Mon vécu du programme
Sujets de discussion du moment
Bonjour
Ayant commencé la méthode LC fin juillet, j'ai profité du calme des vacances pour perdre 5/6kg relativement facilement.
J'avais lu il y a quelques années le bouquin de Zermati, et finalement, ça a été simple d'appliquer le principe de base du bouquin, observer la façon dont je me nourris, et j'ai fondu litéralement, j'ai même dû changer mes pantalons ... :-)
Quand même un peu paumé dans les arcanes du site, pestant contre les carnets à imprimer et découper,
je n'arrivais pas à avoir un carnet utilisable ... et n'arrivant pas à digérer le vocabulaire des différentes étapes.
Ca s'est compliqué avec les coach (LA coach ?) avec lesquelles le dialogue était un peu tendu. Je n'avais pas "droit" à un appel au coach, suite à telle étape ?? des rendez vous pris via mail n'étaient pas tous honorés.
Le dialogue s'est d'autant plus compliqué que j'ai perdu mon téléphone et j'ai dû me bagarrer en vain avec les hotlines des fournisseurs de services (je tentais un changement de fournisseur). Bref, perte de numéro de téléhone, difficulté de changer ce numéro sur le site, agaçé d'avoir affaire à une ultime hotline... de LC.
Arrive la rentrée et ses aléas au boulot, les difficultés de s'isoler, la trajectoire professionnelle qui se termine, les collègues de cantine de moins en moins nombreux... Tout change et pas forcément dans le bon sens. Et même si je continue la méthode, je trouve son application assez intrusive et pesante. Cela fait beaucoup de pression en même temps.
Allez, un peu d'espoir, depuis un mois, je n'ai pas repris de poids, et hier, j'étais au restaurant, je n'ai pas eu de mal à ne pas finir ni les plats pourtant savoureux ni la bouteille de vin pourtant de qualité.
Olivier
J'avais commencé sur les chapeaux de roue en mai. Je me suis tenue au programme jusqu'en juillet.
En juillet, j'ai eu des problèmes de santé et me faire hospitaliser. Ensuite, j'ai été très fatiguée et j,'ai laissé tombé le programme, j'arrivais à l'étape de la degustation.
Néanmoins, j'ai toujours essayé de manger en fonction de ma faim.
En septembre, reprise du boulot, où je ne me sens pas vraiment à l'aise en ce moment. Changement de mode de contraception aussi. Refus de la mutation de mon mari. Bref, j'ai eu l'impression de faire n'importe quoi avec la nourriture. La seule chose que j'arrive à faire correctement, c'est manger quand j'ai faim le matin.
En fait, ce qui se passe c,'est que je mange quand j'ai faim mais je ne m'arrête pas quand je n'ai plus faim. Je continue encore un peu. Du coup, je me sens lourde, je sais que j'ai repris du poids. Cela me fait mal au coeur. Je suis triste.
Est ce que quelqu'un à vécu la même chose? Comment avez vous fait pour gérer cela?
Intellectualiser en effet c'est du contrôle, et on oublie que les pensées sont génératrices d'émotions qui peuvent être aussi fortes voire davantage que le vécu "réel".. Je m'en suis aperçue aussi parce que j'étais quelqu'un qui intellectualisait beaucoup, en espérant regler plein de problème en réflichissant, en faisant des therories..
Ici c'est tout sauf de la thorie, quelques notions et encore... et ce programme je trouve va redonner leur "noblesse" et leur valeur aux émotions, en fait ça leur rend la place qu'elles méritent en nous apprenant à ne pas les craindre...
Et puis se débarrasser de toutes ces pensées inutiles et qui ne font pas avancer les schmilblick qu'est-ce que ça fait du bien!
ouh ben si ça c'est pas intellectualiser ! ;)
en tout cas les aleas de nos vie mettent le programme LC à l'épreuve et jusqu'à maintenant j'ai toujours trouvé des solutions ici si ça peut te rassurer Amekev, ça ne remet pas en question tes progrès, les apprentissages qu'on a fait, il y a des paliers, c'est dur à accepter quand on est impatiente de se débarrasser de nos kilos, c'est comme une mayonnaise qui se monte petit à petit on a l'ompression qu'on tourne en rond mais au tour suivant on est riche de ce qu'on a appris au précédent!
