Non, vous n’êtes pas accro au chocolat

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Vous avez l'impression d'être accro au chocolat ? Vous culpabilisez quand vous « craquez » pour cet aliment ? Pas d’inquiétude, le désir de chocolat est tout à fait sain !

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Vous aimez le chocolat ? Alors accordez-vous un vrai moment de dégustation, avec un bon chocolat dont vous appréciez chaque bouchée sans culpabilité.

Pour cela, il faut commencer par accepter son désir de chocolat ! Non, vous n'êtes pas accro au chocolat. Sachez qu’aucune étude scientifique n’a à ce jour prouvé d’addiction ou de dépendance au chocolat... Si on l’aime tant, c’est entre autres car il nous permet de libérer de la sérotonine, une hormone qui influence notre humeur. Par ailleurs, les caractéristiques du chocolat, hypercalorique, fort en goût, doux et sucré, le rendent rassurant. Il devient un aliment nounours, que l’on mange par appétit ou gourmandise, mais aussi sous le coup d’émotions comme le stress ou l’angoisse, que l’on pense ainsi éloigner. C'est pour ces raisons que l'on peut avoir le sentiment d'être accro au chocolat.

Ainsi, ma méthode vise à comprendre quelles émotions vous font manger sans faim. Encore une fois, vous n'êtes pas accro au chocolat. Ce n’est pas le chocolat qui est un problème, loin de là, c’est seulement le fait de manger en permanence sans faim réelle, sous le coup d’émotions, et surtout, de ne pas pouvoir manger moins lorsqu’on a mangé plus. Là, les kilos en trop arrivent. Je vais vous aider à vous débarrasser de ces schémas et de redécouvrir les joies de la dégustation.

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Commentaire

liegama.

jeu 13/06/2013 - 21:09

Fort intéressant ton commentaire Nessma, moi je croyais être addict aux glaces, mais je me rends compte que j'étais surtout addict au plaisir de transgresser. Dès que l'on retire la charge émotionnelle que l'on a placé sur un aliment, il redevient juste un aliment.

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Nessma.

dim 08/04/2012 - 00:14

Ahhh moi et le chocolat, c'est tout une histoire.... J'ai eu une période vers mes 28 ans, d'environ 6 mois, où l'obsession du chocolat était telle que je ne pouvais pas penser à autre chose plus de 30 min, ça été crescendo 1 tablette par jour, en un rien de temps il m'en fallait 3, trois tablettes entières en cachette sans partager, avant ça je ne pouvais pas comprendre que puisse manger plus de carré par jour !! J'en pleurais, moi qui inculquais le sens du partage à mes enfants...j'en pleurais de me sentir esclave du chocolat, Mes sorties n'étaient organisées qu'en fonction du besoin à aller renouveler ma réserve de la journée ...Je suis allée voir une nutritionniste, elle m'avait proposé de consommer uniquement du chocolat rien d'autre pendant 5 jours, je n'aurais JAMAIS oser en rêver, le pied !!! Le 3ème jour au soir, j'ai dû partir aux urgences ...perfusion de chocolat ....quel lapsus !!! Je voulais dire perfusion de Primpéran pour arrêter de vomir (1h), de retour à la maison, j'étais triste mais presque soulagée d'avoir ce dégoût envers le chocolat...ça n'a pas duré que 3 jours , et c'est reparti... La psychologue, elle me regardait pleurer, je lui jetais à la figure durant plusieurs séances son incapacité à m'aider, la seule réponse qu'elle avait et je parvenais à me résoudre à m'en contenter "ça ne durera pas" , moi j'étais presque sûre du contraire... J'ai lu le livre de J-P Zermatti, je crois qu'il avait agis inconsciemment sur moi, je ne sais pas trop en fait , quelque temps après, je ne situe toujours pas le moment, je n'ai plus eu ces pulsions....maintenant je fais de la prévention-plaisir : du chocolat dès que j'en ai envie en quantité modérée, celle qui me satisfait, et celui que j'aime, et je déguste tranquillement, je fond de plaisir ... hummmm quel plaisir !!! ( j' ai les yeux qui brillent à cet instant)