La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Me voilà rendue au travail sur l'appétit prévisionnel. Autant je pensais commencer à y parvenir autant dès lors que je dois par exercice me restreindre cela devient extrèmement difficile. Soit je m'y astreins et je suis d'une humeur de dogue soit j'envoie tout ballader avec l'impression d'être une mauvaise élève.
Ce que j'ai du mal à comprendre c'est que la faim concrète ne me pose pas problème en soi. Je peux désormais l'accepter et même attendre le bon moment pour vraiment déguster la collation dans les meilleures conditions et non à la va-vite. C'est plutôt comme si ce que je ne supportais pas c'est le souvenir d'avoir eu trop faim, engendrant des phases de perte de contrôle.
Comment faire la paix avec ses souvenirs ?
Bonjour,
tout d'abord, je tiens à vous remercier pour cette méthode qui change littéralement ma vie.
Je vous écris, car en remplissant mes carnets d'EME, j'ai remarqué une chose qui me semble étrange.
Ça n'arrive pas systématiquement, mais environ 1 fois sur 2, lorsqu'on me demande de cocher mes sensations physiques, je m'aperçoit que je ressens en même temps "agitation", et "lourdeur et abattement".
Je m'explique.
Agitation, par ce que je ne tiens pas en place, je n'en plus plus d'être assise/couchée, j'ai envie de sortir, de faire du sport,
Lourdeur et abattement, par ce que mon corps, lui ne bouge pas. C'est à peine si je tiens assise je ne suis bien que couchée, je veux faire mais je ne peux pas. Je me sens comme un lion enfermé dans un corps de limace.
Du coup, je suis pleine de contradictions, torturée entre les deux, et je pense que je mange alors pour me soulager (ce qui n'arrange rien).
Je voulais savoir si d'autres personnes étaient dans mon cas, et si vos aviez des conseils.
Merci d'avance!
Bonjour Erable,
Je suis heureux des bienfaits que vous apporte notre méthode.
Il est difficile d'expliquer avec pertinence la cause de votre agitation ou de votre lourdeur/abattement. Mais il est fréquent que le corps soit le siège de conflits émotionnels.
L'important est que vous preniez pleinement conscience de ces ressentis intérieurs et que vous les acceptiez. Le fait de ne pas supporter ces situations d'inconfort émotionnel vous conduit à réagir par des prises de nourritures pour vous apaiser.
Je crois que vous êtes une bonne candidate aux exercices de PC et notamment à l'EME-zen qui vous aidera à travailler sur votre impulsivité alimentaire.
Bon courage.
JP
Bonjour ! Cela fait quatre jours que je suis inscrite au programme et voici ma première intervention sur le forum.
Mis à part mes problèmes d’EME et ma mauvaise appréciation de la satiété, je pense que les quelques kilos qui, depuis que je suis mère, m’ont fait basculer dans la case « surpoids » sont également dû à mon manque de sommeil chronique (ma fille de 18 mois se réveillant en moyenne 3 fois par nuit, à intervalle de 2/3 heures).
Qu’en pensent nos experts ? J’ai vu qu’un article était consacré à la question sur le site, mais aucun conseil n’est donné pour tenter de pallier cette question…
Faut-il limiter le repas du soir, quitte à se coucher en ayant faim ?
Merci pour vos commentaires !
Bonjour à toutes, et à Orenata et au dr Zermati qui a répondu là à une de mes questions !!!
Je rebondis sur ce post car je suis depuis 4 mois sur le programme te malgré tous mes efforts je n'ai pas perdu un gramme.
Je ne suis pas à proprement parler en surpoids (72 kg pour 1m78) mais j'aimerais au moins pouvoir rentrer dans les vêtements que je mets depuis des années.
Après avoir réfléchi à la question du "pourquoi je ne perds pas de poids", il m'est apparu que la prise de poids a commencé insidieusement l'an dernier avec des réveils nocturnes (1 par nuit, vers 4h00) et de grandes difficultés pour me rendormir. Par dessus ça ma mère a été malade (opération neurologique) et cela a provoqué un gros coup de stress fin 2011.
Mon état empirant (réveils nocturnes avec angoisses et "gamberges" encore plus nombreux, arrêt du sport car trop fatiguée pour faire quoi que ce soit en dehors de la vie de famille et du travail).
