Se motiver au quotidien
Sujets de discussion du moment
J’ai envie de manger, sans m’arrêter.
J’ai envie d’aller m’acheter des aliments régressifs (petits pots de bébé, floraline etc ). Oui quand je régresse, c’est de plus de 40 ans ;)
J’ai envie de rester à la maison.
J’ai envie de m’envelopper dans des vêtements doux et chauds.
J’ai envie d’un bain qui durerait deux heures.
J’ai envie de rester au lit, même si ce n’est pas pour dormir.
J’ai envie de rester sous la couette, sur mon canapé très confortable, avec l’un de mes feel goods movies.
J’ai envie de me plaindre, parfois.
J’ai envie que l’on soit doux avec moi.
J’ai envie d’avoir des gens que j’aime au téléphone.
J’ai envie d’avoir des bonnes nouvelles.
J’ai envie de planifier des vacances au soleil.
Je sais que Le Dr A « rappelle que quand on est fatigué, la meilleure thérapie est d’attendre, ce qu’on appelle « se reposer », habituellement. Qu’il s’agisse de fatigue physique ou psychique. »
Seulement parfois, on est fatigué dès le matin, parce qu’on a fait une belle insomnie, et que l’on doit travailler et donner le change.
Aujourd’hui, je suis fatiguée, et je viens de rêver, sous vos yeux, de ma journée idéale.
Et vous, dans ces cas là, de quoi avez-vous envie ?
Voilà, comme je l'ai écrit sur un autre fil : //www.linecoaching.com/content/les-eme-liees-lhyper-sensibilite
je lance ce fil pour un défi pour les personnes hypersensibles
pour reprendre en qq mots l'hypersensibilité, c'est un trait de personnalité qui fait que l'on est plus réceptif aux stimulations de tout ordre : bruit, lumière, mais aussi ambiance, émotions, tensions, regard de l'autre
Un stimulus produit une réaction plus forte que pour la moyenne des personnes.
Je me base sur le livre d'Elaine Aron "the highly sensitive person" qui pense que cela concerne environ 20% de la population.
Le fait d'être hypersensible peut amener certaines personnes (j'en fait partie) à chercher à se calmer en permanence......
et bien sûr, ce qui nous réunit ici, pour une grande partie d'entre nous, c'est d'utiliser la nourriture pour nous calmer, en excès
Quand on est hypersensible, il peut arriver que l'on ait pris l'habitude soit de s'exposer de trop, soit de se protéger de trop.... dans un cas comme dans l'autre, on a du mal à trouver son équilibre
ce que je vous propose dans ce défi, c'est d'utiliser la pleine conscience pour améliorer notre tolérance à des situations stimulantes de tout ordre :
par exemple pour moi qui amène des boules quies au cinéma pour pouvoir supporter le son.... voir un film au cinéma... ou aller dans une soirée animée, soyons fou : une boite de nuit !!! (non non ça c'est juste l'enfer pour moi)
ou tout simplement supporter le bruit d'une télé enfantine criarde, une réunion où tout le monde parle en même temps
pour l'instant, tout ça, moi je ne le supporte pas sans ma "dose" de M&M's
et comme j'ai envie que ça change, j'ai envie de me lancer le défi de me mettre intentionnellement dans une situation de forte stimulation (croissante, je ne vais pas commencer par la boite de nuit...)
mais de le faire en pleine conscience, c'est à dire en s'immergeant dans l'expérience de sur-stimulation, sans lutter, sans faire des remparts autour de soi
laisser entrer ce bruit, cette stimulation en soi, en confiance, pour en faire simplement l'expérience, sans jugement
Alors que ceux qui sont motivés me rejoignent !!!
Je vais chercher mon premier défi, je pense qu'il sera "petit" pour commencer
bon serais-je rejointe (?) dans ce défi par mes copines hypersensibles pour la confrontation volontaire à la sur-stimulation, en pleine conscience?
en tous cas, j'ai enfin pointé du doigt ce qui me cause encore des EME malgré tout mon parcours LC
ça fait déjà du bien de comprendre, même si bien sûr j'aurais mis le temps mais je me suis tellement appliquée à planquer mon hypersensibilité sous la bouffe qu'il fallait bien du temps pour que ça ressorte au grand jour
ceci dit je serais éternellement reconnaissante à Mandala qui m'a mise sur la voie au mois de juin dernier....
