Sur le chemin, se reconstruire brique après brique !
Au début de mon parcours, lors des discussions avec le Docteur Gérard Apfeldorfer, une citation revenait souvent "100 fois sur le métier remettez votre ouvrage" !
Cette phrase a pris ici tout son sens .
Arrivée au terme de mon parcours au printemps, j'ai accédé à la phase dite de stabilisation.
LC s'avère un excellent vecteur de changement.
Le chemin aura été long et semé d'embûches, mais il est tellement agréable de le suivre... Je souhaiterais pourvoir le continuer du mieux possible !
Et vous qui êtes sur le chemin où en êtes vous de votre parcours, de votre réflexion...
Si vous êtes parvenu à la fin de votre parcours, comment assumez-vous le changement ?
Que faites-vous pour pérenniser les acquis LC ?
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Je me reconnais dans ces quelques lignes... L'idée de me réconcilier avec mes sensations a remplacé l'obsession de perdre du poids. Elle a même pris toute la place.
Je le vis comme un progrès.
C'est plus agréable à vivre, c'est porteur de sens.
Et mes allers et retours au programme LC, me confortent dans l'idée que modifier son comportement alimentaire demande du temps.
Comme le musicien nous devons constamment faire des gammes et travailler notre partition !
Le rêve devenu inaccessible à jamais : rentrer dans un 38 !
J'ai conservé (allez savoir pourquoi) un tailleur que je portais lorsque j'étais beaucoup plus mince qu'aujourd'hui. Je ne penchais pas alors vers le Bibendum.
Je sais que oui, fut un jour où je rentrais dans un petit 38 petite jupe droite étroite, veste cintrée...
Et ça me fait du bien de constater que je n'ai pas toujours été comme je suis.
adonon dim 10/12/2017 - 19:42efait ....Alors, pour le moment, j'observe ce qui m'a fait décrocher, et je décide de priorités : attendre la faim, et là, déguster. J'ai appris à bien repérer la faim, à ne pas en avoir peur, donc, je peux l'attendre tranquillement. Et puis reprendre la méditation de PC parce que c'est une aide précieuse. (Je dois m'adapter à un problème respiratoire persistant, qui perturbe ces exercices.)Brique après brique...
Adonon, je fais les mêmes constatations que toi. Je reconnais la faim, je peux l'attendre sans crainte... Je n'ai pas peur d'avoir faim. Je déguste, je savoure avec plaisir... Et pourtant, je ne suis pas sûre de moi. J'ai besoin du cadre proposé par LC. Il faut que je reprenne la PC de façon régulière.
Je me pose les questions que tu te poses...
Bonsoir,
Comme toi Fanette, j'ai passé quelques jours de moindre assiduité... je cherche comment me recentrer sur l'ensemble : la PC, les sensations etc. J'ai intégré les éléments du programme, mais je vois aussi comment on peut décrocher imperceptiblement. C'est vrai qu'on peut relativiser : contrairement à toi, je n'ai jamais oscillé entre le 36 et e 38, mais finalement c'est la même chose, nous avons été focalisées sur un détail (chiffré souvent) de poids, de taille, de limite arbitraire. Pour moi, la morale s'en mêlait, c'est bien d'avoir un imc de 23, 25 c'est limite et au-dessus ça prouve ma nullité. Sachant que je ne suis jamais descendue en-dessous !
Alors, pour le moment, j'observe ce qui m'a fait décrocher, et je décide de priorités : attendre la faim, et là, déguster. J'ai appris à bien repérer la faim, à ne pas en avoir peur, donc, je peux l'attendre tranquillement. Et puis reprendre la méditation de PC parce que c'est une aide précieuse. (Je dois m'adapter à un problème respiratoire persistant, qui perturbe ces exercices.)
Brique après brique...
Bonne soirée !
Adonon
Bonsoir Adonon,
Et oui, retrouver l'assiduité des premiers temps et la motivation nécessaire pour continuer à se reconstruire brique après brique !
Car même en fin de programme et surtout à ce moment là, il faut trouver ce petit quelque chose qui permettra de pérenniser nos acquis pour le futur...
Je consolide mes acquis sur le rassasiement gustatif spécifique... Et oui, remettre son ouvrage sur le métier encore et encore