La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
Sujets de discussion du moment
Récemment j'ai abordé ici la question de la colère (j'entame le livre de Thich Nhat Hanh).
Or aujourd'hui j'ai eu un échange assez vif devant témoins avec une collègue, et ce n'est pas la 1ère fois. Sauf que là j'ai répondu posément, en essayant d'argumenter mon point de vue et surtout en disant bien "je" pour parler de mon ressenti. La personne en question a quitté la discussion en pleurs, ce qui m'a sur le coup bien culpabilisée, et mise en colère...
Deux choses : d'une part cela est arrivé alors que enfin je m'astreins à 3 mn de RPC (éventuellement dans les toilettes) même dans le cadre du travail, environ toutes les 3 h. D'autre part, j'ai refait un exercice de RPC après, qui m'a donné l'impression de mieux faire la part des choses (y compris mes propres peurs) au lieu de tourner en rond au sujet de cet incident.
L'étape d'après étant bien sûr (pas si simple ! ) de pouvoir reprendre cela posément avec elle.
Je ne me suis pas reconnue, surprise de mon calme tout en refusant de m'incliner comme je le fais en général, tout en râlant et m'enervant. D'où mon interrogation : la RPC est donc si puissante quand pratique régulière ?
Remarque annexe : en ce moment, je me sens totalement dépendante de mon MP3. L'étape d'après serait, je suppose, d'être capable de pratiquer sans. J'ai pour l'instant l'impression d'avoir remplacé une addiction (la nourriture) contre une autre (la RPC).
Avec de tels prédécesseurs, je garde mon addiction :-))
C'est surtout que doit venir un temps où on doit pouvoir pratiquer sans un MP3 collé aux oreilles, non ? Ceci dit, c'est comme un RV, maintenant.
Je ne sais plus quand j'ai démarré la RPC. Dans les 3 mois je crois, et jusque là juste 10 mn matin et soir. Et j'avais l'impresion de réaliser un exploit :-)) C'est pour respecter le programme (je gère mes fins de journée) que je suis passée aux pauses en journée. Et là je sens vraiment vraiment la différence. Y compris auprès de mes propres enfants : moins de colères, et de mon conjoint (dire sans se fâcher).
Je pratiquais pourtant déjà la méditation, mais là cette pratique ponctuant les journées fait vraiment une différence. Un grand merci.
c'est vrai qu'au debut, ça a chamboulé pas mal mes habitudes et modifié l'heure de mes repas, surtout quand j'ai compris que je n avais pas faim au petit dejeuner, mais que j avais soif, et que un the c'etait tres bien
bref, plein de surprises au debut, mais ça se regule petit a petit
le week end, je prends parfois un petit dejeuner vers 10h 30 ou 11h, quand j ai faim apres avoir promene les chiens et je ne dejeune pas a midi, bref, je suis nettement plus a l'ecoute des ma faim et mes horaires sont plus souples
bon courage!
Bonjour,
concernant la pleine conscience, il semble qu'on doive la pratiquer assidûment, au moins deux fois par jour pendant 6 à 8 semaines pour en mesurer les réels bénéfices. Pour ma part, je n'ai jamais pu me contraindre à un tel rythme. Je précise que j'ai terminé le programme il y a déjà quelques mois, avec succès. J'utilise la RPC de temps en temps, à vrai dire lorsque je prends le temps de le faire, et j'en retire une certaine sérénité. Je pense qu'on fait comme on peut, et que dès lors qu'on doit se contraindre, c'est sans doute contre-productif. J'en parlais avec une responsable du programme au téléphone, qui me confirmait qu'il était bien difficile de pratiquer aussi régulièrement. J'ai pas mal de temps de trajet en voiture pour mon boulot, et je me passe les enregistrements sur l'auto-radio. C'est une adaptation de la PC qui n'est pas sans intérêt.
Pour ce qui est de qualifier les différentes formes de faim, il y a des exercices spécifiques pour cela. C'est un ajustement qui vient avec le temps. C'est particulier, car on arrive d'autant mieux à qualifier sa faim qu'on n'est pas focalisé sur la sensation. Bien sûr, c'est plus facile à dire qu'à faire ! Mais c'est surtout l'expérience, le temps, qui apporte des réponses.