Je suis récemment allée voir mon généraliste qui m'a d'abord prescrit de l'atarax, une catastrophe, cela me rend complètement rammollo, pour tant je suis au + petit dosage (25 mg). Et finalement, il m'a represcrit du Prozac (Ad que j'ai déjà pris auparavant et qui n'a pas d'effets secondaires chez moi). j'espère donc passer des nuits sereines dans quelques semaines, et éventuellement perdre ne serait-ce que 3 kilos.
Et toi Orenata, où en es-tu?
Bonjour à toutes et tous,
j'ai besoin de vos conseils, de votre vécu.
J'ai commencé le programme en mars et ça allait plutôt bien. Mais depuis 2 semaines je dois pratiquer l'EME-zen lorsque j'ai des EME. Et là je bloque ! Car, et ça m'est dur de le dire, je me rends compte que je ne suis pas prête, que je n'ai pas envie, de renoncer à la nourriture. Ni de ressentir mes émotions.
Depuis que je dois travailler sur mes émotions, j'ai à nouveau de grosses crises d'hyperphagie et j'en viens à ma demander si je vais réussir, un jour, à avoir un rapport normal avec la nourriture. Je suis un peu découragée là.
Est-ce que quelqu'un a vécu ces doutes, et est parvenu à continuer le programme et à y voir les bénéfices ?
Merci d'avance pour votre aide.
Alexandra
Nous sommes tous des individus, avec une histoire et un vécu spécifique. Et le programme est pensé pour le plus grand nombre. Ce qui signifie qu'il y a forcément un moment où on bloque sur telle ou telle étape. A nous d'adapter, ou accepter de ne pas faire aussi bien que l'on voudrait.
J'ai longtemps différé l'EME zen. J'ai commencé par pratiquer la RPC par petites étapes, puis de plus en plus souvent dans la journée. Jusqu'au moment où je l'ai ressenti comme un besoin, et là j'ai pu y avoir recours en cas d'EME au lieu de me buter.
Je ne sais pas si ma question fera beaucoup avancer le schmulblick mais bon, dans la mesure où je me la pose...
J'ai remarqué qu'ici beaucoup de personnes sont d'une exceptionnelle réceptivité au ressenti d'autrui, tout en ayant beaucoup de difficulté à supporter leurs propres émotions (et je me place dans le lot). D'où le recours à la nourriture, pour étouffer ce qui nous insupporte, en-dedans, ou en-dehors.
Je me demandais si l'on naît ainsi, avec une sorte d'empathie supra développée qu'il nous faudrait apprendre à apprivoiser (merci la RPC ! ), ou si cela est dû aux aléas de la vie ?
Et d'ailleurs, est-ce que je me trompe ? Est-ce que le recours à l'alimentation (ou toute autre addiction) est effectivement dûe à cette difficulté, faculté, à s'identifier aux émotions d'autrui ?
salut Eileen,
De rien, je crois que le temps est aussi une précieuse aide surtout quand on a vécu des traumatismes, qui va piano va sano:), j'ai vécu des choses dures, et les premiers temps impossible de remonter à la surface, submergée par mes émotions mais ensuite juste en me rassurant, genre "cool, vas-y cool",j'ai commencé à revivre. En fait à chaque étape de cette reconstruction je me trouve des petites choses à me dire pour avancer.
En ce moment je me dis qu'il faut que je pense à moi, car en général je priviligie les autres, donc j'essaie de plus me prendre en compte.
J'ai analysé quelque chose aussi dans mes relations amoureuses qui pourrait s'appeler "mieux vaut l'autre que sois" c'est à dire que je cherche quelque chose de fusionnel qui me soulagerais de mes souffrances, les oublier pour un temps en se noyant dans l'autre et ne vivre que pour l'autre, bonne façon de ne plus rien ressentir sauf que c'est aller droit contre un mur, alors PC, apprendre à prendre de la distance avec ses souffrances, de toute façon je n'ai pas le choix, elles sont en moi et faut faire avec.
Je te souhaite du courage et à bientôt.
un petit extrait de léo férré :
Parole de Comme à Ostende:
On voyait les chevaux d'la mer
Qui fonçaient la têt' la première
Et qui fracassaient leur crinière
Devant le casino désert
La barmaid avait dix-huit ans
Et moi qui suis vieux comm' l'hiver
Au lieu d'me noyer dans un verr'
Je m'suis baladé dans l'printemps
De ses yeux taillés en amande
Ni gris ni verts, ni gris ni verts
Comme à Ostende et comm' partout
Quand sur la ville tombe la pluie
Et qu'on s'demande si c'est utile
Et puis surtout si ça vaut l'coup
Si ça vaut l'coup d'vivre sa vie.........
