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Défi bonne faim

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15 Aoû 2015 à 15h

Je relance un nouveau fil pour ce défi qui est toujours parmi les plus importants

en tous cas, moi, c'est ma base

 

Je refais un fil pour que cela soit plus lisible pour les nouveaux arrivants (qui ne manqueront pas d'être nombreux à la rentrée j'imagine !!!)

 

Le principe de ce défi, pour ceux qui ne le connaissent pas, est tout simple :

 

à chaque fois qu'on "réussit" à attendre une bonne faim pour manger, on vient mettre un petit mot ici

 

le défi est de le faire au moins une fois par jour, dans la mesure de nos possibilités

 

Qu'est-ce qu'une bonne faim?

si vous avez passé l'étape de la faim, vous avez sans doute une idée plus précise de ce dont il s'agit au niveau de vos sensations

sinon, pas de panique

pour simplifier, la bonne faim c'est simplement, pour moi,  avoir  "les crocs"

une vraie faim quoi... avec l'estomac qui tire et qui nous dit   "bon

 

et puis surtout pas de prise de tête,  à vos bonnes faims !

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173 commentaires
Je me suis demandé toute la matinée di tant que je me posais la question "est ce que je ressens est la bonne faim?", cela signifiait que ça ne l'était pas... Finalement à 11:45, n'y tenant plus (tension ds l'estomac), j'ai mangé un peu parce que je voulais aussi profiter de la pizza prévue pour midi. Tension un peu soulagée donc, mais je n'ai pas assez mangé c'est sûr. Il me reste un vide (et une tension) pour midi 30. Je continue de douter. Est ce que ce que ressens est la bonne faim ou déjà une grande faim???
Repas à 12:45. Grand soulagement. Dégustation des trois/ quatre premières bouchées. Impossible de dire si j'ai trop ou pas assez ou suffisamment mangé. Je sais seulement que maintenant c'est certain: je n'ai plus faim. Pas ressenti la même satisfaction que les jours où je suis tombée sur la bonne faim par hasard, et où j'avais pu savourer chaque plat et ne pas finir mon assiette et prendre du dessert sans le finir non plus, avec cette douce impression que tout allait bien... Conclusion: très difficile pr moi de passer de la petite faim à la grande faim en attrapant la bonne faim au passage. À refaire.
Hier apmidi, encore attendu bonne faim avec bcp de tension corporelle et obsessions alimentaires ("que vais je manger? Que vais je manger? Vais avoir suffisamment faim?"). Soudain, ce n'était plus possible, il a fallu que je mange. Peu encore une fois parce 18:45 et envie de garder de la place pour le repas du soir. Du coup mini soulagement et tension continue (car pas assez mangé) jusqu'au repas du soir. Et là c'était ok. Ce matin, bonne faim. Ouffff D'autant plus que je n'ai pas eu à attendre car je dormais. :-) Petit dej' un poil trop mangé. .. par peur d'avoir faim. Aïe, y a du boulot avant de trouver la sérénité face à ces sensations de faim.
Hier apmidi, encore attendu bonne faim avec bcp de tension corporelle et obsessions alimentaires ("que vais je manger? Que vais je manger? Vais avoir suffisamment faim?"). Soudain, ce n'était plus possible, il a fallu que je mange. Peu encore une fois parce 18:45 et envie de garder de la place pour le repas du soir. Du coup mini soulagement et tension continue (car pas assez mangé) jusqu'au repas du soir. Et là c'était ok. Ce matin, bonne faim. Ouffff D'autant plus que je n'ai pas eu à attendre car je dormais. :-) Petit dej' un poil trop mangé. .. par peur d'avoir faim. Aïe, y a du boulot avant de trouver la sérénité face à ces sensations de faim.

mais tu la reconnais ta bonne faim pourtant, alors pourquoi tu as peur de la louper?

tes pensées sont très envahissantes en effet, c'est ta tête qui cherche à contrôler la situation

à chaque fois que tu t'en rends compte, essaie de placer ton attention dans ton estomac, dans tes sensations sur ce plan là, sans les analyser, juste  "sentir"

 

 

Pour moi une bonne faim ce matin  vers 8h30

C'est là un vrai défi pour moi: je ressens bien la petite faim qui titille et agace, part et revient, puis la grande faim qui m'épuise d'un seul coup et me met en situation d'urgence extrême. L'entre deux serait comme une absence de sensation? En tout cas, une rencontre fortuite et très agréable. Je cherche effectivement à l'analyser et devrais un peu quitter mon intellect et mes mots.

