la santé dans l'assiette : la satiété
Bonjour à toutes
Après avoir démarré pour la seconde fois le programme, j'entends de nouveau mon corps me dire "réfléchis bien, mais je ne suis pas sûr que ce programme te corresponde".
Peut être suis je d'un naturel méfiant, peut être que je ne crois plus en rien, peut être que je me saborde..... n'ayant pas de réponse, j'attends car j’en ai assez de faire les choses parce qu’on me dit que ça sera bon pour moi
Je ne pense pas être une mangeuse compulsive, comme tout le monde je peux manger certaines choses et me dire "ah c'est pas bien ce que tu fais là !" mais ça n'a pas à voir avec ma tête mais avec ce que parfois j'accepte de mettre dans mon corps. Je suis très soucieuse de ça, du poison dans nos assiettes. Ce qui pour moi vient un peu en contradiction avec ce que je crois entendre ici puisque je pourrais y mettre ce que je veux et que ça n'aura pas d'impact sur mon poids
La lecture de ce document très intéressant pour les raisons de santé évoquées vient apporter de l'eau à mon moulin
dans le premier document (je ne retrouve pas le passage mais si je peux je vous le dirais) , les chercheurs expliquent que le sentiment de satiété sera différent selon que l’on met dans son estomac un corps gras (beurre, huile…) ou des légumes….. en expliquant de mémoire que pour la même quantité de calories, le sentiment de satiété sera différent vu l’information qui sera envoyée au cerveau et c’est bien lui qui nous explique si on a ou pas assez mangé. Donc ça met dans ma tête un doute sérieux sur la satiété prôné ici vu que selon ce que l’on verse dans son ventre, la satiété sera différente. On me dit que je peux manger de la glace (que j'adore) mais que mon estomac dira stop s'il a assez mangé.Le souci que je découvre dans ce reportage c'est que mon sentiment de satiété interviendra quand j'aurai mangé beaucoup de glaces, beaucoup trop sans doute
Je ne parle pas bien sûr des personnes qui mangent par compulsion et qui se retrouve pleinement dans cette méthode et je suis certaine que si on a un très bon de fourchette, la méthode est certainement très très aidante, et je ne veux pas dire : arrêtez la méthode est mauvaise ! ça serait faux mais il faut admettre qu'elle ne nous correspond pas forcément
mais si vous vous jetez sur la nourriture par compulsion, regardez cet excellent reportage qui vous dira pourquoi le sucré et le salé sont vos deux crédos
//rutube.ru/video/eeee6bb2cb7da772f8311631cb780827/
En résumé je vais dire : à chacun sa méthode....... en lisant ce reportage je m'aperçois que mon souhait de devenir végétarienne fait que "par hasard" la vie met devant moi les éléments qui vont me servir
Assiette et santé le lien est tellement énorme et on a juste à regarder nos sociétés pour se rendre compte qu'on a un sérieux problème avec ça
Merci de m'avoir lue !
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Les doshas ne sont pas forcément équilibrés, on peut avoir un dosha prédominant. Le but est qu'aucun ne soit trop faible ou trop puissant. Ils sont au nombre de 3, les 3 formes de la nature et on a les 3 en nous, aucun n'est bon ou mauvais, mais c'est amusant à explorer
Ce que je te conseille c'est de trouver un stage qui balaie déjà les bases sinon tu vas perdre un temps fou à comprendre et tu risques d'interpréter
Merci !
Soleluna, Amritaa, tout ce que vous dites sur la médecine ayurvédique, ici, ou au détour d'un blog ou d'autres fils de forum me fait baver d'envie. J'adorerai trouver un praticien fiable (y a un annuaire ???), mais dans mon désert, ça m'étonnerait. Vous auriez un livre super simplissime, genre "L'ayurveda pour les nuls" à conseiller ? Une entrée pour profane, pas un parcours pour apprendre tout en profondeur.
Morning! Chouette Pattie que ça te parle, youhouuu :)
Tout vite, avant d'attraper mon train pour partir en week-end : "Le Plan ayurveda" de Anna Selby. //www.amazon.fr/Ayurveda-Sciences-Techniques-M%C3%A9decine-Anna-Selby/s?ie=UTF8&page=1&rh=n%3A301141%2Ck%3AAyurveda%2Cp_lbr_books_authors_browse-bin%3AAnna%20Selby
Il est pas mal, très simple. Il offre une belle vue d'ensemble, pose les bases principales, te donne suffisamment d'éléments sans te sentir noyer, mais entrebaille suffisamment de portes pour que tu puisses d'apercevoir à quel point c'est vaste et te donner envie d'aller plus loi. Et pis y'a des photos, c'est aété, ça rend la lecture agréable.