//www.youtube.com/watch?v=3jHw0M2mgJA
Je m'interroge sur un fonctionnement que je répète régulièrement.
Je m'explique : le week end dernier, j'ai vraiment mangé en fonction de mes sensations : faim, satiété, rassasiement spécifique. J'ai ressenti une très grande satisfaction. Je me suis délectée de cette sensation qui a duré longtemps encore dans la journée! Ce fut très agréable. J’avais en + cette estime pour moi d'avoir pris la décision d'arrêter de manger parce que je n'avais plus faim, cette douce satisfaction de m’être respectée.
Mais depuis hier, je mange + au-delà de mes sensations, je ne les respecte pas. Alors certes, j'ai eu une contrariété, j'ai eu une eme et même le soir lors du repas, je suis allée au delà de ma faim. Je le savais mais je n'avais pas envie de pratiquer l'eme-zen, j'avais juste envie d'éviter l'émotion, de ne pas aller la voir. J'avais l'impression de me bouder ! Dans ces moments là, intellectuellement je me dis qu’il y a une émotion, je peux même la nommer mais je n’ai pas envie d’aller la voir, d’aller l’accueillir. Là où mon mental est pervers c’est qu’il est capable de dire « tu es en colère, prends cette colère en considération » et de dire « je m’en fiche j’irai pas faire d’eme-zen, je m’en fiche je mange un point c’est tout ». (ah oui je sais mes dialogues intérieurs sont assez drôles).
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En ce qui concerne le déclenchement d'émotions pénibles de hier, j'en suis là : Petit à petit, je reviens vers les exercices de pleine conscience, je me remets à mon écoute, je vais voir mes monstres intérieurs qui s’avèrent être en mousse (oui oui je parle par expérience, ils sont en mousse je vous assure), je finis par accepter telle ou telle émotion. Là, par exemple, je sais que la contrariété que j’ai eu et qui me provoque de la colère et de la lassitude, je vais mettre du temps à les « digérer » alors je fais profil bas, j’essaie de ne pas trop être exigeante avec moi : j'essaie de me pardonner si je mange trop, je prends du recul et me vois avec bienviellance, parfois avec de la taquinerie quand je me vois faire, je me dis que je fais du mieux que je peux, j'essaie de ne pas m'appliquer la double peine (déjà que la situation est difficile, je ne vais pas y mettre des jugements de valeur négatifs en +). Bref, j'essaie de me remettre en question mais pas en cause.
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Problème d'avancée et régression :
Ce que j'ai remarqué c'est que même lorsque je suis à mon écoute, que je respecte vraiment mes sensations sur, mettons pendant 2 jours, après, pendant quelques jours je vis une sorte de régression, qu’il y ait eu contrariétés, déclenchement d’émotions pénibles, EME ou pas !. Je n'arrive pas à me l'expliquer. Une hypothèse possible : une part de moi refuse le changement. Elle est ancrée dans un fonctionnement qui a duré plusieurs années, certes qui ne me convient plus, mais comme elle ne connait que ça, elle me fait replonger.
Pouvez-vous m'aider ? Avez-vous des conseils ? En vous remerciant
Très claire et... courageuse !
Bonjour Docteurs.
Tout d'abord, grands mercis pour votre site, qui est très complet...
Je me pose cependant une question : inscrite depuis peu à LC, je me demande quand même si, avec mon IMC de 38,6, votre méthode peut m'aider à perdre mes 30 (voire 35) kgs de trop ???
J'avoue que je suis dans une période de grands doutes..... Je travaille sur mon comportement alimentaire, sur mes émotions (la lecture d'un de vos articles m'a même permis de comprendre le pourquoi de mes rondeurs), et quand je vois que les autres inscrit(e)s n'ont que 5. 10 ou 15 kgs à perdre (par rapport à moi, c'est peu, ce qui ne veut pas dire que ce soit simple pour eux), j'aimerais être rassurée sur ce point.
Peut-être y a-t-il ici des personnes qui, comme moi, ont beaucoup de kgs superflus..... J'aimerais beaucoup avoir leur témoignage.