Je vais continuer de m'entraîner, ou plutôt de repérer (plutôt que de rechercher).

Merci

[quote=Clara1975]

C'est là un vrai défi pour moi: je ressens bien la petite faim qui titille et agace, part et revient, puis la grande faim qui m'épuise d'un seul coup et me met en situation d'urgence extrême. L'entre deux serait comme une absence de sensation? En tout cas, une rencontre fortuite et très agréable. Je cherche effectivement à l'analyser et devrais un peu quitter mon intellect et mes mots.

Je vais continuer de m'entraîner, ou plutôt de repérer (plutôt que de rechercher).

Merci

[/quote]

Bonjour Clara,

Moi aussi, j'ai voulu analyser en long en large en travers la faim. J'avais peur de ne pas distinger la petite, la moyenne et la grande faim. J'avais de trop attendre, d'être mal, de mal faire... ça a été à partir du moment où j'ai écouté mes sensations et où j'ai cessé d'analyser.

Essaie de te connecter à ton corps, de ressentir... Utilise la pleine conscience.

La petite faim est toute petite, toute légère. On peut ne pas la satisfaire, on la ressent à peine.

La bonne faim est celle qui nous satisfait le plus. Les sensations sont bien présentes (gorge serrée, salivation, tiraillements, gargouillis,...). On peut aborder le repas calmement, sans précipitation, le déguster, l'apprécier... S'arrêter quand le plaisir ou la faim ne sont plus là.

Inutile de laisser s'installer la grande faim, si ce n'est pour l'expérimenter. Là viennent s'ajouter la fébrilité, la fatigue, le manque de concentration, l'irritabilité, la tête qui tourne... Alors on peut se jetter sur tout et n'importe quoi. 
En temps normal, mieux vaut prendre une collation pour patienter jusqu'au prochain repas et n'avoir à faire qu'à une bonne faim.

On peut toujours prendre une petite collation lorsque l'on ressent le besoin de manger, utiliser l'EME-zen...

Respire !

Je suis un peu dans ton cas, j'ai du mal à trouver la bonne faim. Au niveau des sensations, petite et moyenne c'est un peu la même chose pour moi. Faut dire que la faim, pour le moment je ne la ressens que "gastriquement". Le creux à l'estomac, les gargouillis, pas de soucis, les autres signaux j'ai du mal non seulement à les ressentir, mais surtout à les différencier du stress ou autre.

La vraie différence entre petite et moyenne faim, c'est quand je mange un truc "pour voir". Le goût n'est pas le même, plus de saveurs et de plaisir avec la moyenne faim. Mais bon c'est pas pratique de commencer à manger pour savoir si on a faim "comme il faut"... Un quart de demi bouchée me suffit en général pour savoir, voire même à l'odeur pour certains aliments mais ça reste un peu tordu comme système ! J'ai un peu l'impression de prendre le problème à l'envers, mais en attendant, je commence à manger sans trop savoir si ce sera juste une petite collation ou un repas, et j'avise en cours de route.

 

D'ailleurs (histoire de coller au topic...):

Aujourd'hui deux repas avec la bonne faim: le déjeuner à la "bonne" heure (c'est cool !) et un goûter tardif amélioré (trop tôt pour le dîner, j'étais encore au boulot, et trop faim pour une toute petite collation), et bien c'est très plaisant. Les jours où tout marche bien comme ça, j'ai du mal à comprendre pourquoi je ne le fais pas tous les jours, mais quand les EME arrivent, ben... c'est une autre histoire !

moi aussi suis contente... bonne faim au petit dej, un bon petit dej...

A midi, pas trop conscience de ma faim.

Mais au sport, ce soir, j'ai eu une super bonne faim, et un bon repas en rentrant.

super

de mon côté une bonne faim ce matin