Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
Vous devez vous connecter pour poster un commentaire
Vous devez préalablement être authentifié auprès de votre assureur afin d'accéder à nos services
Répondre
Courage Orange!
Isabelle a très bien résumé, ta marge de manoeuvre est presque nulle et je pense aussi que les drs ne peuvent pas bcp t'aider...
Par contre, es tu entourée? Amies, famille, parrain marraine...?
Continue à aller dans le sens de ce qui importe pour toi: les filles, la protection, la beauté. Et laisse tomber la lutte contre l'injustice, ça va t'épuiser!
De mon côté:
La fille (14 ans) est tout le temps avec moi. Le père la laisse faire "comme elle veut".
Je demande une contribution alimentaire (en plus d'autres avantages fiscaux et les allocations) il se sent arnaqué. La belle mère appelle pour protéger le fiston.
Je me sens une arnaqueuse, puis, c'est pas juste: j'assume bcp toute seule depuis des mois...
Vous voyez, la lutte n'est jamais trop loin!
Côté plus: poids stable depuis des mois, à mon poids d'équilibre. Oui, j'aurais voulu 3 kg en moins mais je pense que c'est illusoire. A 48 ans, deux filles et une vie très remplie un IMC de 21,5 est tout à fait ok, non?
Bises à toutes!
ah oui c'est difficile tout ça !
tu veux faire de ton mieux pour les enfants, en même temps on te laisse beaucoup de responsabilité et une totale incertitude
de toute façon si je comprends bien qu'il s'agit d'une maladie psychiatrique, ce n'est pas le médecin qui pourra te renseigner sur les possibilités de passage à l'acte, car eux aussi peuvent se tromper, et parfois de façon très nette (eh oui!!)
ce qui est difficile c'est qu'il te revienne d'apprécier cela et d'avoir cette énorme responsabilité là
si c'est trop lourd, tu peux demander que les enfants ne voient leur père que dans des rencontres médiatisées, avec des pros, ainsi tu ne prends aucun risque et les enfants continuent à créer de la relation avec leur père, ce qui est en effet essentiel
je comprends que c'est très désagréable d'être traitée par le mépris, mais franchement je pense que le fait de rencontrer ce médecin ne t'apportera rien, de toute façon ils sont tenus au secret médical même vis à vis de toi et ils ne te diront pas grand chose, et quand même ils te diraient des choses, cela ne t'aidera pas vraiment pour ces prises de décisions tellement angoissantes
il vaut mieux revoir les modalités de rencontre si tu estimes que c'est trop de responsabilités que tu endosses quand tu prends les décisions au "jugé"
courage!!!
Bon courage Izabelle! Cette incertitude doit être pénible effectivement.
Mon inconfort: je suis tellement fatiguée que je ne sais pas quoi faire ce soir. Mais en même temps, aller direct au lit, bof!...
mon inconfort, c'est de ne pas réussir à tout gérer au boulot, de prendre les pbs des autres de front et de ne pas réussir à m'en préserver...
mon inconfort c'est de m'inquiéter pour l'argent, souvent...
mon inconfort c'est mon abdominoplastie qui arrive en mai et qui commence déjà à m'inquièter...
ça en fait beaucoup des inconforts
Mon inconfort: je rentre de la musique avec les filles et je me sens seule. Le père des filles était venu dormir hier, du coup, ça fait un vide quand il n'est pas là, même si c'est mieux qu'il ne soit pas tout le temps là. Il est très malade, donc il serait tout le temps, ce serait pesant.
Mon ex-chéri me manque aussi. J'ai du mal à faire le deuil de cette relation pourtant c'est moi qui voulait faire un break. Ca m'énerve d'attendre toujours l'amour de ne pas être parfaitement autonome, de ressentir un manque affectif...
Mon inconfort du moment... je suis tellement tendue dans mon métier, cette année, que je suis rentrée ce soir avec des courbatures très inconfortables dans le cou, les épaules toutes bloquées et douloureuses. Si je ne les détends pas consciemment, elles restent bloquées, le cou rentré, tout les muscles tendus... Je crois que je vais partir à la recherche d'une bonne bouillotte pour me détendre ! Merci pour l'idée Izabelle !
j'ai un problème de communication... je suis très franche, et j'ai du mal à adoucir les angles! bon on verra comment ça se passera...