Merci
J'ai évoqué la méthode LC avec mon psy et il m'a dit "tu as le droit d'avoir des kilos en trop si tu veux" et ça a fait tilt. Oui, j'ai le droit , parce que la vie ne m'a pas facilité la tâche et que oui, j'ai compensé en mangeant. Et alors ? il fallait faire quoi ? boire ? fumer ? prendre des calmants ? J'aurais pu aussi (encore aurait-il fallu que quelqu'un m'en parle...) faire du sport, rencontrer des amis, mais justement j'étais mal, isolée, enfermée avec comme copain le frigo et l'armoire à crasses. Et après c'est la valse des régimes : j'ai bien perdu 200 kg, mais toujours le même !
Et ce fameux "déclic" qu'il faut avoir pour commencer un régime, comme si on ne le voyait pas, comme si on ne le sentait pas qu'on est lourde, encombrée, fatiguée par ce poids supplémentaire ! Le déclic, je l'ai eu des dizaines de fois, vexée par un "ça te plait d'être mal dans ta peau ?" ou "regarde comme tu étais à 18 ans" ou "tu ne vas quand même pas faire du tennis avec tes cuisses ?" Non, je vais me couper les jambes avant de monter sur le terrain...
Alors, oui, maintenant j'assume mes kilos et j'arrête de martyriser mon corps en le privant, en lui demandant des choses qu'il ne peut pas encore faire (jogging) et je choisis de lui, de nous faire du bien. De toutes façons, ça ne sera pas pire, et si je ne maigris pas, au moins je serai en paix. Si je perds du poids, tant mieux, et encore je ne voudrais pas trop perdre, j'aime bien mon côté "Joséphine", mes vêtements amples et mes rondeurs joyeuses. Juste perdre ce qu'il faut pour protéger mes articulations et bouger encore longtemps.
Ma mère a vécu la guerre, elle était mince, elle mourait de faim et elle est morte obèse, bien entendu. Elle n'a jamais su se réguler, elle mangeait "au cas où". Et elle faisait une crise de panique tous les 31 décembre à cause des pétards, chaque fois qu'un chien aboyait, qu'un avion passait dans le ciel... Deux jours avant de mourir, alors qu'on lui offrait une crème vanille, je voyais dans ses yeux qu'elle se demandait si elle pouvait la manger... Je ne veux pas finir comme ça !
LC, pour moi, c'est d'abord un temps que je me donne pour faire la paix avec mon allimentation !
Bonjour chers Docteurs et Linecoachés,
En prêtant attention à mes pensées automatiques, je me suis aperçue que je me jugeais et me dépréciais en permanence avec des phrases comme "tu es nulle", "tu n'y arriveras jamais", "mais à quoi t'attendais-tu ?".
J'ai aussi une énorme tendance à me comparer physiquement aux autres filles. Ca peut-être des personnes que je vois à la télé ou dans les journaux, que je croise dans la rue, ou encore des copines.
J'ai même remarqué que, quand je regarde un film, voir une jolie actrice peut déclencher une EME parce que je me compare à elle.
J'analyse beaucoup le corps des autres, je suis très (trop) admirative de la beauté physique, comme si j'étais dans une sorte de recherche, de quête, d'une réponse.
J'ai l'impression d'être une personne artificielle et naive.
Je suis très complexée par certaines parties de mon corps que je voudrais tonifier, mais je n'arrive pas à me mettre au parcours forme régulièrement, sans doute parce que trop idéaliser le résultat me bloque. En tout cas, c'est comme ça que je l'analyse...
J'ai minci depuis mon inscription à LC et j'en suis très heureuse. Mais pas plus tard que ce matin, en me voyant dans la glace, j'ai eu une pensée automatique du genre "c'est mieux qu'avant mais c'est pas encore ça".
J'ai beaucoup besoin d'être rassurée sur mon physique, j'ai utilisé plusieurs fois l'outil "je ne me cache plus". Mes proches me disent qu'ils me trouvent jolie, je reçois régulièrement des compliments. Ca me fait plaisir mais dans le fond, je suis plutôt mal à l'aise, inconfortable, comme si je ne le méritais pas ou que je n'y croyais pas, ou temporairement. Ca peut aussi me rendre euphorique sur le moment. Quand c'est des compliments masculins, c'est encore pire, je crois que je me sens presque mise en danger. Pourtant, je devrais être flattée et contente. Dans tous les cas, c'est EME à retardement, ça me met la pression.