donc semaine dernière très destabilisante, j'ai raconté sur l'autre fil (je crois) dans le forum EME
avancée - retour en arrière - éclaircissement intérieur et surtout dialogue accru avec mon mari sur le sujet - compréhension inespérée de sa part (dans ces moments là je sais que j'ai choisi le bon, il me surprendra toujours)
j'abordais donc le week-end pleine d'envie de me confronter encore à cette sensiblité exacerbée, et ça tombait bien vu qu'hier je voyais à nouveau des amis (pas sorti en société depuis 2 mois!!)
déjà samedi, j'ai fait mon premier défi : voir un film émotionnellement chargé avec images impressionnantes
et c'est après coup que je me suis rendue compte du clin d'oeil du destin....
il se trouve que ce film, c'était "6ème sens" et je ne l'avais même pas choisi exprès, en fait, c'est une coincidence
c'est juste que je savais que ce film était très dur à supporter pour moi (même si je l'avais adoré à l'époque, mais en fermant les yeux souvent...)
donc j'ai vraiment "senti" mon corps qui réagissait extrêmement, à la musique du film qui monte crescendo pour annoncer les images impressionnantes
j'ai aussi réagi fortement aux émotions du garçon, car ça parle d'un garçon hyper-hyper-hypersensible qui est en lutte contre les émotions qu'il reçoit
le petit garçon jouant à merveille, c'est très dur pour moi je ressens totalement ses émotions dans mon corps, et sans doute parce que ça me rappelle à moi-même et à la peur et la lutte que j'ai contre mes propres "intuitions" (même si heureusement je ne vois pas de fantomes )
bref, j'ai réussi à vivre en pleine conscience la réaction de mon corps, qui se situait essentiellement au niveau du plexus solaire, aux émotions, aux images....
et finalement c'était un très joli clin d'oeil de la vie, puisque ce garçon apprend à "accepter" ses visions (pour raccourcir) et ne plus être en lutte contre ça.........
ensuite sur le dimanche je métais prévue un autre défi, vu que je voyais des amis, défi qui consistait à supporter de multiples conversations en pleine conscience
j'ai en fait eu du mal à rester en pleine conscience et à laisser le bruit entrer en moi
parce que dans les conversations il n'y a pas que le bruit, et donc tout le reste les émotions des gens, les réflexions, la conversation..... je me suis mise en retrait, ce qui n'est pas mon habitude en fait, mais j'ai fait de mon mieux et au moins je n'ai pas eu d'EME le soir, ce qui ne m'arrivait jamais avant
je crois que pour mon prochain défi social, il faudra que je précise un peu, parce que ces mélanges de conversations, c'est un peu un "tout" et je me sens débordée si je suis vraiment en pleine conscience pour l'instant....
voilà, défis du week-end relevés....
je vais me prévoir un défi jeudi prochain pour ne pas attendre une semaine entière sans défi, je m'aperçois que ces défis me renforcent, non seulement dans la capacité, mais aussi dans la conscience
oui c'est la motivation la plus efficace!!!
et j'ai même remarqué que le plus efficace, c'est encore de le faire pour soi pour aujourd'hui!!!
c'est à dire en mangeant selon sa faim, on ressent un bonheur "corporel" (en tous cas moi) et pour ce bonheur-là, pour le moment présent, c'est encore la meilleure motivation du monde : pour se sentir bien !!!!
bonne continuation!
Bonjour à toutes,
Si quelqu'un a été dans mon cas je veux bien du soutient et meme des conseilS. Je viens de poster ce message à ma coach, mais comme elle ne répond pas tjs le jour même je veux bien que quelqu'un me fasse part de son expérience...
voilà mon message :
Je sors d'un rendez-vous médical et là tout de suite je n'ai qu'une seule envie c'est pleurer.
On vient de m'apprendre que je fais de l'arthrose et que je dois absolument maigrir au plus vite sans quoi cela va être ingérable pour moi et cela ne va que s'aggraver. Je ne tiens pas de discours alarmiste mais j'avoue que je suis perdue.
Puis -je concilier un "régime" et oui je parle de régime amaigrissant et méthode LC? Je pense que je n'ai pas vraiment le choix.
