Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
Vous devez vous connecter pour poster un commentaire
Vous devez préalablement être authentifié auprès de votre assureur afin d'accéder à nos services
Répondre
azalée, ton inconfort c'était bien ce "sentiment d'être bonne à rien"
ça c'est sacrément inconfortable....
et on le ressent toutes et tous, régulièrement.....
un peu plus souvent que les autres pour les gens intelligents.....
ne réfléchis pas trop, c'est juste un moment inconfortable
il y a bien des raisons à des EME, ce n'est ni une question de décision, ni même peut-être de deuil (mais là je m'avance peut-être un peu)
tes EME te protègent de qqchose
apprendre à tolérer tes inconforts t'aidera à ne plus avoir tellement besoin de protection
nana et bliss, moi aussi j'ai eu droit à un moment aussi sympa que ce truc là mercredi soir, le soir où j'étais le plus vannée et le plus à fleur de peau car bcp de travail et pas d'anesthesiant ;-)
du coup j'ai mis deux jours à m'en remettre
comment appelleriez-vous cet inconfort-là? parce qu'il va revenir souvent, ne serait qu'en captant le regard de qq'un....
moi je dirais bien : "honte d'être grosse" pas très rigolo comme nom, mais ça dit bien ce que ça veut dire.....
ha ça je sais pas trop comment répondre à ta question , perso , je dirais que cette collègue était bien contente de me signifier à sa façon que j'étais moins jolie qu 'avant, et comme on ne vit pas dans un monde de bisounours , ce genre de remarque fielleuse ça fait partie du deal entre humains , ya des gens qui se réjouissent de notre inconfort , d'autres qui en sont indifférents, et très peu auront de l'empathie, après il faut prendre de la distance par rapport à ce genre d'incident , mais le noter et en prendre conscience , je trouve ça très bien , j'aurais peut être lui dire casse toi pove c... lol
mais à ce moment là j'ai juste été blessée et sans défenses sans réaction , et elle a très bien vu mon visage se décomposer, en gros elle a eu une sorte de pouvoir sur moi, c'est un peu brut de décoffrage, mais c'est mon ressenti à ce moment là.
ça te vas comme réponse yzabelle?
bonjour nat je suis dans la meme situation moi aussi je subie des remarques desobligeante et sa fait souffrir je suis nouvelles mais pour moi ca ne me correspond pas j ai besoin de quequ un un fois par jour par mail et pas 48 heure apres j ai telephoner et on ma repodu on nes trois pour repondre a toutes les questions donc il faut minimun 48 heure moi je souffre de crise et 48 heure apres cest trop tard quand pense tu merci bonne journee
Bonjour à toutes!
Voilà que la vie reprend un rythme plus calme.
Mes deux filles à l'école. Comme j'avais décommandé ma formation d'hier et aujourd'hui je suis tranquille et je m'occupe: démarches administratives, rassurer la famille par tel et mail, contact avec l'école, le suivi psy, le compte rendu des évenements à l'ex...
Je garde une sensation de fourmillement dans le plexus solaire (peur, stress?) et une boule au ventre (peur, colère?)
Mon appétit est altéré, ce qui est très rare!
@Tulette: veux tu nous dire un peu plus pour qu'on puisse t'aider?
Belle journée à vous!
Bonjour Lua Nova,
Un rythme plus calme ça va te faire du bien et te permettre de mieux respirer.
Le plexus solaire c'est le siège de l'amour, pas l'amour- sentiment mais l'amour-énergie, l'amour inconditionnel, divin. Plutôt qu'une peur ou le stress, je pense à l'aide que ton soleil intérieur veut te donner. Ferme les yeux, vide ton mental et ressent ce qui se passe dans ton coeur, les mots qui te viennent. Je pense plus à du réconfort.
Le ventre c'est le siège de nos émotions et certains scientifiques parlent de notre deuxième cerveau. Effectivement colère et peur sont des sentiments, des émotions. Peut être réagit-il pour que tu observes ces émotions, que tu les regardent en face sans jugement, que tu les acceptes et que tu les transcendes en y mettant la lumière de ton plexus solaire pour les annihiler et les transformer en paix et confiance en l'avenir pour toi et tes filles.
C'est juste ce que je ressens, peut être que cela peut t'ouvrir des portes.
Belle journée à toi aussi pleine de soleil au dehors et à l'intérieur
Bonjour Tulette-Victoria,
Tu parles de Nat dans ton message. Es-tu sûre d'avoir posté ton message au bon endroit ?
Si non peux-tu nous en dire plus sur ton inconfort ?
A bientôt.
Inconforts multiples...
- Après 3 semaines de congés, le rythme est reparti à la hausse. Et la sacro-sainte fatigue physique, à cause du manque de sommeil, commence à se faire sentir. Du coup, beaucoup d'EME ont fini la main dans le paquet de gâteaux, ou dans les cuillères de légumes supplémentaires, etc... et le tout sans véritable réconfort...
- Plein d'injonctions dans mon esprit : "Il faut que tu revois ton organisation, déjà vue et revue et optimisée au maximum", "il faut que je fasse du sport", "il faut que je révise mes cours", "il faut que je prenne rdv chez le coiffeur", "il faut il faut"... Et du coup, sentiment d'insatisfaction générale.
