Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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[quote=Lua Nova]
Ma psy m'a glissé: et si tu célébrais tes réussites?
[/quote]
Eh oui, je me rassure en voyant que nous sommes beaucoup à fonctionner de la même façon... On a des moments de bel optimisme, et des moments de relâche émotionnelle... C'est pourquoi je me sens bien sur ces deux fils : ça me soulage vraiment de déposer mon fardeau ici, et j'aime aussi lire le ressenti des autres Linettes : je me retrouve le plus souvent dans ce que vous dites ; et parallèement, je suis très heureuse d'aller aussi sur "mes 3 choses positives du jour" : un moyen pour moi de me poser sur ma journée et de m'obliger à trouver 3 trucs même petits, qui m'ont fait du bien, surtout dans les journées les plus noires !
Oui, celà fait du bien de passer l'éponge sur nos galères, nos hontes, nos actes manqués (je suis fan de Goldman !!) et de s'appuyer sur nos petits bonheurs. Et je suis toujours surprise de voir que je parviens à chaque fois à trouver du positif...
Que j'aime vous lire!
Merci pour vos partages!
Mon inconfort:
Mon adolescente (14 ans) qui ne veut plus aller chez son père. Jusque là c'est classique. Le problème c'est que le père ne fait rien pour changer la situation et la laisse décider. Je suis là seule (pas consultée) à devoir assumer son éducation.
Un an de line coaching: bravo à moi!
ça avance doucement...
Bises à vous,
Merci Izabelle pour ton message bienveillant précédent que j'ai relu avec attention et sonne une fois de plus très juste.
Difficile d'accepter ces limitations tout de même, de n'être qu'humaine en fait...
J'ai pris la décision dès demain de chercher un autre boulot complémentaire. Je ne suis pas faite pour le monde de la nuit. Ca fume, ça pue, ça boit, ça drague avec aucune délicatesse. Je vis en décalé et moi ça ne me convient pas, je veux pouvoir respirer sans faire de tabagisme passif, je veux pouvoir voir la lumière du jour et en profiter un minimum.
Du coup, c'est un peu un cercle vicieux car je me réveille épuisé, avec des valises sous les yeux. J'ai l'impression de faire mon âge, l'angoisse... ;-) Je tousse énormément avec toute cette fumé que j'inhale involontairement.
Je dois trouver vite autre chose.
Culpabilité de manger sans faim depuis 2 jours et d'enchaîner les EME qui se transforment invariablement en complusion.
J'ai du mal avec cette notion de savoir me réconforter avec de la nourriture. Je pense qu'intellectuellement je l'entends mais je ne l'accepte pas. Il y a un truc qui dit, le corps il faut le nourrir quand il a faim sinon on lui fait du mal. Mais par dessus tout, c'est parce que manger sans faim me mène à manger sans fin... Et que je ne trouve jamais le réconfort escompté. Du coup, j'ai l'impression que c'est l'arnaque du siècle ce truc de réconfort alimentaire.
En fait, je ne sais pas quel type de réconfort je cherche mais à priori il ne se trouve clairement pas dans la prise alimentaire.
Je suis encore parfois dans la logique du tout ou rien et je continue de baffrer jusqu'à ce que mon corps me supplie d'arrêter le massacre. Je vous raconte même pas le tolée d'insultes que je m'octroie de n'avoir pas pris le temps de faire une courte méditation avant de manger car la dernière fois cela m'avait bien aidé et stopper tout net l'envie de la prise alimentaire.
Malgré tout, je mets en place la dégustation du mieux que je peux compte tenu de la situation mais revenir aux sensations alimentaires demeure un challenge de tous les instants présentement.
c bien d'écouter ton coprs et chercher un autre boulot où il pourra se sentir plus en harmonie
eh oui pour le réconfort alimentaire, il faut sortir de la logiue de tout ou rien
déjà accepte que le réconfort alimentaire est fondamentalement, comme tout le reste, terriblement IMPARFAIT
il est partiel, incertain, il ne réconforte pas à tous les coups, et de toute façon ce n'est "qu'un " réconfort
et non une anesthésie qui empeche de ressentir
c'est comme être accablé de chagrin et avoir juste quelqu'un qui vous dit : je suis de tout coeur avec toi
cela n'enlève pas le chagrin, ça réconforte un peu, c'est tout
la nourriture c'est pareil, ça réconforte un peu, mais pour cela il faut dans le même tempsaccepter que cela n'enlève pas les inconforts, que cela n'est pas une baguette magique et aussi que parfois ça ne sert strictement à rien, donc cela n'a rien de systèmatique
et accepter que la nourriture puisse aussi être cela, un petit moment réconfortant, est très important car sinon on llutte contre des moulins à vent
finalement n'est-ce pas laisser de la place encore une fois à des choses floues, incertaines, non cadrées, non maitrisées...