Je sais que chaque cas est différent, et pour l'arthrose ça dépend ou on en a et l'intensité de l'arthrose, mais je voulais te dire que moi aussi j'en ai eu quand j'étais plus jeune que la moyenne, vers 45 ans, que j'ai connu du coup en en parlant des personnes qui en avaient au même age que toi, c'est à dire encore plus jeune. Que c'est vrai que le surpoids est un facteur d'aggravation (sans être la cause), en tout cas c'est écrit partout si on se renseigne sur l'arthrose.
Mais je peux te dire que me concernant, et malgré mon poids trop élevé, aucun médecin (généraliste, endocrinologue, rhumatologue), m'a demandé ou conseillé de maigrir. D'ailleurs ça m'étonne mais c'est comme ça. Je ne sais pas combien tu pèse et je ne sais pas ce que c'est que ce médecin qui t'a dit de "maigrir au plus vite", mais ne prend pas pour argent comptant ce qu'il te dit, un autre ne t'aurait peut être pas dit ça.
Je ne sais pas où se situe l'arthrose dans ton cas, mais il y a quand même des traitements qui aident bien.
Enfin, c'est mon avis, mais LC est tout a fait approprié, et même préférable à un régime. Mieux vaut maigrir doucement mais surement que rapidement et tout reprendre avec un bonus le plus souvent. Enfin, écoute les médecins mais n'oublie pas d'écouter ce que tu ressens toi, au fond de toi.
Bon courage à toi
Bonjour tout le monde,
À nouveau un sujet pas très nourriture... Mais... A qui en parler sinon à vous ? ;-)
Je me pose pas mal de questions sur ma sociabilité ces temps-ci. J’ai toujours été quelqu’un de plutôt solitaire, pour deux raisons : par choix (j’aime beaucoup être au calme, tranquille, réfléchir, penser, lire, etc.) mais également par obligation (j’ai toujours eu un peu de mal à m’intégrer, même si j’ai toujours eu des amies, je me suis toujours sentie décalée, différente, pas vraiment à ma place en société, timide, ne sachant pas quoi dire, silencieuse dans un groupe, à écouter plutôt qu’à parler, etc.)
Quand j’ai débuté LC, j’ai compris que j’étais comme ça : solitaire, plutôt tournée vers l’intérieur que vers l’extérieur. Je l’ai accepté et ça m’a libérée. Ce n’était pas une tare, c’était moi, c’est tout.
Aujourd’hui, deux ans plus tard, je me sens bien plus épanouie… Et je ressens un immense besoin de contact social. J’ai envie de voir du monde, de faire la fête, de rire, de discuter, etc., etc.
Mais… Je n’y arrive pas ! Malgré mon côté solitaire, j’ai toujours eu des amies, mais un peu des amies « par défaut », avec qui je m’entends bien mais sans qu’il y ait vraiment de déclic, sans jamais vraiment trouver de « meilleure amie » à qui j’aurais envie de téléphoner tout le temps et à qui je pourrais confier la moindre de mes pensées sans avoir peur de son jugement. Personne avec qui je pourrais avoir des discussions vraiment profondes et épanouissantes, personne avec qui je pourrais parler de ma vision de ma vie sans avoir l’air d’être une débile parce que ma vision de la vie ne respecte pas forcément et pas toujours la « morale », que je crois en des choses inhabituelles, que j’ai une vision des choses pas vraiment passe-partout... Personne avec qui je pourrais avoir des discussions vraiment profondes et épanouissantes comme on en a sur ce site par exemple.
Quand je suis en société… Comme hier après-midi, par exemple… Je discute un peu avec les gens mais rien à faire… Pas d’atome crochu… Avec personne… On discute de la pluie et du beau temps, on meuble parce qu’il faut bien meubler… Les conversations ne sont pas vraiment intéressantes, on ne rigole pas vraiment et au fond de moi… Je m’ennuie ! Je n’espère qu’une chose : que ça finisse et que je puisse rentrer chez moi…
Alors je me demande quel est mon problème… J’aimerais tellement rencontrer des gens avec qui « ça marche ». Des amis avec qui j’ai pas envie que la soirée s’arrête, avec qui à 4h du matin je réalise que le temps a passé sans que je le remarque, j’ai envie de fous rire, j’ai envie de pouvoir être moi-même sans en avoir peur, j’ai envie de savoir quoi dire, j’ai envie de ne plus être silencieuse à écouter mais j’ignore comment…
Est-ce simplement que je ne tombe pas sur les bonnes personnes ? Est-ce que le problème vient de moi ?