Pour l'instant, je suis toujours dans la grisaille, même si j'ai envie de faire plein de choses... j'ai beaucoup d'amertume dans mon environnement hostile...
J'en ai marre des curieux, de mon mari... la blessure me paraît aussi vive au'au moment de notre séparation il y a 1 an et demi! et pourtant j'ai bien profité depuis! c'est sans doute avec ce week-end de ruminations que j'ai réactiver les mauvaises pensées... peut-être aussi que mes filles me manquent, peut-être que je suis frustrée de ne pas être aprtie avec ma copine aux Seychelles parece que monsiuer n'ets pas fiable pour la garde des filles!
j'ai hâte de quitter Mayotte, de quitter tout le monde, j'ai hâte de recevoir mon assignation en divorce qu'on en finisse, mais en même temps, j'aurais tellement espéré qu'il me supplie! pffffffff faut que j'arrête de réver! peut etre que j'ai besoin de ça juste mon ego!! car il est tomber bien bas ces derniers temps
eh oui ça fait beaucoup... en même temps c'est la vie, avec ses remous, comme les vagues sur l'océan
papaye beaucoup de gens ont des problèmes de communication, mais tu verras qu'en t'entrainant tu vas pouvoir t'améliorer peu à peu
moi c'est plutôt l'inverse de ne pas oser dire les choses donc je m'entraine dans ce sens là
mon inconfort, bon toujours un peu pareil, ma santé qui peine à se rétablir, ne pas savoir maintenant à quelle sauce je vais être mangée, pas trop envie de reprendre d'importantes médications et j'ai bien peur de toute façon qu'il n'y en ait aucune d'efficace, beaucoup d'incertitude et puis toujours le manque de mobilité
la nuit ma nuque se bloque affreusement c'est très douloureux, dans la journée aussi mais c'est moins pire
Mon inconfort aujourd'hui: je me sens triste et en colère. J'ai beaucoup pleuré. J'avais demandé au père de mes enfants de prendre un rendez-vous avec sa doctoresse du CMP pour voir comment je peux l'aider car il me semble avoir du mal à se mobiliser et je trouve qu'il est trop livré à lui-même, mais, aussi, parce que je veux des éléments sur son suivi, mais elle a refusé "en raison de ce qui s'est passé avant". Je ne comprends pas pourquoi. Cela réactive mon sentiment d'injustice, le sentiment d'être traitée comme une ennemie.
J'ai un contentieux avec eux parce que l'infirmière psy qui s'occupait de lui au début m'a traité avec mépris. Je voulais lui parlé pour l'alerter que le père de mes enfants montait en puissance et était en crise et elle m'a fait dire par la secrétaire qu'elle refusait de me parler parce qu'elle ne pouvait pas prendre en charge deux malades de la même famille. Bonjour le mépris et l'abus de pouvoir! Ensuite, j'ai écrit à la direction pour me plaindre de son attitude, mais, bien sûr, ils l'ont couverte.
J'étais contente récemment parce, lorsqu'il était interné, j'ai réussi à voir la doctoresse qui s'en occupait à l'époque, et, ensuite, la nouvelle doctoresse a pris en compte mon courrier. Mais, là, je comprends pas ce refus. Je le prends comme un retour en arrière et cela réactive mon sentiment d'abandon, d'avoir être laissée à la merci de quelqu'un de dangereux sans qu'on me vienne en aide.
Du coup, j'ai dit qu'à mon ex que, vu que je ne peux pas avoir d'information sur sa maladie et sur son dispositif de prise-en-charge, s'il repétait les plombs, il ne verrait plus les enfants.
Parce que d'un côté, la justice me laisse libre d'apprécier son état de dangerosité et les modalités de rencontres des enfants, mais, en même temps, si je me trompe, cela va me retomber dessus, et on va me reprocher de lui avoir fait trop confiance, de l'autre l'institution médicale refuse de me donner des éléments sur sa santé.
Je me demande pourquoi le passé revient me visiter comme ça... Cette infirmière, je lui en veux à mort de son mépris. Pourtant, cela n'en vaut pas la peine.
Du coup, le positif de cette crise, quand même: il a enfin accepté de parler du diagnostic posé par les médecins.