Francisco
C'est la 2ème ou 3ème fois que cela m'arrive.
Je me souviens particulièrement de la phrase "quoi que ce soit je peux le vivre" dans l'un des exercices de RPC de 3 mn. Il m'a fallu moult écoutes pour enfin entendre "quelles que soient mes émotions, je peux leur faire une place en moi" (phrase à laquelle depuis bien souvent je m'accroche comme un mantra...)
Là, cela concerne les exercices "je gère mieux mes fins de journée" J'ai commencé par exploser toute seule (en soirée ! ) devant l'ordi, tant les propositions me semblaient utopiques et inapplicables. Forte de mon expérience, j'ai laissé passé 24 h (et écrit un post à ce sujet... et lu les conseils avisés donné par d'autres utilisatrices, grand merci) avant de revenir au programme, relire posément l'ensemble, et voir comment je pouvais concrétement l'appliquer.
Alors je me demande : ces colères, sont-elles une réaction à une trop grande peur ? Et si ça marchait ? Et si je devenais autre ? Ou une peur du vide ? Ou des réglements de compte déguisés, en fait adressés au hasard et entre autre à la toubib qui notait obésité souligné 3 fois sur mon carnet de santé à l'école ?
Merci les filles, grâce à vous, je viens de me rendre compte que je n'ai pas beaucoup de résultat mais c'est tout simplement parceque je ne m'implique pas vraiment.
Je cherche toutes sortes d'excuses genre, pas le temps, trop fatiguée etc et même si c'est vrai souvent, je dois juste prendre la décision de m'occuper de moi, sans avoir l'impression de voler ce temps aux autres comme si je nexistais pas!
Vous m'avez ouvert les yeux et je vous trouve, toutes, vraiment super!
Allez, j'y retourne avec plus de conviction et de motivation grâce à vous.
Bonne continuation à toutes et prenez bien soin de vous.
Bonjour,
Après avoir rempli plusieurs carnets, je me suis aperçue que j'avais un souci lors d'un repas pour savoir si j'avais mangé "juste assez" ou "trop". Je pense (mais je n'en suis pas sure non plus), que la plupart du temps, je mange un peu plus que ma satiété, et j'arrive à me convaincre que c'est pour ne pas avoir faim après le repas. J'ai du mal à repérer le "juste assez", et malheureusement, le peu de fois où je le repère, je continue à manger (du moins je finis mon plat), non pas parce que je ne veux pas gacher, mais parce que j'ai peur d'avoir faim après.
J'ai peur d'avoir faim 10 minutes après le repas, 1h, un peu plus. Comment faire ? Je me sens un peu ridicule à me poser cette question, puisqu'il suffirait de dire "et bien arrete quand tu as assez mangé, et si tu as faim 10 minutes ou 1 h après, mange un peu pour te caler". Mais c'est justement le "remanger un peu après" qui me fait peur. J'ai peur de ne pas controler cet encas, et de me lacher.
Je me retrouve donc souvent à manger du pain en accompagnement, notamment à la cantine, alors que le pain qui est proposé n'est pas terrible. Et au moment où je mange ce pain, je m'en veux et je me dis que je suis nulle de craquer pour cet aliment qui ne me plait meme pas, mais en meme temps je me dis que comme ça, je n'aurais pas faim ensuite.
Alors en ce moment, je suis en train d'expérimenter la bonne faim, la petite faim, la grande faim. Et tout se mélange maintenant dans ma tete : comment gérer la faim (ça me fait peur !! et ce malgré mes séances de pleine conscience-sensation de faim), comment détecter la satiété ?
Désolée pour ce message un peu confus, c'est un peu le reflet de ce qui se passe dans ma tete en ce moment.. :s
Pour ma part, j'ai habituellement un petit déjeuner bien volumineux: 1 part de protéine (oeuf ou fromage..), 100g de pain/tartines et un fruit ou compote. On me disait souvent que c'était parfait (sauf que j'aurais pu faire avec moins de pain) et j'ai vecu sur cette idée que je devais absolument manger tout ça pour tenir...