Je ne sais pas, mais ça me manque… Est-ce que je suis un cas désespéré ? Comment faire pour évoluer dans ce sens ? Cette situation me fait souffrir... J'ai tellement envie d'échanges !
je ne veux pas te contredire, Noelle, mais je me disais justement que Lyphaé, tu pourrais noter les sujets en question dont les autres ont pris l'initiative..... pas très spontané certes, mais bon....
et observer un peu les autres, comment ils font, comment ils prennent l'initiative de parler de ce qu'ils aiment
peut-être que toi tu n'oses pas simplement.... et en observant les autres tu peux apprendre ce qui semble fonctionner pour pouvoir sortir des banalités
si j'observe ceux que je connais qui semblent à l'aise là-dedans, ils commencent en général à interroger la personne sur son métier, et à lui poser des tonnes des questions là-dessus
après j'ai un chéri qui trouve quinze idées de questions à la minute, et c'est dû au fait qu'il est super cultivé et que ça l'interresse totalement de savoir tout de la personne qu'il a en face, on dirait qu'il va faire un bouquin sur la personne... ;-)
j'ai une copine, pareil, elle arrive à se faire des copains dans un repas de village avec que des inconnus, j'ai remarqué qu'elle fait la même chose, elle demande le métier, elle pose des questions aux gens sur eux
et tu sais que les gens adorent parler d'eux.....
bon voilà pour mes pistes, mais moi-même j'ai du mal à les suivre....
ceci dit, je pense que je suis en progrès, j'ai même invité les parents d'une copine de ma fille à prendre le café..... et j'ai réussi à poser des questions......
Je bloque, je bloque, je bloque... Je tourne en rond. Je ne comprends pas, je ne ressens pas, je n'arrive pas à trouver l'accès aux émotions.
Je lis et je relis, je passe des heures à lire, j'ai des tas de révélations... mais la gestion des émotions est toujours au point mort !
C'est en faisant un billet de blog, puis en lisant quelques posts, que je m'en aperçois. Je suis un crin à la maison. Bon, donc, ce matin, en lisant le post d'Ann, je me dis que peut-être bien que je suis très réactive ces temps-ci, peut-être bien que j'ai des émotions que je ne traite plus à coup de nourriture.
Je reprends le contenu de blog : si effectivement je mangeais trop pour étouffer des émotions "souterraines", puisque je mange moins, alors je les étouffe moins en ce moment, et peut-être bien qu'elles resurgissent autrement...
Le travail sur les sensations avance plutôt bien, même si la satiété reste encore plutôt mystérieuse.
J'ai bien noté que la bonne idée, c'est de travailler à la fois sur les sensations, et sur les émotions.
Le travail sur les émotions, c'est là où je n'avance pas : soit je ne sens rien (ex : les EME de fin de repas), soit je suis complètement envahie, et dans ce cas, se poser pour respirer, je n'y pense pas, je n'y arrive pas (ex : en colère contre Monsieur chéri).
Je comprends bien ce que je lis... Je viens de lire les réponses d'Izabelle sur le post sur la colère, c'est super limpide et ça parait tellement vrai. Accepter, défusionner : génial ! Sauf que... comment appliquer quand on ne voit pas l'émotion / quand on n'y pense pas ? Sur le moment, je suis tellement "dans" l'émotion que : 1- je ne me dis pas "attention émotion" 2- je ne peux donc ni accepter, ni défusionner...
Tout est clair après coup, genre 2h après...
J'ai l'impression d'avoir le nez dessus, qu'il y a un truc sous mes yeux que je ne comprends pas.
je suis le programme depuis 3 semaines avec déja des coups de mou.
En ce moment grosse envie de manger tout le temps et de tout, mais bon je sais qu'il s'agit de ppetites périodes de découragement qui devraient passer, il y a deja des discussions à ce sujet.
Par contre, mon angoisse actuelle est le retour pour le WE à la maison. Bien que je sois une grande fille... j'ai une mère "control freak" tout particulièrement sur l'aspect physique et la nourriture.
