La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
Sujets de discussion du moment
Bonjour,
Voilà je m'étais inscrite il y a 3 ans, mais je n'étais pas encore prête à tout ça. J'ai fait appel il y a un an et demi à une membre du GROS et je suis donc suivie depuis 1 an et demi à cette méthode. Voilà mon soucis... J'ai bien compris et experimenté que quand on mange avec faim c'est meilleur.... Je sais reconnaitre mes différentes faims.... Je ne me pèse plus, je fais régulierement de la méditation, de la sophro... J'ai bien compris et expérimenté que sentir son corps et l'écouter était la clé de tout... Je ne me pèse plus depuis bien longtemps...Mais voilà, rien je suis toujours aussi ronde... j'en ai marre de devoir trouver du 50 en vetement, j'en ai marre de ne pas avoir trouver la paix avec mon corps.... J'en ai marre que malgrè tout ce temps à experimenter tout ça, je sois toujours dans la phase compétante consciente! Car dès lors que je ne pense pas methode et vis pas méthode, les anciens reflexes reviennent très vite. Je me suis réeinscrite ici pour justement avoir ce suivi et du coup rappel journalier... Mais je desepere un peu de toutes ces années accordées à m'écouter qui finalement ne paient pas en terme de mieux être physique.
Une amie à moi a fait un bypass, et le changement est radical et super positif, j'aimerai ne pas en arriver à ça mais parfois je me dis, n'est ce pas la seule solution au finale?
Voilà, je voulais savoir si parfois malgrè une bonne comprehension et acceptation de la methode, il arrive que certains "résistent" et ne perdent pas de poids?
Merci d'avance pour votre aide et vos conseils
Bonjour Docteurs,
Depuis très longtemps, depuis mon entrée dans l'âge "adulte" je dirais, j'ai un sentiment de vide, d'inachevé.
Il y a les périodes où la priorité est terre à terre, comme trouver ou garder un travail, lutter contre une maladie, ou déménager, ce genre d'impératif immédiat. Je suis alors dans le moment et l'urgence du présent, et où ce sentiment me quitte, mais dès que la vie redevient "tranquille", cela me reprend.
Je me suis aperçue que cela constitue sûrement une peur de maigrir car si j'arrivais où je veux, à mon poids idéal et sans plus avoir à gérer ce domaine de l'alimentation, je ressentirai encore plus ce vide, je n'aurais vraiment plus rien pour m'occuper.
Pourtant je suis satisfaite de ma vie aujourd'hui, côté matériel, sentimental, tout va bien. Il est clair que je n'ai pas du tout fait les études qui m'auraient intéressée, mon travail n'est définitivement pas ma passion, mais je suis heureuse d'en voir enfin trouvé un où je ne suis plus stressée, et ça n'a pas de prix quand on en a bavé de ce côté là.
J'ai même de nombreuses activités intéressantes (qui pour d'autres sont des passions, comme certains sports), et j'ai fais dans ma vie (j'ai 44 ans) beaucoup de choses. J'ai été passionnée à l'occasion par telle ou telle activité. Cependant j'ai toujours ce sentiment d'être passée à côté du but de ma vie, de l'essentiel, d'une ligne directrice. Je rage de ne pas savoir ce que c'est. Je me dis "alors ce n'est que ça, la vie ?". Je suis bien consciente que beaucoup aimeraient avoir ce que j'ai, et que sans doute si je n'avais pas tout ce qu'il faut, je me plaindrais moins.
Mais la question n'est pas vraiment là. Je pose la question ici, car je suis certaine qu'il y a sur ce forum des personnes qui se posent ce genre de question, et que c'est un frein à une bonne relation à l'alimentation. Par contre, je n'en ai jamais rencontré, et lorsque j'en parle autour de moi j'ai l'impression de passer pour une folle. Les gens en général semblent s'acclimater d'une vie routinière et sans but, ou alors il ont trouvé le leur, et je les envie.
Ce n'est pas que je n'ai pas confiance en moi pour me lancer dans quelque chose, ni même que je n'en ai pas les moyens matériellement ou intellectuellement. C'est que je cherche sans fin quelle pourrait être cette chose essentiel qui me manque. J'ai l'impression que si seulement je savais, la mise en œuvre serait facile.