- Profondes colères et tristesses en ce moment. Je ne sais pas, c'est sans doute dû aux actualités du moment. Ces histoires de migration... Elles réveillent un pan de mon histoire. Des souvenirs de tirs, de balles perdues, de couvre-feu, d'enfants morts qui n'étaient plus là à l'école... Souvenir d'un départ précipité, pas vraiment compris... Souvenir du sentiment de déracinement... Et en même temps, comme une culpabilité d'avoir pu partir dans le confort... Et colère de n'être que là où je suis ; comme si j'avais un devoir de réussite toujours inassouvi puisque je place la réussite socio-professionnelle très haut et que, forcément, je n'y arrive jamais.
- Sentiment, là, de ne pas être à ma place car j'écris ce post à la suite d'une conversation entre certaines. J'ai hésité à écrire ; mais comme je ne savais pas où aller, sinon...
Il faut laisser passer l'orage... Ne pas fuir... Ne pas lutter...
Coucou Patience,
Nous avons toutes des pans de notre histoire qui réveillent des souffrances, quelle que soit la gravité la souffrance peut être extrême. On pense à tort que nous ne pouvons résister à la douleur et cela provoque de la peur. Mais pour avoir revécu des souffrances passées et les avoir surmontées, je peux t'assurer qu'on peut y arriver. Bien sûr il faut surmonter sa peur de l'inconnu, de la douleur, il faut la vivre et l'accepter (boire la coupe jusqu'à la lie) pleurer, avoir mal au coeur, mal au ventre, avoir envie de crier et puis.... la douleur passe, le calme arrive et là on place son ressenti au centre de la poitrine, le plexus solaire, on pense à l'amour qui y réside, à la lumière que nous portons tous en nous et tu visualises cet amour sous forme de bulle ou de balle de tennis pleine d'amour et de lumière blanche qui grandit grandit pour remplir et combler toute cette souffrance ainsi que le ou les sièges physiques de cette douleur. Et cet amour va tout apaiser et tu te sentiras après beaucoup plus sereine et soulagée, libérée.
Je l'ai vécu et je le vis dès que je me centre sur moi-même, y compris avec la RPC, j'appelle l'amour qui est en moi, que nous avons tous en nous au plus profond de notre être, et je le laisse agir, se répandre dans mon corps, mes cellules, les imprégner.
Tu verras que l'orage passe et tu ne luttes plus. Ca fait du bien de ne plus lutter, de lâcher prise grâce à l'amour.
Je te souhaite un bon week end
izabelle, Nathalice,
Merci pour vos mots doux et vos suggestions.
Oui, c'est clairement la réactivation de moments de l'enfance qui est là en ce moment.
Autant je me suis mise en lutte cette semaine par rapport à la fatigue, autant je me suis à chaque fois laissée "envahir" par les émotions (avec d'ailleurs des sensations physiques très marquées, très profondes). Je mets le verbe envahir entre parenthèses, parce que ce n'est pas le bon mot. Je dirais plutôt que je les ai laissées vivre en moi.
Tout à l'heure, parce que j'étais vraiment trop mal, j'ai fait une séance de sophro (c'est mon truc quand l'inconfort est vraiment trop difficile... comme une envie de chocolat pour se réconforter !).
Ce moment m'a fait prendre conscience des besoins profonds qu'il y a derrière ces émotions. Je me suis reconnectée à mes valeurs, à mes besoins fondamentaux. Et j'ai compris ce besoin de Paix qui vit au plus profond de moi. Un besoin de sécurité, d'harmonie...
Enfin bref, aussi douloureux soient-ils, ces jours qui viennent de passer m'ont aussi permis de me reconnecter à moi-même.
Je continue de laisser passer l'orage, je me laisse mouiller par les gouttes ; elles ont leur raison d'être !
Au plaisir de vous lire
ah oui c'est pas facile
la réactivation des souvenirs traumatiques y est certainement pour une très large part
essaie de rester au contact maximal avec ton expérience intérieure
j'aime bien l'image du sable mouvant, pour ne pas s'enfoncer, on augmente la suface de contact avec notre corps (en s'allongeant par ex)
là c'est pareil, tu augmentes la connexion à cette expérience au lieu de te mettre en lutte automatique
grosses bises
J'entends tellement bien tout ce que tu dis. Mais tu sais ce qui m'a poussée dehors, je pense? C'est quand ils ont enlevé la formation des enseignants, à la fin des années 2000 et que j'ai vu arriver des titulaires de masters, à la tête bien faite, ça oui, mais qui prenaient des classes comme ça, sans avoir appris... et là, on a vu les dégats, parfois!
Comme j'étais maitre formateur, j'étais en première ligne pour les accompagner. Ca m'a fait peur pour l'avenir des enfants qui nous étaient confiés. Un métier qu'on exerce sans avoir appris comment faire! Depuis, ils ont un peu fait marche arrière heureusement.
Super que tu prépares ton projet, et je comprends que tu attendes que ton mari retrouve du travail. Moi, j'avais cet ancrage là qui m'a permis de sauter le pas et de prendre ce risque. Mais je peux te dire que ça vaut la peine de de forger ton outil de travail avec ce que tu es, toutes tes compétences, et d'aller là où ton énergie te porte.
Alors j'espère que cette année sera la dernière à plein temps et que tu auras l'opportunité de lancer ton projet. En attendant, je te souhaite quand même le meilleure rentrée possible.