Ah et sinon pour le praticien... les médecins ayurvédiques n'ont pas le droit de pratiquer en France. C'est une médecine reconnue par l'OMS, mais nan pas le droit en France. Il doit donc y avoir des médecins mais qui doivent ruser (genre conseils diététiques). Et puis des thérapeutes qui ne sont pas médecins oui. PLein de trucs à Paris, mais surement ailleurs?
Tiens j'ai trouvé ça. //www.ayurvedie.com/ayurveda-francefs.htm
J'y ai aperçu une fille que je sais sérieuse dans sa formation et sa pratique.
Amrita, tu as d'autres idées et références? Je suis preneuse. Belle journée tout le monde
Bonjour
Mes références en matière d'Ayurveda sont :
//livre.fnac.com/a3497025/Judith-H-Morrison-Le-livre-d-ayurveda
Très complet, peut être complexe mais de lecture très agréable, beaucoup d'images. On le conseille facilement en premier lieu
Le mieux à mes yeux (je ne commande jamais chez Amazone - écologie économique) c'est celui Dr SVOBODA qui a été le premier occidental ayant suivi une formation en Inde à vulgariser l'ayurvéda
//www.amazon.fr/Prakriti-Constitution-Ayurv%C3%A9dique-Robert-E-Svoboda/dp/2951801947
D'autres références : le Dr Frawley (qui a formé Evelyne dont je parle plus loin) , Atreya Smith
Pour les praticiens, j'en connais une donc
//www.ayurveda-france.org/praticiens/MATHELET-374.html
Voir avec le site sans doute, il doit exister d'autres professeurs dans le secteur
Certaines personnes proposent des stages de 2 jours ou plus pour au moins dégrossir et vous aider à trouver votre constitution. Tout seul je pense que c'est impossible, qu'il y a de grands risques de se tromper. Un Dosha peut paraitre prédominant mais il est juste déréglé
Désolée pour les autres réponses, beaucoup de choses en route et un stage ce week end....
Je ne connais pas l'ayurveda, et la moitié des termes que vous employez me sont complètement inconnus (ce qui est une raison supplémentaire de tout lire, j'aime picorer dans l'inconnu, parfois un peu approfondir, parfois beaucoup - enfin, là, ça me semble abyssal, comme inconnu, mais je picore).
Je parle moi aussi de santé. Quand j'étais plus jeune, les régimes, c'était pour la silhouette. Là, non, c'est pour garder le plus longtemps possible une bonne santé.
Mais comme je disais : on n'est pas toutes au même point. Plus exactement : on n'a pas toutes le même point de départ. Et on n'aura pas le même chemin, ni le même point d'arrivée. Mon point de départ, c'est tout un tas de conseils/ordres/consignes sur la nourriture. Qu'ils soient bons ou pas, ça fait des années que je pèse le double d'un poids moyen par rapport à ma taille. Je ne savais même pas ce qu'était "manger avec faim", "s'arrêter de soi-même". Depuis l'âge de 5-6 ans, toute discussion sur l'alimentation commence par tout un tas de conseils (ou un silence que je trouve éloquent, en bonne parano). Certains de ces conseils sont excellents. Mais largement hors de ma portée, ce qui active mon sentiment de nullité, de culpabilité, et j'en passe. Et donc, je finis par manger.
Sur LC, c'est tout autre chose. On ne nous donne aucun conseil sur la nourriture, aucun ordre, aucune marche alimentaire à suivre. On part du principe que le corps est compétent. Le travail du site, c'est de nous apprendre à le laisser aux commandes. Pour ça, il faut aller à contre-courant de tout ce qu'on a appris. Enfin, en tous cas, moi. Quand mon corps a commencé à devenir gros, personne ne s'est demandé si dans ma tête ou dans mes émotions, ça allait. Tout le monde autour de moi donnait l'impression de déjà tout savoir, médecins, familles, amis, même des relations. On m'a inculqué que, mon corps étant incompétent, il fallait que j'apprenne à manger avec ma tête. Et voilà qu'à 43 ans, on me dit que mon corps est le seul compétent. Et on ne me demande pas d'y croire sur parole : on m'offre de prouver ça, à travers les étapes du parcours. Et toutes ses preuves successives non seulement sont arrivées à convaincre ma tête, mais en plus ça m'a permis d'affiner cette compétence. Je ne suis pas au bout. Mais je suis nettement plus avancée qu'avant LC.