Parfois j'esaie de forcer le destin, je me lance dans quelque chose, et puis je laisse tomber, car il y a d'autres choses possibles à faire, et puis je me dis que je ne peux pas me "fabriquer" une passion ou un but, qu'il devrait m'apparaitre naturellement, tout en ayant conscience que les gens passionnés ne "tombent" pas passionné du jour au lendemain.
Les "sages" semblent dire que lorsque l'on ressent cela, c'est qu'il nous manque juste un sentiment d'être soi, ce genre de chose que vous savez aussi bien que moi. Est-ce "seulement" cela ?
Le temps passe, et je me dis que je n'aurais rien accompli dans ma vie.
Je pose cette question ici aussi car j'ai la ferme conviction que si je trouvais la réponse à mes interrogations, que je trouvais le moyen de remplir ce vide, maigrir ne serait plus un problème. Je n'aurais plus besoin de colmater ce manque avec de la nourriture.
J'ai bien conscience que vous n'allez pas me dire "votre but c'est ça". Mais plutôt, comment chercher, et y-a-t-il seulement quelque chose à chercher ?
Désolée pour la longueur, cette question est vraiment fondamentale pour moi.
Merci de votre réponse, et merci de votre sollicitude sur ce site.
J'apprécierais l'intervention d'autre personnes également, car vous êtes tou(te)s de tellement bon conseils !
Bonjour Docteurs, bonjour les amis, bonjour à tous,
Me voilà revenue... Cela fait quelques mois (peut etre même une année) que j'ai arrêté linecoaching...
J'ai toujours oscillé dans le même poids, mais j'ai constaté la recrudescence d'EME destructrice pour mon image de soi. J'avais arrêté la pleine conscience et étonamment ça me manquait...
Alors je suis heureuse de revenir car je sais que je me fais du bien...
Pourtant je me demande si ce n'est pas également le signe d'un échec. Une impossible prise en main seule, la sensation (désagréable) de devoir toujours être prise par la main, comme un enfant.
Comment appréhender ce nouveau LC plus sereinement ? Comment gagner en indépendance ?
Et sinon, je suis heureuse de vous retrouver !
Black-kam alias Minou
Moi aussi je reviens, pour la troisième fois.la deuxième fois, j'ai vécu ce retour comme un echec et ne suis restee que 2 mois. Mais en fait je realise que j'ai progressé. Je chemine tantôt avec lc tantôt avec d'autres m'enrichissant de différentes approches.presque 50 ans de régime et de peine avec la nourriture , mais aussi de joies!, alors que sont une ou deux années de cheminement? La vie n'est jamais rectiligne. Il faut du temps pour reussir à retrouver son corps, utiliser son intellect pour s'en passer. En tous les cas cela fait du bien de voir qu'on n'est pas la seule!
je remets ici une question que j'ai déjà posée ailleurs sur le forum mais j'aimerai avoir votre avis?
j'ai un vrai vrai problème avec la nourriture amenée par les autres sur mon lieu de travail...je crois même que c'est ça qui empêche ma perte de poids.
je travaille en milieu hospitalier et quasi tous les jours, nous avons des sucreries proposées par les familles des patients, des gateaux faits par les stagiaires et des vieinoiseries amenées par des sociétés extérieures...
pour moi, la difficulté, plus que de dire non, c'est d'arriver à me convaincre que je n'en ai pas envie...je n'ai même pas envie d'essayer de faire la technique du disque rayé, j'ai juste envie de tout manger! au début , je pensais que c'était un reste de restriction cognitive et qu'avec le temps, et la disparition des aliments tabous, ça passerait...mais ça fait deux ans 1/2 que je suis ce programme, et si j'ai énormément progressé sur le reste, là je stagne...
exemple, la semaine dernière, des paquets de bonbons H( " que pour les enfants"), des bonbons bien chimiques, mais qui m'attirent avec une force peu explicable tant j'ai "envie " d'en manger. Les mêmes bonbons dans mon placard à la maison vont y rester plusieurs mois...mais là, je pioche et je repioche, je m'arrange pour repasser par la salle jusqu'à ce qu'il n'y est plus rien...