J'ai débuté le programme il y a 3 mois et je viens de me rendre compte que j'avais déjà effectué les 3/4 du parcours.
J'ai donc décidé de faire une pause, en accord avec la coach, jusqu'au 15 septembre.
Je pense que j'ai voulu faire ce programme comme une bonne élève, curieuse, mais je l'ai survolé sur certains aspects.
Je vais profiter de ce moment de pause pour consolider mes acquis, faire de la RPC, etc...
Avez-vous déjà vécu ce genre de situation ?
J'attends vos avis et réactions ! Merci !
Bonjour à toutes, je me pose de grandes questions sur ce que je dois inculquer, comme valeurs alimentaires, à ma fille de bientot 3 ans.
Le positif, c'est qu'elle a, depuis tout bébé, toujours été hyper régulée.
Et par chance pour elle, me sentant en difficulté face à l'alimentation, j'ai fait ce choix de ne jamais la forcer, jamais l'obliger à finir son assiette (malgré l'incompréhension de certaines personnes).
Un exemple, un jour, elle me demande un petit gateau chocolaté, après le repas. Ma belle-mère étant présente, elle lui dit: "mais tu le finiras!!!". Et moi de dire: "ah non, belle-maman, non! Je ne l'oblige jamais à finir! Vous rendrez-vous compte? Si elle est, à son âge, capable de déguster un petit bout de ce gateau qui lui fait envie, et surtout, si elle est capable de laisser le trop plein quand sa gourmandise a été satisfaite, c'est un "don" qu'elle gardera toute sa vie, je l'espère!!!!"
Oui, mais, alors, l'autre soir, elle me réclamait un gateau à 18h30 alors qu'elle mange à 19h et que rien n'était encore pret.
Etait-ce de la faim ou de la gourmandise? Est-ce qu'on autorise, ou pas? J'aurais tendance à dire, bof, pas top!!!
Comment faites vous avec vos enfants?
merci
Un nouveau post que j'aimerai qu'on utilise pour pratiquer l'EME-Zen, non pas de façon formelle, mais informelle.......
par exemple, moi en ce moment, j'ai une grosse EME
l'inconfort que je cherche (inconsciemment) à calmer : sur-excitation due à une grosse heure de résolution de problèmes informatiques (et ouf j'ai réussi, j'ai eu droit à qq louanges)
ressentis physiques : gorge hyper serrée
donc j'ai envie de manger..... mais je crois que ce soir je n'en ferais rien
je vais juste rester bras-dessus-bras-dessous avec ma surexcitation, puisqu'elle finira bien par se calmer d'elle-même
ce que je vous propose dans ce post, c'est de venir quand vous avez une EME (envie de manger émotionnelle, pour les nouveaux), et d'y écrire :
j'ai envie de manger pour calmer......... tel truc
ce que je ressens physiquement (le cas échéant)
ensuite rester un petit moment avec ce truc-là : inconfort, fatigue, émotions négatives, positives, pensées dévalorisantes our rêve de gloire, ou encore surexcitation, sur-stimulation etc....
rester avec l'inconfort SANS RIEN FAIRE pour le faire disparaitre (attention c'est dur)
mais juste qq minutes.....
je crois que si on fait déjà ça à chaque EME, on va progresser à pas de géants
j'appelle ça une version informelle de l'EME-Zen, car pour moi l'utilisation de l'espace de respiration est automatiquement dévié par mon esprit tordu de controleuse émotionnelle en "arme" de calmage (qui marche tellement moins bien que le pain et le chocolat...)
à vos EME.....
