais-je les trouver ? dois-je les chercher ou de m'en contenter ?
J'aime bien boire une biere de temps en temps mais je m'en prive car ca inhibe tres facilement les sensations de faim, satiete et gout et texture des aliments quel sacrifice ?!!
pouvez vous me donner votre avis sur ce demarrage car au stade de remplir les 7 jours sur le cahier de consommation on se sent bien seule. Comment avez-vous fait ? merci pour votre aide.
le fait de s'interroger tout le temps ne doit pas être envisagé comme une obligation à toujours bien faire, car le but est simplement de nous inciter à "porter attention" à nos sensations
se mettre dans la sensation du moment présent, notamment pour la faim, la non-faim, la "plus faim", mais aussi ce que je ressens au niveau émotionnel, ai-je besoin de réconfort, ai-je vraiment envie de cet aliment?
l'ensemble des carnets nous oblige à porter notre attention sur les choses
ce qui est important c'est de porter une attention bienveillante et ne pas se mettre en mode "bon élève" qui fait tout bien, en mode régime quoi
mais plutôt développer cette nouvelle relation à nous-même : en observation et bienveillance
en même temps, en portant systématiquement notre attention sur les sensations, donc sur le présent, on est en train de commencer à construire un nouveau mode alimentaire
en bref, ce qui est importnat c'est de porter attention, et non pas de réussir à savoir ou à faire bien
si tu observes que tes aliments habituels ne te satisfont plus, tu pourras progressivement t'orienter vers ce que ton corps appelle
parfois on a des surprise, par exemple moi j'ai des envies de fruits quand j'écoute mon corps et mes papilles gustatives, enfin de bons fruit bien sûr !!!!
pour la bière, eh bien justement une fois de temps en temps, tu te fais ce petit plaisir, moi je le fais également, peu importe si ça fausse les sensations (ou non), du moment que c'est de temps en temps, tu seras capable de réguler les approximations en écoutant simplement tes sensations
cependant dans le début du programme il est conseillé de ne pas réintégrer trop vite trop d'aliments qu'on ne consomme pas depuis longtemps
tout simplement parce que pour la satiété, cela est plus compliqué à ressentir, en effet notre cerveau n'est pas habitué à ces aliments et la satiété peut être plus incertaine
c'est vraiment plus facile, au début, de ressentir faim et satiété sur les aliments que l'on connait bien, que l'on mange très régulièrement
c'est pourquoi réintroduit en douceur, genre un aliment par semaine
pour les aliments très riches, il y a même une étape spéciale pour nous apprendre à ressentir le rassasiement au niveau des sensations gustatives
donc plein d'aides et d'exercices vont t'aider à affiner tout cela
maintenant porte simplement ton attention sur tes envies et tes sensations, mais sans te prendre la tête et sans vouloir à toux prix respecter tout le temps tes sensations
l'objectif principal est que tu restes au contact de ton corps, ses besoins, par le biais de tes sensations
Bonjour,
je me sens épuisée. moralement, physiquement, socialement... je suis diagnostiquée bipolaire et je souffre aussi du trouble de personnalité limite. Mes émotions ont tout le pouvoir. Et notamment celui de me faire manger pour les apaiser. depuis que je suis sur ce site, j'ai trouvé quelques réponses à mes questions... mais j'ai trouver surtout d'avantage de questions.
Loin de perdre du poids, j'en ai repris. 1 kg depuis que je suis ici. je ne comprend pas pourquoi, mes compulsions ont augmenté.
j'ai quitter mon copain, parce qu'il me poussait encore plus dans mes retranchements... il voulait à tout prix que je perde du poids... et vite en plus. mais moi, je veux perdre du poid POUR MOI... et pas pour faire plaisir à quelqu'un.
j'avais envisager de me faire opérer: un bypass. pour perdre du poids plus facilement... mais mon psychologue a été catégorique : perdre du poids trop rapidement me fragiliserais encore plus psychologiquement. il m'a dit que mon surpoids était comme une protection et qu'il fallait que je n'en ai plus besoin avant de réussir à perdre du poids naturellement.
je suis déprimée depuis plusieurs jours. je ne range plus mon appartement, je ne vais plus en cours, je mange n'importe comment et je fais pas autant de sport que je le voudrais.
comment on reprend sa vie en main ? comment on s'oblige à se lever tot, et à avoir une vie active ?
je ne sais plus ce que je dois faire... j'ai un traitement mais il me fatigue plus encore.
si vous avez des conseils, ou si vous êtes passez par une situation semblable, j'aimerais beaucoup trouvez quelqu'un qui me ressemble, qui ressent ou a ressentit ce mal être.
merci de votre intérêt.
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