je n'arrive pas à comprendre ce qui me pousse à y retourner: le stress du boulot, le fait que d'autres peuvent en manger donc j'ai l'impression qu'il ne faut pas laisser passer ma chance? le fait est que c'est une vraie EME, que je n'arrive pas à bien la cerner et du coup, je n'ai pas les armes pour ne pas y céder...la rpc, j'ai du mal à ce moment là, je ne suis quasi jamais seule. Je crois qu'il faudrait que j'arrive déjà à comprendre ce qui peut se jouer à ce moment là...
j'ai déjà essayé à plusieurs reprises le conseil donné par G Apfeldorfer pour les buffets, j'essaye de me dire que tout ceci n'a rien d'exceptionnel mais rien à faire c'est plus fort que moi...
alors voilà, avec votre expérience professionelle pour vous les experts , et vos expériences perso pour vous les coachés, peut être pourriez vous me donner des pistes de réflexion et aussi des trucs à mettre en oeuvre
merci pour vos réponses! j'ai fait des progrès cette semaine, simplement en me disant :pourquoi as tu autant envie de manger? et en ne m'empechant pas de lutter...
je remets ici un com d'izabelle sur le "sortir du mode lutte" qui répond aussi en partie à la question:
"c'est la peur de se confronter à nos émotions qui fait qu'on en a peu conscience, et que la nourriture devient ce "calmant" indispensable
pour ma part, si la pratique de l'EME-Zen est tout à fait radicale, maintenant, au début, il faut y aller tout en douceur je pense
déjà "l'idée de se confronter" genre "un jour"
et apprendre à se réconforter en pleine conscience
et puis un jour faire un tout petit peu durer ce moment d'inconfort, se dire qu'on peut le vivre, mais régulièrement, pour que ça "prenne"
ce qui me semble très important, c'est de ne pas chercher à tout prix à "ne pas manger" car alors on est dans une sorte de controle qui ne fait qu'empirer les choses
il faut simplement savoir qu'on est en train d'éviter de ressentir une émotion, avoir l'idée qu'un jour cette émotion on pourra la vivre sereinement sans avoir besoin de l'éviter, et puis peu à peu la laisser être de plus en plus
pas besoin de savoir "ce que c'est" pour se confronter en pleine conscience à l'inconfort qu'elle représente
souvent je ne sais pas ce que c'est, c'est en général quand ce sont les plus diffiiciles
alors je reste juste avec l'inconfort, avec ctte tension, cette envie d'apaisement
un petit moment"
pour ma part rien que le fait de me demander quelle émotion était en jeu ( en général c'est pour me donner du courage ou me récompenser pour un travail bien fait ) j'ai réussi à trouver du réconfort mais le fait de ne pas lutter m'a permi d'éviter la compulsion.
Bonjour, je m'appelle Céline et je viens de commencer cette nouvelle méthode.
Je pense comprendre les idées de faim et de satiété mais je me pose quelques questions.
L'idée de manger quand on a faim ça c'est ok et à part des fois une collation au travail sinon je ne mange pas
entre les repas, par contre j'ai remarqué que je ne finis jamais mes assiettes car je trouve que j'ai assez mangé
à chaque fois. Pourtant mes assiettes ne sont pas énormes. Avez vous rencontré le même problème au début ?
D'un autre côté c'est économique car du coup je finis mon assiette au repas suivant...
Mais j'ai encore du mal à savoir si c'est parce que je n'ai plus faim ou parce que je fais une fixation sur le fait
de ne pas devoir trop manger. C'est pas évident. Mais d'un autre côté je ne ressens pas de sensation
de faim entre 2 repas ???
Merci de vos réponses
A bientôt
Céline
Merci Isabelle pour tes conseils, j'ai laissé de coté le programme quelques jours et j'y suis revenue en finissant l'étape.
Maintenant j'en suis a expérimenter la petite faim, moyenne faim et grande faim.
La grande faim c'est facile , la moyenne faim ça va mais la petite faim c'est beaucoup plus subtile..
Tout au début de la reprise du programme c'était facile, mais dans le temps c'est plus complexe à tenir. Je prends mon temps et je ne me mets pas la pression mais je sais que c'est un comportement essentielle à la réussite du programme.