[quote=izabelle]
trois lamelles de parmesan et un demi-verre de blanquette de Limoux (elle était entamée, je précise, je ne l'ai pas ouverte pour en prendre un demi-verre)
[/quote] Aurais-tu peur que nous pensions de toi que tu es une "alcoolique" hihihi ^^?? Tu t'es réconfortée et tu as eu raison car c'est ce dont tu avais besoin et tu l'as fait en pleine conscience.
Pour les enfnats, je me rends compte que moi aussi j'ai un peu de mal à les lâcher ... c'est difficile de les laisser vivre leur vie avec la possibilité qu'à un moment ils souffrent ... j'espère que les 2 petites nénettes en question ont grandi en maturité et laisseront ta fille tranquille :-)
Concernant les EME, même si j'en ai moins, j'ai du mal à les canaliser et les accompagner quand elles se présentent, je suis encore loin des EME-zen ... mais je vais y travailler !
Bonjour à tous(te)
Pour ma part inutile d'attendre le moindre encouragement de la part de mon mari : ce serait même le contraire
il a des problème de santé : hypetension , trop de fer dans le sang , apnée du someil , acide urique , reflux gastrique tout cela traité par médicament , tous les médecins consultés lui ont dit de maigrir mais autant parler à un mur , notre médecin traitant lui a dit à sa dernière consultation : perdez 20 kg vous ferez une X sur tous vos médicament , le gastroentérologue refuse de l'opérer de l'estomac car depuis qu'il le connait il sait que mon mari ne fera pas régime , même avec des saignées tous les 2 mois pour faire baisser son taux de fer dans le sang ( dû à sa nourriture ) il s'en fout , il déclare : " je prend des médicaments pour pouvoir manger tout ce que je veux
Donc je lui simplement dit que j'ai décidé de perdre du poids
bon courage à toutes
Mon image refuge, c'est le paysage de montagne. Mais je me pose la question de savoir, pour ceux qui ont choisi cette image, elle est comment votre montagne : en été avec la nature verdoyante ? en hiver avec des sommets neigeux ?
Pour moi, elle est les deux : en été ou en hiver selon les moments. Mais je n'arrive pas à déterminer laquelle des deux m'est la plus apaisante.
Ou alors est ce que vous avez choisi un autre paysage ? Un lac ? ou autre paysage et dans ce cas lequel ?
Merci si vous voulez bien partagez cette expérience.
Je viens de me rendre compte que j'ai une image refuge auquel je pense souvent mais sans m'en rendre compte jusqu'à présent. J'ai une vieille ferme en pierre, avec une cour intérieure, un jardin clos, un mur d'enceinte avec un vieux Christ dessus, un portail en bois qui nous cache des regards indiscrets. Tous les soirs, je fais le tour de la cour à la lumière de la lune et je regarde mes plantes qui "dorment". Je vérifie qu'il n'y ait pas de limaces dans mes légumes et si j'en trouve, je leur montre le chemin de la sortie (gentiment, mais fermement ).
Cette image de ma cour juste éclairée par la lune est particulièrement rassurante. Je peux rester des heures à regarder les étoiles, assise sur le banc de pierre entre les tomates et les salades qui poussent dans leur bac.
Bonjour à toutes et à tous!
Inscrite depuis une dizaine de jours, j'ai envie de vous faire part de mes réflexions...
J'ai envie d'essayer de ne pas (trop) parler ici de la quantité de nourriture que je mange. Mais plutôt de la façon dont je gère mes repas au niveau sensations et émotions.
Parce que le but il me semble, ce n'est pas tant de manger moins, que de gérer ce qui fait manger trop. Evidemment la conséquence logique sera que si j'arrive à mieux gérer ce rapport à la nourriture, je mangerai en moindre quantité. D'où perte de poids.
Mais ce que je retiens de ce programme, c'est surtout qu'il faut essayer (et dieu sait que c'est difficile) de déculpabiliser chaque prise de nourriture comme on a l'habitude de le faire. Se faire confiance. Si on a trop mangé pour un repas, il ne faut pas s'en vouloir, il ne faut pas se sentir mal, pas culpabiliser. Le but c'est que la régulation fasse son boulot et ré-équilibre naturellement les choses pour les repas suivants.
