Quels sont vos aliments tabous ?
Je suis entrain de réfléchir aux miens mais je pense que j'en oublie... Je me dis que je ne dois pas être la seule.Alors si nous listions nos aliments cela nous permettrait sûrement de prendre conscience de certains de nos tabous qui le sont tellement devenus que nous les avons oubliés.
Je commence :
- nutella : j'en ai jamais sinon je tombe dedans
- viennoiserie : pareil
- frites : là je ne sais pas trop si c'est tabou ou non. Je peux en manger chez moi mais pas à la cantine car je n'arrive pas à évaluer la quantité
- gâteaux de boulangerie : pareil je ne sais pas. Je n'en achète pas car ils ne m'attirent pas. Pareil je n'en prend pas à la cantine pour la même raison. Mais si j'en ai un dans l'assiette là c'est autre chose.
Et vous ????
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Répondre
tu n'as pas tort Pattie, c'est sans doute un peu ça aussi.......
[quote=mavo]C'est marrant parce que je fais très souvent des pâtes ou du riz à la maison sans problème, mais à l'extérieur, spontanément, je cherche les légumes ! Ces vieux réflexes ont quand même la vie très très dure ![/quote]
Je réagis également comme ça !! je crois que c'est le regard des autres en fait.
En ce moment j'ai régulièrement des repas avec toute une équipe de construction, que des hommes et en plus beaucoup de coureurs à pied (dont certains à un très bon niveau ; épais comme des allumettes et qui mangent très peu) ; avec eux moi qui ne fait plus de sport depuis un moment et qui ai pris beaucoup de kilos ne suis pas à l'aise de commander des pâtes !!
pour moi l'aliment tabou c'est celui que je n'achète pas où que je ne fait pas, de "peur" d'en manger plus que la quantité rassasiante
donc je m'interdis de l'introduire dans mon quotidien, en ce sens il est "tabou"
pour ma part, ce sont des aliments que je n'aime pas tant que ça (brioche et nut, je rappelle), mais qui sont liés à des souvenirs d'enfance, de moments d'apaisement (gouter, et aussi souvenir de maison de famille et la brioche du dimanche dont je ne semblais jamais avoir "assez" avec tout le monde à table)
pour la brioche j'ai aussi un problème : avec sa teneur en beurre, je suis vite "rassasiée" mais cependant je n'ai pas eu ma "dose" de pain, de féculents quoi
du coup, je préfère largement le pain, plus habituel et rassurant pour moi
au moins pour le petit dej
à la limite, je pourrais en manger au diner.... 
d'une façon générale j'ai du mal avec les aliments trop gras qui m'empêchent de me rassasier de mes besoins fondamentaux (protéines, cérérales)
mais là ce n'est pas cérébral, c'est juste une sensation dans mon corps, donc je pense que c'est ok
Je ne sais pas si ma définition est correcte, mais pour moi, un aliment tabou est un aliment qui me pose un problème. En principe, un aliment, c'est là pour nourrir le corps et l'esprit, pas pour poser des problèmes dans la tête (et du coup dans le corps). Si un aliment me pose un problème, du coup, je le classe dans les tabous, donc à "travailler" au niveau gustatif et émotionnel.
Qu'est- ce vraiment qu'un aliment tabou?
- un aliment qui nous fait envie et qu'on se refuse à manger
- un aliment qu'on mange en grande quantité sans faim?
- un aliment gras ou sucré ou les 2?
- un aliment "dietétiquement incorrect"?
En lisant les posts je n'arrive pas trop à me décider ....bah ça doit être un peu tout ça à la fois....
Toujours est-il que moi je crois ne plus avoir d'aliments vraiment tabous puisqu'on peut manger tout ce qui nous fait plaisir....et que je ne m'en prive pas....
Reste que j'ai des aliments que j'adore et que je serais capable de manger plus que de raison...( tabous alors?
)
- le pâté...hum j adore ça....un bon pâté fait maison avec du bon pain frais croustillant....
- la crème chantilly....avec des fraises....hummmm
Il y a aussi ceux que je m'interdisais sans en être folle mais qui me faisaient envie du fait de la restriction que je m'imposais...
- un cheeseburger
- des frites
- de la mayo
- un sundae....bref vous voyez de quoi je parle....