Elle obeit à la lettre chaque recommandation alimentaire des magasines (médicaux) et on doit tous suivre
j'ai toujours très mal vécu son regard sur moi, les critiques les interdictions, les obligations, les conctradictions... mais là j'en suis malade depuis hier. Je l'entend déja: mange pas trop de pain, ne mets pas de sucre, boit pas trop de lait, tu manges trop vite, faut se dépécher on a des choses à faire.. (faut pas manger trop vite mais faut se dépécher... l'angoisse), l'obligation de manger un fruit à la fin du repas (même si plus faim) juste par ce que tout le monde dit qu'il faut manger des fruits et des légumes. à paine la vaisselle fait, elle focalise sur ce qu'on va manger au prochain repas.
Elle a des idées complètement figées, elle part de principe que de toute façon je m'alimente mal, que je ne bouge pas assez
Et par la dessus, les commentaires sur mon apprence: t'as grossi, t'es pas assez souriante, tu te tiens mal, c'est pas bien, faut pas grossir, tu vas pas de sentir bien, c'est pour ton bien que je te dis ça, ce n'est qu'une question de volonté de faire attention à ce que l'on mange
Et si j'ai le malheur de lui dire que ça ne me fait pas de bien, alors là c'est que je suis de toute façon en désaccord avec elle quoi qu'elle dise, que je l'aime pas... et c'est partie pour la séance culpabilité.
je sais que je vais devoir manger à heure fixe, en fonction d'elle
Il va de soit que c'est toute l'origine du problème, mais identifier l'origine de ce problème ne le résoud pas.
comment gérer ce moment sans completement démolir ma motivation.
Pfff!!
Je viens de lire les derniers commentaires sur le sujet, je me sens moins seule de voir que l'on est nombreuses à subir des parents toxique ou grands parents (Mavo).
Je note juste que depuis 3 semaines je n'ai pas eu une seule EME et pas eu un seul contact avec ma famille à l'exception d'emails où je parle en quelques mots de notre projet et où je lis ce que font mes frères/soeurs/parents durant leurs vacances.
Je suis à fond dans mon projet, je m'éclate avec mon mari, je compense mon manque de partage avec mes beaux parents (qui arrivent demain chez nous) mais le problème n'est pas résolu. Après de longues RPC (plus de 30mn), il arrive régulièrement qu'une émotion remonte, qu'un lien se fasse dans ma tête, que la tristesse d'avoir les parents que j'ai me submerge. J'essaye de prendre et d'accueillir.
J'apprends à ne plus culpabiliser de ne pas les contacter, de les dépasser sur certains points, de m'autoriser à réussir là où ils ont échoué (c'est assez dur cette dernière partie). J'ai encore des élans protecteurs envers eux mais je les identifie mieux pour ne plus y succomber.
J'ai noté que lorsque le sentiment de culpabilité baisse j'arrive mieux à m'autoriser à prendre du plaisir à manger.
Et pour la première fois depuis plus d'un an que j'ai commencé LC je sens que je commence à perdre. Je dis je sens car ayant décidé de ne jamais plus me peser c'est un pantalon qui étalonne la mesure de la perte vu qu'ii était assez serré il y a trois semaines.
Le chemin est encore long mais je ne me vois plus faire machine arrière.
super mavo!!! plus tu vas te centrer sur le moment présent, plus ces histoires de nourriture se feront naturellement
ne te prends pas trop la tête
profites bien!!!
Bonjour à toutes !
Comme convenu, voici un post suite à la journée de thérapie du 20 avril avec le docteur Z où nous avons plus particulièrement travaillé sur les EME, dans la joie et la bonne humeur ! Et l'émotion ! :)
Un post, comme un petit groupe, où nous pourrons échanger, venir y déposer nos expériences, le résultat de notre entraînement de warriors (parce qu'on a bien compris, il s'agit de s'entraîner à supporter nos EME via des exercices!!), nos doutes, nos joies, nos découvertes, nos coups de coeurs, nos bavardages, que sais-je. Nous en ferons ce que nous voudrons :)
Une chose importante : CE POST EST OUVERT A TOUS ET TOUTES. Y compris aux personnes qui n'ont pas participé à la journée. Il s'agit de partager et de s'entraider :)
Aller zou c'est parti :)
merci pour vos post tropp drole!c est une vraie aide ce forum j en suis ravie!!:-)(tres bonne idee ce sujet d ailleurs je reviendrais y jetter un oeil quand je serais fatiguee:-)