Ce n'est grave de faire un gros repas. C'est bien répété à plusieurs reprises dans le hors-séries de Psychologies qui m'a fait découvrir la méthode : l'équilibre ne se fait pas sur un jour ou même deux, mais au moins sur une semaine. C'est la régulation le noeud de tout ça.
Pour moi, c'est ça le coeur du travail.
Et c'est ça aussi son intérêt je trouve. Je suis une mangeuse émotionnelle et ça je dois arriver à le gérer, certes, mais je suis aussi une gourmande et j'aime les repas entre amis, les repas de famille, ces moments où l'on est tous ensemble et qu'on partage quelque chose de bon. J'aime célébrer un événement en mangeant quelque chose qui fait plaisir. Et parfois je trouve que manger beaucoup, ça fait partie du plaisir que j'en retire. J'aime les soirées Wii-grignotage avec mes frères et soeur et mon copain. J'aime les soirées devant un film avec un bon seau KFC. J'aime les apéros qui s'éternisent l'été au camping en montagne.
Je n'ai pas envie de devoir me priver de tout ça. Je n'ai pas envie de devenir moins gourmande. J'ai envie d'apprendre à me réguler seule. De ne plus ressentir le besoin viscéral de me remplir en permanence.
D'où un besoin de me centrer non pas sur ce que je mange et en quelle quantité, mais sur comment je mange, sur la nourriture émotionnelle.
Voilà ce que je vais essayer de faire. Evidemment c'est le but ultime du programme, donc c'est difficile! Mais décider, clairement, officiellement, de ne pas faire de chaque repas un moment d'angoisse et de culpabilité, m'a déjà permis de relâcher pas mal de pression.
Je ne dois pas moins manger parce qu'il le faut, mais parce que je n'ai pas envie de plus.
Hier, mon psy m'a fait comprendre qu'en gros, c'est quand j'arrêterai d'être obsédée par l'idée de ne pas assez dormir et d'être ensuite fatiguée, que je parviendrai à avoir moins d'insomnies. Je crois qu'on peut appliquer ça ici : l'angoisse de grossir peut faire grossir. En parvenant à ne plus être angoissé par les kilos, on a déjà fait un bon bout de chemin.
Se dire que l'on mange parce que notre corps en a besoin. Il n'y a rien de culpabilisant à ça. Et quand on mange au-delà de ce qu'il réclame, se dire que ça s'équilibrera sur la suite.
Voilà le fruits des mes pensées de ces derniers jours!
C'est à ça aussi que sert un forum :-)
Où en es-tu de ton parcours?
Bonsoir
a force de lire vos commentaires sur le fractionnement et la sasiété, je viens de me dire que finalement, ce que je cherche, c'est d'arriver a finir mes repas avec plaisir sur un petit sentiment de manque
c'est comme ça que je comprends la question du fractionnement et de la decouverte et du respect de la sasiété, ce petit sentiment que je pourrai encore manger mais que c'est plus agréable d'en rester là
c'est comme ça que j'ai traduit les message des Dr A et Dr Z dans les chats avec les experts, quand ils evoquent l'idée de finir avec plaisir sur un peu de " vide"
parceque le fractionnement, c'est encore difficile pour moi, mais j'imagine et j'espère que ce défi va m'aider a aimer ce petit sentiment de confort là
Jour n°1, j'essaye
oui moi aussi si j'ai une "bonne" faim je mange un truc sans contest....
faudrait pas que ça nous empeche de dormir!!
quand j'ai une petite faim je ne mange généralement pas, mais des fois oui quand même..... tout dépend si j'ai envie de manger ou non, si j'ai envie d'avoir faim au petit dej le matin ou non
le tout c'est d'être souple, mais ne plus avoir peur de cette sensation de légère petite faim qui peut être un peu destabilisante au début
moi aussi ça m'arrive que ça dure tout l'après-midi, mais cela ne me gene plus (avant oui) parce que je n'y accorde plus que peu d'importance, je sais que je peux manger dès que j'en ai vraiment besoin
J'aime pas le body-scan !