Il faut dire aussi que pendant les 18 premières années de ma vie, on ne m'a jamais dit que j'étais jolie. C'était même plutôt le contraire. Sauf ma mère, mais bon... c'est ma mère ! même si je sais que c'est déjà tellement par rapport à beaucoup de témoignages que j'ai lus sur le site.
Depuis plusieurs semaines, je stagne par rapport au programme. A la fois à cause d'un contexte professionnel (je viens de terminer un cdd et je rentre dans une phase assez cruciale où il va falloir que je me décide et que je m'affirme sur ce que je veux vraiment faire) mais aussi comme si j'allais franchir une nouvelle étape décisive. J'ai perdu plus de 5 kgs et j'aimerais encore en perdre 5kgs. Je ne suis pas encore à mon set point puisque quand je respecte mes sensations alimentaires, je perds.
Bref, je me sens un peu emmêlée, empêtrée dans des idées et des idéaux qui ne me ressemblent peut-être plus mais dont je n'arrive pas à me libérer. C'est un peu paradoxal. Pourtant, j'aimerais avancer mais je suis comme hésitante et bloquée...
voilà... désolée pour la tartine, j'espère que vous aviez faim, du Nutella en pensée à tout le monde !
Rose
Merci à tous pour vos réponses si chaleureuses qui me touchent et m'aident beaucoup !
Je vois que je ne suis pas toute seule à penser de cette façon ! C'est toujours réconfortant, et vous m'offrez beaucoup de clés et de pistes à travailler.
Effectivement, se comparer à la caissière de supermarché ou à un top model (exceptionnel)... on en arrive pas à la même conclusion. Et il n'y a pas qu'une seule façon d'être belle... mais on peut être belle à sa façon.
Le plus difficile étant de dompter ses pensées automatiques, le plus régulièrement possible.
Merci Monsieur Apfeldorfer pour vos conseils. J'ai beaucoup aimé votre livre "Les relations durables", que je conseille vivement à tous les linecoachés. Pour bien faire, il faudrait que je relise certains passages régulièrement
Je vais regarder pour le livre que vous me conseillez. J'aime beaucoup le titre !
Je viens de trouver "Faites vous même votre malheur" de Watzlawick, à la médiathèque près de chez moi. Le titre est bien aussi ! Ca a l'air amusant et instructif.
Tiens, tiens, comme c'est bizarre ... j'ai le sentiment que je vais y puiser quelques perles à partager sur les forums LC
Merci à tous !!
Rose
Merci beaucoup.
Bonjour,
Je suis toujours ravie de la méthode et des échanges sur ce site. Mon comportement alimentaire s'est nettement amélioré et mon poids bouge tout doucement. Par contre, j'ai un problème qui me gêne beaucoup et que je ne sais pas comment dépasser : je suis tout le temps malade, tout le temps enrhumée et je perds très souvent l'odorat, et donc une partie du plaisir à manger.
J'en ai parlé à mon médecin et j'ai un traitement de fond pour le rhume. Ca va un peu mieux, mais j'ai remarqué une chose. C'est que lorsque je suis enrhumée mais qu'il me reste un peu d'odorat, j'arrive souvent à avoir un peu de plaisir à manger en tout début de repas, et très vite, mon nez se bouche et c'est fini.
En fait, je me demande ce qui se passe. Est-ce que c'est une façon pour mon corps de me signaler que j'ai déjà atteint la satiété? Est-ce que je somatise? Est-ce qu'il y a un lien entre les aliments et le fait d'être tout le temps malade et enrhumée (allergie ou intolérance)? Ou est-ce une simple coïcidence? Et comment pratiquer la dégustation dans ces conditions?
Un grand merci d'avance pour votre aide et merci encore pour avoir créé ce site qui m'apporte tant.
Neam, tout le temps aussi depuis des mois et je me "couvre la gorge" aussi désormais (angine à répétition). Je plaisante un peu mais il vrai que LC permet de prendre beaucoup plus soin de soi et de s'écouter. Comme quoi, LC permet de changer beaucoup de choses...
Patience et longueur de temps...
Merci Dr de me (nous) rappeler qu'il suffit parfois d'accepter de cheminer à son rythme pour que les noeuds se résolvent.
Tamar, je pense aussi qu'il y a de cela, bien sûr. Me suis tant contrainte que maintenant, même dans e cadre de LC, cela me rend indocile. Le tout est de ne pas jeter le bb avec l'eau du bain !