Durant mon premier parcours j'avais pleins, pleins, pleins d'aliments tabous, dont le Nut, absolument et totalement tabou. Et pourtant il m'a fallut une dégustation en PC du nut pour découvrir que je n'aimais pas du tout et le laisser dans le placard (oublié en fait) et je l'ai jeté il y a un mois (après près d'un an et demi) quand je les "retrouvé" en rangeant. Depuis j'ai essayé d'autres pâtes à tartiner chocolat/noisette bien meilleures et bio en plus mais non, c'est fini, le truc qui m'attirait c'était l'interdit et une fois levé le goût n'était pas au rendez vous.
Par contre les aliments tabous aujourd'hui sont souvent des aliments auxquels je n'ai pas accès tous les jours que j'ai découvert lors de déplacements et que je n'arrive pas à manger à ma faim quand je les retrouve car trop peur de manquer et trop besoin de "stocker" le plaisir tant que je peux les manger (sauf quelques exceptions comme la glace). Le truc bien c'est que comme ils ne sont pas "sous la main", j'en mange que rarement, le truc pas bien c'est que je fantasme parfois dessus et ça me frustre de ne pas pouvoir en manger;
- le cheesecake
- la glace Häagen Dazs Pralines & Cream ou toute glace avec du caramel (et ce après 3 dégustations en PC + l'exo de rassasiement avec) mais c'est moins fort qu'avant et j'arrive à en jeter quand j'en veux plus et je compulse 5 fois par an au lieu de 5 fois par mois dessus
- les cinnamon rolls
- la brioche au sucre
- les gauffres de chez Meert avec du beurre et de la cassonade dedans
- le beurre de pomme (un nouvel arrivé que j'ai découvert via un nouveau fournisseur de mon magasin c'est une compote de pomme avec 10% de beurre et 10% de sucre, c'est à tomber sur les crêpes)
- sauce caramel beurre salée
- un biscuit fait avec un fond de pâte sablé recouvert de caramel au beurre salé et finit par une couche de chocolat
- isapahan de Chez Hermé
- la baguette fraîche avec beurre demi-sel
- un bon gruyère
- tarte à la praline
- brioche aux pralines rose de Lyon
- mince pies anglaise
- le tiramisu (certains quand ils sont très frais et que en Italie)
- une glace italienne au goût de panettone que je ne trouve qu'en Italie et que dans certaines villes et qu'à certains moment de l'année (la frustration totale quand je suis enfin en Italie chez le glacier, bavant d'avance et avec une bonne faim et que le glacier m'annone qu'il n'a pas le parfum dont je rêve depuis 9 mois en ce moment!!!!)
- le panettone
- la colomba pascuala (sorte de panettone mais plus riche avec des abricots confits qui se vend à Parmes mais seulement à Pâques)
En écrivant cela je me dis que je me frustre plus qu'autre chose à fantasmer sur des aliments inaccessibles. Mais pourquoi est-ce que je fais cela?
Et d'avoir lu tes posts sur le chocolat au lait, ça m'a donné envie d'en acheter, pour changer. Et ça m'a permis de me confronter à ma peur de manquer, parce que du coup, ça me faisait 3 plaques dans les mains : noir au zeste de citron vert, qui fait mes délices en ce moment noir noix de coco, parce que j'ai envie de noix de coco, et chocolat au lait. Je me suis dit que ça faisait un peu beaucoup, quand même... j'ai réussi à reposer celui au citron vert (il me reste deux carrés de l'ancienne tablette).
Ensuite, je me suis retrouvée dans le rayon frais, celui de mes desserts industriels. Et devant l'étendue du choix, j'ai commencé à prendre ce qui me faisait envie : un truc au chocolat que je ne connaissais pas, et puis le cheesecake au citron qui n'y était pas la dernière fois, et puis... Et puis j'ai décidé de choisir, comme pour le chocolat, juste un, et les autres, je les aurai toujours là la semaine prochaine.
Ca m'a fait plaisir d'arriver à choisir un aliment, à me déclarer une préférence au milieu de toute la profusion, et d'arriver à comprendre pour de vrai que la semaine prochaine, je pourrai choisir un autre aliment, que la profusion sera encore là.
Allez les filles il faut qu'on arrive à éliminer tous ces mensonges qu'on nous rabache depuis toujours........moi ça fait un mois que je mange des choses qui soit disant font grossir et je n'ai pas grossi parce que je ne mange que quand j'ai faim........plus d'aliments "tabous" et que des aliments "amis"....et qu'on se régale sans arrière pensées