Avant LC, mon corps n'avait pas voix au chapitre. Si j'ai un peu compris des échanges ici et là sur l'ayurveda, le corps est un élément important. Moi, je pars d'un point de départ où le corps devait se taire pour que ma tête enregistre les conseils et dirige les opérations (ce qui est tout simplement impossible). Alors maintenant, les conseils, ils passent au second plan. Si je me dessinais il y a un an, à la manière d'un enfant, j'aurais un tout petit corps et une énorme tête pleine de mots en forme de marteaux bien intentionnés, avec plein de bouches autour qui les prononcent. Après un an sur LC, mon corps serait plus important, ma tête encore énorme, il y aurait toujours plein de bouches, mais plus loin de moi, les mots seraient plus petits.
Un Européen ne peut pas forcément encaisser un (je ne sais plus le mot, l'espèce de détox dont parlait Soleluna) à l'indienne facilement. C'est pareil pour une personne qui doit désapprendre à manger avec sa tête. Elle ne peut pas encaisser les conseils qui "pourraient" l'aider, parce que les conseils sont mentaux. Sa tête est déjà trop remplie, et pour un résultat inverse à l'effet recherché. Quelle que soit la validité du conseil.
Ceci dit, je trouve intéressant d'entendre dire que les fruits, c'est mieux hors repas. Si ma mère l'avait entendu avant, elle aurait évité des inconforts avant. Pareil pour la viande. C'est intéressant de savoir tout ça, c'est bien de le dire, de le promouvoir. Mais pas en tant que dogme nécessaire à la santé. Juste comme résultats de recherches scientifiques (multi-millénaires ou dernier cri), qui renversent parfois les idées en place, qui peuvent aider ceux qui rencontrent un problème précis et qui, en lisant, trouvent un écho, une idée d'approche inédite (inédite dans leur vie, parce qu'un truc a beau être multi-millénaire, si on ne le colporte pas, ça reste inconnu).
Kaylee, si tu ne le sens pas, ne le fais pas. Il viendra peut-être un moment où tu le sentiras. Pour moi, j'ai l'impression qu'un Magnum entier suffirait à me rassasier jusqu'au repas du soir (avec peut-être quelques bouchées de pomme vers 17h). Quand tu dis "Magnum", tu penses "un seul ?" et moi je pense "entier ???". Un mini-Magnum devient bof pour moi au bout de deux bouchées ou trois. Par contre, il est bien possible que tu aies faim après le rassasiement gustatif. Mais là, du coup, il faut attendre d'être prête à encaisser l'inconfort de ne pas manger comme on aime. C'est une expérience. Elle n'est pas urgente et elle ne solutionnera pas ton problème avec la nourriture à elle toute seule, donc pas de pression. Elle sera juste très utile au moment où tu seras prête. Pas avant. Je crois qu'un des objectifs secondaires de l'expérience telle qu'elle est conçue est de démontrer qu'en mangeant un aliment hyper calorique jusqu'au rassasiement gustatif, on ne grossit pas. Un autre objectif secondaire, c'est d'accepter une situation un peu inconnue, un peu déstabilisante. L'objectif principal, c'est de ressentir et de ressentir encore et encore la fin du plaisir gustatif, le moment où le corps a envie d'autre chose. Si tu le fais à contre-coeur et que tu dépasses le rassasiement gustatif, alors tu vas juste prouver que manger au-delà fait plus ou moins grossir. Ca, on sait déjà ;-)
[quote=Pattie]
Kaylee, si tu ne le sens pas, ne le fais pas. Il viendra peut-être un moment où tu le sentiras. Pour moi, j'ai l'impression qu'un Magnum entier suffirait à me rassasier jusqu'au repas du soir (avec peut-être quelques bouchées de pomme vers 17h). Quand tu dis "Magnum", tu penses "un seul ?" et moi je pense "entier ???". Un mini-Magnum devient bof pour moi au bout de deux bouchées ou trois. Par contre, il est bien possible que tu aies faim après le rassasiement gustatif. Mais là, du coup, il faut attendre d'être prête à encaisser l'inconfort de ne pas manger comme on aime. C'est une expérience. Elle n'est pas urgente et elle ne solutionnera pas ton problème avec la nourriture à elle toute seule, donc pas de pression. Elle sera juste très utile au moment où tu seras prête. Pas avant. Je crois qu'un des objectifs secondaires de l'expérience telle qu'elle est conçue est de démontrer qu'en mangeant un aliment hyper calorique jusqu'au rassasiement gustatif, on ne grossit pas. Un autre objectif secondaire, c'est d'accepter une situation un peu inconnue, un peu déstabilisante. L'objectif principal, c'est de ressentir et de ressentir encore et encore la fin du plaisir gustatif, le moment où le corps a envie d'autre chose. Si tu le fais à contre-coeur et que tu dépasses le rassasiement gustatif, alors tu vas juste prouver que manger au-delà fait plus ou moins grossir. Ca, on sait déjà ;-)
[/quote]Merci beaucoup Pattie, tes propos me déculpabilisent. En effet, je ne suis pas prête mais je sais pourquoi (cf. "vous avez commencé en avril-mai 2014"). Beaucoup de choses vont se décanter dans le courant de la semaine prochaine, donc je vais patienter en mode "pause".