eh oui mais quand on apprend à laisser la place à ça, on commence à sentir "la vie"
et la meilleur façon de laisser de la place, c'est encore de le vivre en pleine conscience, c'est à dire dans le corps
hier soir j'ai mangé deux carrés de chocolat
j'étais au comble du désespoir et de n'en plus pouvoir
j'ai dégusté mes carrés de chocolat sachant très bien que ça ne m'enleverait ni la douleur ni l'incertitude ni la tristesse ni rien de tout ça
mais dans le moment où j'ai dégusté, j'étais dans le "gout" simplement dans le gout
après deux carrés, je n'avais plus envie de ce gout là
aucune anesthésie, un simple réconfort, tout ce qu'il y a de plus imparfait, mais c'est ça le réconfort, c'est imparfait, ce n'est pas de l'aneshésie
a la limite, ce n'est pas "savoir" se réconforter, ce qui semble genre une science exacte
mais pllutôt se donner l'opportunité de se réconforter
avec un peu de nourriture, oui, mais surtout par la présence que l'on à soi-même quand on se donne cette nourriture
peut-être comme une grand-mère qui donnerait un carré de chocolat et un gros calin à son petit-enfant
En te lisant je viens de percuter que j'attends de la nourriture qu'elle me retire mon inconfort, quelle méprise!
La fille qui refuse de sentir est jamais bien loin!
Merci pour cette prise de conscience.
En te lisant je viens de percuter que j'attends de la nourriture qu'elle me retire mon inconfort, quelle méprise!
La fille qui refuse de sentir est jamais bien loin!
Merci pour cette prise de conscience.
Bonjour, merci Isabelle, de mieux arriver à dire ce que je voulais dire.
Voilà, on a toutes droits au bonheur, que l'on soit belle, "grosse" "moche", etc... Et alors, on s'en fout d'être "belle" ou "moche"! L'important, c'est d'être le plus heureuse et libre dans son corps et dans sa tête.
Et tout le monde a des complexes! Une fois, je suis sortie avec un mec super beau, et il était terriblement complexé par ses pieds au point de ne pas vouloir enlever ses chaussettes!
Et à voir toutes les personnes sur les sites de rencontre, tout le monde a les mêmes difficultés pour plaire, ou, en tout cas, à rencontrer le vrai amour, parce que les "beaux" ont sûrement plus de sollicitations, mais sont-ils plus heureux et aimés pour autant? Visiblement non car ils ont aussi les mêmes problèmes de se faire quitter, consommer, de ne pas trouver la bonne personne, etc. A la limite, vaut mieux ne pas être trop beau, comme ça, tu sais qu'on t'aime pour toi et pas comme faire-valoir, image...
Moi, au début, je suis allée sur des sites et je pensais que je n'intéresserais personne car je suis très ronde, mais je me suis rendue compte que non. Il y a énormément d'hommes qui aiment les rondes et il y en a même qui s'en foutent de ton apparence. La beauté des uns n'est pas la beauté des autres... A une époque, nous, les rondes, on aurait été vénérées comme des déesses, car les critères de beauté étaient différents! Il y en a qui n'aiment pas les fruits bien calibrés... Et heureusement, qu'on est pas tous pareils! Punaise, on serait tous comme des poupées Barbie, qu'est-ce qu'on se ferait ch...!
On dit que la vraie beauté est intérieure et moi, je le crois. On est beaucoup plus beau quand on est heureux et qu'on sourit...
Est-ce que mon apparence extérieure, en grande partie fruit du hasard, conditionne mon droit au bonheur? Moi, je dis non.
Courage Papaye. Bisous
J'ai souvent des pb de bugs et de doublons (encore là) !! et des fois des messages qui partent bel et bien en fumée. Voilà pour mon inconfort du moment !!!!!
Et puis j'ai un peu mangé sans faim, cet après midi... pas trop fière de moi....
Bonne soirée.