Bonjour à tous,
Je viens de commencer cette méthode depuis le week-end dernier je suis donc dans la phase des 7 jours d'analyse et je n'ai donc pas encore les clés en main en cas de gros coup de panique alimentaire.
J'ai déjà essayé d'analyser par le passé que ce qui fait que je mange trop ou n'importe comment vient en général de 2 raisons :
- la plus courante : après un repas soit je considère que j'ai mangé qqch que je n'aurai pas dû, soit je considère que c'est trop, du coup je mange n'importe quoi en n'importe quelle quantité
- la 2ème (celle d'aujourd'hui) : je mange ce que je considère bien : des légumes, un oeuf, des viandes maigres, soft en résumé... tout va bien, manque de chance j'ai faim 1h après, j'attends d'avoir très très faim : je mange un petit qqch comme un yaourt mais ça ne suffit pas j'ai encore faim donc je remange autre chose je considère que c'est trop et hop c'est la mm finalité je mange trop et n'importe comment ensuite
- soit je suis stressée / angoissée ou je me sens abandonnée
Mon problème c'est que j'ai suivi tellement de grands préceptes alimentaires que je ne sais plus comment manger : j'ai tenté le régime ig / dukan / sans gluten / le paléo/ et j'en passe... je ne sais plus ce qu'il est normal de manger et en quelles quantités. Je sais que c'est à mon corps de me dire ce qu'il veut manger et quand il n'a plus faim. Mais je l'ai peut-être trop détraqué pour qu'il me parle. Est-ce possible ? Je peux sans mal attendre la faim mais je n'arrive jamais à reconnaitre la satieté... je ne sais jamais si j'arrête de manger trop tot ou trop tard...
Ma question est donc la suivante : comment faire avant de maitriser les techniques de Linecoaching ? Que puis-je faire pour arrêter ce cycle infernal avant de comprendre ce que mon corps me dit.
Demain mon compagnon part en déplacement pour quelques jours et j'ai peur qu'il m'arrive la même chose que d'habitude : que je me sente abandonnée et que je me venge sur le frigo...
Merci d'avance pour vos conseils...
[quote=matydo]
J'ai cité Izabelle en exergue (je n'arrive pas à utiliser le bouton CITER )
[/quote]
Alors c'est tout simple : tu positionnes ta souris dans le message de "Pseudo" que tu veux citer, à la fin de ce message de "Pseudo" , en bas, de gauche à droite tu as :
>>Haut >>Répondre J'aime (0 personnes ont aimé) >> Citer
Tu cliques (clic gauche de la souris) sur Citer, et le message du pseudo choisi apparait au début de ton message.
Ensuite, après [/quote] tu peux écrire ton texte.
Hello chers docteurs,
Docteur Apfeldorfer, il y a un gigotage dans ma tête de ce que vous avez évoqué plusieurs fois sur le "chat":
Alors je me permets de vous poser la question: C'est quoi l'Amour?
Merci :)
Dans la liste des mots pour désigner l'amour :
voici en espéranto :
Shati : aimer le chocolat
Ami : aimer son prochain, son (sa) amant(e)
Adori : aimer un dieu, une divinité, un saint : adorer, amour contemplatif.
Merci, delph, d'avoir fait un copier coller avec ma réponse. J'avais commencé à rédiger quelque chose, mais finalement, je persiste et signe.
Pour ma part, comme Izabelle, je pratique de préférence avant les repas
Cela correspond à un changement d'activité, c'est l'occasion de se recentrer pour aborder les éventuels soucis de la période qui suit (après le repas)
Généralement, la RPC m'apporte une sérénité qui permet d'aborder le repas sans hâte ni anxiété.
C'est également un bon moyen pour être en bonne condition pour la dégustation
De toute façon, quelque soit le moment, un moment de sérénité ça ne peut pas faire de mal
Rémi
dans mon cas c'était aussi le souci
la disparition des EME n'est pas suffisante, il me faut aussi maintenant continuer à changer mes repères
rester légère, garder de l'appétit.... c'est qqchose à laquelle je n'ai pas été habitué
on a fait un défi sur la bonne faim, dans le forum vert, tout en bas!!!
viens nous y rejoindre delphdelph!