Pattie, l'ayurveda est la médecine ancestrale indienne, reconnue comme médecine à part entière par l'OMS. C'est une approche hollistique, très intelligente et pleine de bon sens. On va s'intéresser à ton corps, mais aussi à ton état émotionnel, énergétique, et les préconisations et actions se feront dans tous ces champs, donc pharmacopée bien entendu, mais aussi prescription d'exercice physique (yoga par ex), de tel exercice énergétique, de respiration, de massage, et l'alimentation aussi est un paramètre important, plus différents actes thérapeutiques. Ce que je trouve particulièrement intéressant c'est que la prévention est primodiale, et les préconisations se font en fonction de toi, de qui tu es (ta constitution, qui n'est pas que physique) et pas des généralités. Et puis on considère que tu fais partie du grand tout de l'univers et ... Bon c'est juste fabuleux à mes yeux. :) Mais c'est pas le propos, et ça fait discussion un peu entre soi hein? Sorry les filles :) Juste je voulais ajouter un truc par rapport à mon expérience : ça ne m'a pas guérie, mais ça m'a permis de sortir de la phase aigue de la maladie et d'ailleurs au niveau des examens biologiques c'était incroyable : le grand ponte national qui me suit m'a demandé en voyant les résultats des tests ce que j'avais fait et qu'il avait jamais vu ça de toute sa carrière. Et puis moi ça m'a fait du bien de me sentir un tout : j'étais ballotée d'un médecin à l'autre, tout se détraquait dans mon corps, donc j'allais d'un spécialiste à l'autre, et chacun me traitait par segment, j'étais devenue plein de petits segments malades. Llà on m'a pris comme un tout, et tout se tenait. C'est comme si on m'avait recollée :)
Je crois que c'est aussi ce qui se passe avec LC. Je me sens enfin être un tout et me dis que mon corps et ma tête doivent marcher ensemble, main dans la main. Ce que je trouve intéressant dans cette méthode aussi, c'est qu'elle te remet toi au centre. Toi c'est à dire ta tête, ton corps, tes émotions. On te dit pas quoi manger, quand, en quelles quantités etc. C'est très destabilisant. J'ai souvent lu ici et là de la bouche de nos docs "se faire confiance". Et ce "se faire confiance" résonne beaucoup dans ma tête en ce moment. Comme si il voulait me dire un truc et se rattacher à mon expérience du moment, mais j'ai pas trouvé, alors ça continue à clignoter...
La connaissance c'est important. Le coup des fruits par exemple c'est vrai. Et on peut s'épargner pas mal de troubles en le sachant. Mais moi j'ai besoin de garder de la souplesse, sinon je deviens maboule. :)
Et c'est là que ça coince terriblement avec le gluten etc. Je le ressens comme une prison. Parce que c'est de la mega contrainte. Mais force est de constater que ça me fait beaucoup de bien, plus que ça même. Me voici donc de nouveau dans la prison de la restriction, malgré moi. Alors que moi I want to break free quoi!!!! Groumpf
Je vais aller poser cette question sur le forum aux docs. Parce qu'il y a surement d'autres personnes qui, pour raisons médicales, sont en restriction malgré elles (je pense aux diabétiques par ex). Si réponse il y a, et qu'elle apporte quelque chose, je viendrai poster ici le lien.
Aller, j'arrête là mes je sais pas quoi d'ailleurs. :)
Nath, j'ai bien aimé ton intervention :) Kaylee, Marie, Amrita, Pascaline and co : xxx
Merci ! Je vais regarder tout ça. J'ai aussi farfouillé un peu sur le net, pour savoir ce qu'est un dosha. Bon, je ne sais pas la fiabilité des articles que j'ai lus, mais c'était intéressant, notamment sur l'équilibre des doshas (sur un site, la définition de la santé, c'est l'équilibre entre les doshas).