Eh bien pas du tout ou pas forcément. Selon les jours, ce que j'ai mangé la veille, j'ai pu occasionnellement zapper totalement le petit dej et là, en plein exercice de fractionnement, je fais l'expérience que je peux tenir une matinée avec 2 mini tartines et un yaourt ou un petit morceau de fromage.
Certes, parfois, c'est juste, je reprends une collation vers 11h (je prends le petit dej à 7h) mais le plus souvent, ça suffit...je crois que ça dépend aussi ce que j'ai pu manger la veille au soir. Et comme je suis une grosse mangeuse, me rendre compte que peut être mon petit dej normal serait la moitié de d'habitude....c'est une révélation....légèrement frustrante tout de même mais bon...
Bonjour Dr A et Z,
Cette petite tranche de vie vous est dédiée pour vous remercier d'avoir créé ce site, cette méthode...Grace à vous ma vie change et je voulais vous en remercier.
Aujourd'hui pas de question pour moi juste un témoignage sur ma vie qui change. Je reviens d'une absence de 10 jours. Partie pour le travail puis pour le plaisir puis à nouveau pour le travail, j'ai passé 10 longs jours seule, hors de mon cocon, sans ma famille, sans balance, sans accès internet et donc à LC, à dormir à l'hôtel ou chez une amie à l'étranger, à manger au restaurant en groupe ou dans une famille où je n'étais pas décideuse de la composition du repas. Je suis partie avec pour tout soutien mon MP3 où sont enregistrées mes séances de RPC et de méditation du Dr C. André...20 mn de PC matin et soir et une bonne dose de lacher-prise...et là miracle, je me suis fais confiance, j'ai écouté mes sensations, j'ai découvert un tas de sensations nouvelles, j'ai visité en pleine conscience, j'ai mangé en pleine conscience, j'ai vécu chaque instant présent comme j'ai appris à le faire avec la pleine conscience, en écoutant mon corps, les sons, en acceptant toutes ces choses qui auraient pû me déstabiliser...Et là, surprise, pas une EME en 10 jours. Un calme et une sérénité que je n'ai JAMAIS connu auparavant vis à vis des autres, des situations, de la bouffe. J'ai vécu certaines situations avec un détachement dont je me croyais incapable...même pas peur !!! Pas de bouffe-doudou dans ma valise, rien, juste mes exercices de pleine conscience et un bouquin...Je n'ai pas vécu depuis ...40 ans peut-être!!!
Je suis rentrée hier soir et ce matin, miracle (mais je le sentais) j'ai perdu plus d'1 kilo...Alors que ma curiosité gustative vis à vis des plats étrangers inconnus a été satisfaite et que l'insouciance au niveau repas a souvent été de mise. Le pilotage automatique a marché : serais-je en train de devenir inconsciemment compétente ? Je doutais un jour de savoir ce que c'est, je crois bien que c'est je ce que je viens de vivre.
Aujourd'hui, le train-train a repris le dessus, je suis beaucoup moins zen...Il faut que je travaille encore plus la PC ici chez moi car le danger est tout près de moi. Allez il faut continuer le boulot entrpris. On a rien sans rien mais , je sais maintenant que je peux y arriver.
Super Cappucino,
Je me souviens d'une semaine ou j'étais aussi à l'hotel, sans balance, sans stress, sans repère. On faisait de la méditation tous les jours et 30mn de marche méditative aussi (escapade "spirituelle"). J'avais perdu 4 kg en 10 jours. Pas repris ouf. C'était il y a 3 ans.
Comme quoi notre corps nous réserve des surprises.
Un pas après l'autre, un changement après l'autre...........
Chers messieurs Apfeldorfer et Zermatti,
il me vient tout soudain une question à propos de notions qui ont bercé mon éducation alimentaire : que dire des sucres lents et des sucres rapides dans les histoires de satiété? Sans parler des graisses, misère.