Et vous, comment appréciez-vous le body-scan ? ça vous aide ? le pratiquez-vous régulièrement ?
Je sais, vous allez me dire que "c'est un exercice qui peut être agréable ou désagréable", mais qu'il faut le faire tout de même pour apprendre à observer ses sensations et ses pensées concernant son corps...
Oui, mais moi ça me donne l'impression de me regarder dans le miroir avec tous mes complexes.
Ou alors ça me donne envie de dormir.
C'est trop mental, trop statique, et trop générateur d'émotions négatives pour moi !
J'en ressors sans aucune impression d'avoir progressé, de m'être détendue, ou d'avoir appris quelque chose.
Dans le meilleur des cas j'ai dormi, et je me dis qu'une petite sieste c'est toujours ça de pris, en tant que moment pour soi-même... mais ce n'est pas vraiment bon car j'ai une grosse tendance à dormir pour m'anesthésier, ça me donne le blues, et parfois ça déclenche aussi des EME.
Ou bien je m'ennuie pendant 20 minutes, je pars dans mes pensées, je fais le tour d'inspection de mon corps en 3 minutes.
Avez-vous ces difficultés ? La respiration en pleine conscience ne me pose pas autant de problèmes !
Comme les défis qui me sont proposés en ce moment tournent tous autour du body-scan, je suis bien embêtée !!!
Alors ce soir j'ai décidé d'essayer de remplacer le body-scan par 20 minutes d'étirements en pleine conscience, parce que j'aime beaucoup les étirements : c'est plus actif, plus agréable, et cela concerne aussi les différentes parties du corps.
A votre avis, c'est une bonne idée ?
Bonne soirée à tous et à toutes !
A demain sur LC !
delphdelph
Au début comme un petit nombre ici, j'étais loin d'être fan du body scan mais les choses ont changé!
D'abord, parce que je me suis dit que si ça m'embêtait peut être que j'avais quelque chose à travailler dessus et du coup j'ai perséveré. Ensuite, l'ennui en le faisant je l'ai expérimenté mais après tout si je ne suis pas capable de le supporter en faisant ça, je ne le supporterai pas plus dans d'autres situations. Ne me suis-je pas inscrit à LC pour apprendre à augmenter ma tolérance émotionnelle? Il m'a semblé que l'ennui en fait partie...
Je trouve super que tu fasses des étirements en pleine conscience mais avec le recul je pense que c'est aussi important de ne pas être dans le mouvement constant parce que ça signifie peut être que l'on refuse de sentir ce que ça fait d'être inactif...
Pour conclure, j'ai appris à apprécier le body scan et notamment à sentir les battements de mon coeur, rien que pour ça j'aime cet exercice. En fait, le body scan m'a tout simplement appris à être davantage dans mon corps et moins dans le mental.
Voilà ma maigre contribution, en espérant que ça puisse aider.
Bonjour Maryette et merci pour ton étonnement
Hélas, point de magie dans cette perte de poids,
ma recette était de partir en vacances, loin du stress du boulot.
lever tardif (quand on veut),
aller acheter le pain en vélo (3km tranquille),
promenade à la plage avec madame,
repas léger le midi,
sieste de 3/4 d'heures
2 à 3h de kitesurf,
douche,
apéritif et
pour finir repas au restaurant (ou repas à la maison)
Rien de très contraignant, cela me permettait de perdre 3kg sans effort ... que je reprennais malheureusement l'hiver, sans effort non plus.
Depuis que je tente d'appliquer la méthode LC, ça a été un peu plus efficace,
mais depuis la reprise du travail, ça n'est plus aussi facile ... la courbe se stabilise.
Mon objectif était de perdre 10kg, j'en suis à 7kg, mais d'une part, c'était une cible un peu abstraite,
et les 3 derniers kg, si tant est que je doive les perdre, le seront sur une période beaucoup plus longue.
A suivre donc
Olivier