Dans mon monde d'avant LC, on m'avait appris que pour éviter de crever de faim une heure après avoir mangé il me fallait manger du pain complet ou des hydrates de carbones complets, bref des aliments peut attractifs à mes yeux de bec à sucre. Les patisseries étaient mal vues parce que pas nourrissantes, pleines de sucre et de graisse. info ou intox?
Si je réfléchis un peu à la lumière des éléments que j'ai engrangés depuis peu, je dirai intox, because oui, dans les patisseries il y a des sucres rapides, mais il y a aussi des graisses et la graisse ça tient au ventre, donc c'est nourrissant, et toc! (mais ce n'est pas très diététique j'en conviens)
En résumé ma question est un peu naïve. J'aimerais bien comprendre comment concillier les notions de diététique et la méthode LC. Pour plus tard, éventuellement, quand j'aurai avancé et que je serai devenue une performante inconsciente (je ne sais plus bien le terme). Aucune envie de contrôle ou de perfectionnisme caché là-derrière. Juste envie de comprendre mieux.
Merci mille fois pour vos lumières et conseils.
Cher M. Apfeldorfer,
MERCI, MERCI, MERCI!!
Votre réponse confirme ce que je n'osais penser par manque d'info. C'est bien plus compliqué qu'il n'y parait et pas gérable au quotidien si on s'en tient aux index glycémiques.
Donc en conclusion, je zappe cette doctrine obsolète et je m'en tiendrai dorénavant à cuisiner de bons plats goûteux et variés avec une cuisson qui préserve au mieux les nutriments. Et voilà, basta, pas plus compliqué que ça.
Bonnes fêtes de Pâques à tous.
Bonjour Docteurs,
Je suis en pleine phase Bodyscan dans le programme LC.
J'éprouve d'énormes difficultés à réaliser cet exercice (la RPC était déjà difficile pour moi)
La dernière fois, je me suis sentie littéralement emprisonnée dans mon corps, j'ai eu des pulsions violentes (envie de me faire mal de me cogner dans les murs) j'ai fait une crise d'angoisse, et les nuits suivantes des insomnies.
Je suis en analyse depuis 2 ans et demi, j'en ai donc parlé à mon analyste.
Je ne vais pas entrer dans le détail de ma séance, mais elle m'a conseillé de ne pas faire ces exercices pour l'instant pour ne pas me mettre en danger...
Qu'en pensez-vous ?
Suis-je la seule à réagir ainsi à cet exercice ?
Comment poursuivre le programme si je suis incapable de pratiquer le bodyscan ?
Bonjour Docteur, et merci pour vos réponses et vos encouragements.
J'ai envoyé un mail à mon coach à ce sujet qui m'a fait sauter l'étape du bodyscan, pour pouvoir continuer à avancer.
J'en suis maintenant à l'EME ZEN, et ça se passe mieux.
J'ai aussi accès à la marche en plein conscience, qui est plus facile pour moi.
Depuis que je suis ado je fais beaucoup de sport, et je pensais que c'était un moyen d'être en contact avec mon corps.
J'ai enfin compris aujourd'hui que ce n'était pas du tout le cas, puisque en fait ce que je recherchais c'était les sensations émtionnelles liées à l'activité physique (libération d'endorphines) et pas du tout les sensations physiques.
C'est bientôt la sainte belette, je vais me faire offrir un abonnement au salon de massage du coin !
Bonjour Messieurs les docteurs,
Je souhaitais vous demander si cela était obligatoire de réaliser la RPC et le Bodyscan en position assise et sur une chaise, peut-on le faire sur notre canapé assise en tailleur pour la RPC et allongée sur le dos pour le bodyscan?
Ou est-ce qu'il est necessaire de garder une certaine forme d'inconfort physique lors de ces exercices afin de nous entrainer à tolerer nos inconforts emotionnels et physiques du quotidien?(base de la méthode PC si j'ai bien compris)
J'ai une autre question concernant le bodyscan, est-ce normal de ne pas avoir de perception du bas de mon corps, bras et visage, je ne sens que mon bassi-fesses-dos?
Merci pour vos réponses!
Bonjour jess2210,
Quels sont les objectifs des exercices de pleine conscience dans la méthode LineCoaching ? Ils visent à augmenter votre tolérance émotionnelle, diminuer les pensées automatiques, votre fatigue mentale, la nécessité de faire appel à des conduites d’évitement émotionnel, par exemple de type alimentaire.
On se centre sur un élément du présent, par exemple la respiration, et on examine à partir de là d’autres éléments qui apparaissent dans ce moment présent. Vis-à-vis des pensées, cela conduit à rester contemplatif, sans suivre ses pensées et les considérer comme des problèmes qui nécessitent des solutions, des soucis qui nécessitent des raisonnements.
Il se peut que certaines séances soient agréables, induisent du calme et un sentiment de relaxation, mais ce n’est pas le but recherché.
Pour travailler sur la tolérance émotionnelle, on peut utiliser l’inconfort des postures, ou bien des sensations déplaisantes comme des démangeaisons, ou encore des bruits pénibles. Dans une situation d’inconfort, on notera les pensées qui apparaissent, les émotions, les sensations physiques qui en découlent. On le fera avec curiosité et bienveillance, en prenant note que c’est ainsi qu’on réagit. Notre impulsion de base est de mettre fin à cet inconfort. On y résistera, pour mieux étudier l’inconfort. Puis, lorsqu’on estimera qu’on a suffisamment exploré l’inconfort, si celui-ci est toujours là, on modifiera sa position, en pleine conscience, afin d’examiner comment il se modifie lorsqu’on bouge, lorsqu’on se gratte…
Bon, alors vous pouvez, j’espère, désormais deviner ma réponse à vos questions : on adopte une posture quelconque, qui au bout de 10 à 20 minutes deviendra de toute façon peu confortable (saut peut-être, la position couchée, pour le body-scan). On peut s’asseoir sur une chaise, ou sur un coussin ou un banc de méditation, ou par terre en position du lotus (si on en est capable). Qu’importe. Nous avons plutôt préconisé la position assise, parce que les personnes en surpoids ou obèses ont de la difficulté, parfois, à adopter les positions traditionnelles comme par terre avec soussin et jambes croisées, ou lotus.
Traditionnellement, le body-scan se fait position allongée, pour un meilleur ressenti, comme le note anneau, mais dans tous les groupes auxquels j’ai participé, la moitié des personnes s’endorment ! Aussi, je préfère la position assise.
Il est possible que vous perceviez mieux certaines parties du corps que d’autres, et certaines peuvent vous sembler insensibles. Si tel est le cas, vous noterez mentalement ce fait, sans jugement. Et vous poursuivrez votre chemin. À la prochaine séance, vous verrez s’il en est toujours ainsi, ou bien non. Avec curiosité et bienveillance. Il n’y pas de bonne au de mauvaise sensation.
Merci pour vos reponses.
Helas ma mere etait massivement obese ! Mais c'etait en partie du aux traitements anti-depresseurs qu'elle prenait parait-il ! Sinon le reste de ma famille est majoritairement "normal" sauf un oncle et une tante qui sont gros.
Pour repondre a Lore, oui c'est vrai il y a l'IMC. Mais en fait, il y a surtout le ratio taille'hanches qui est tres important pour la sante, notemment cardio-vasculaire.
Je me souviens comment j'etais a 58kgs et je me souviens que ce n'etais pas trop mal meme si ce n'etait pas le mieux (le mieux pour moi etant plutot 52 kgs mais la faut pas rever !), c'est pour ca que je me suis mis ce poids en tete. Je ne pense pas que ce soit placer la barre tres haut pour une petite femme de 1m55 !
Je decouvre que j'ai en fait tres peu d'appetit, il me suffit de picorer comme un oiseau pour ne plus avoir faim. Je me demande si je ne me suis pas mis en restriction cognitive inconsciemment. Je n'ai meme pas eu envie de manger aujourd'hui, j'ai du me forcer car j'avais faim.