Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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salut!
mon inconfort: les réveils de cette nuit (et ce 'est pas la premiere) de mon fils, qui ne supporte pas d'avoir le nez un peu obstrué (l'air passe très bien quand meme); je pense qu'il a des angoisses la nuit de ne plus réussir à respirer normalement...peut etre a t il aussi des allergies? à voir...
on essaye de le rassurer du mieux qu'on peut, vivement que cela passe en tous cas parce que c'est dur pour nous aussi!
Noellie
L entrée d'un proche en maison de retraite est une épreuve pour la personne âgée et pour l'entourage. Moi ça me fait penser au travail de séparation et d'adaptation dans les crèches! T'as bien raison d aller voir ta meilleure amie. Ta maman a probablement besoin de temps pour se faire à son nouvel environnement. Je suis certaine que les professionnels de la maison de retraite comprendront.
Bon courage.
Des nouvelles de mon père, sortit de réa depuis 2 jours il a un super bon moral! Très faible, le chemin sera encore long mais le médecin lui a promis qu'il reviendrait aussi fort qu'avant.
Merci Babelou, je crois que c'est ce que je vais faire. de toute façon, je sens que j'ai vraiment besoin d'un break. Je dors de moins en moins, et ça ne va pas très fort, niveau moral. Ca me fera du bien de m'éloigner un peu de tout ça. Effectivement, c'est une étape à passer, plein de choses à assimiler aussi que je pensais accepter, mais au vu de ce que je vis, je n'ai pas du voir tout bien en face, encore.
Bon courage avec ton papa. C'est bien si les nouvelles médicales sont prometteuses pour lui, et s'il a le moral pour se remettre en marche sur le chemin de la vie, il aura besoin de toute son énergie, même si elle est encore faible.
Merci Babelou, je crois que c'est ce que je vais faire. de toute façon, je sens que j'ai vraiment besoin d'un break. Je dors de moins en moins, et ça ne va pas très fort, niveau moral. Ca me fera du bien de m'éloigner un peu de tout ça. Effectivement, c'est une étape à passer, plein de choses à assimiler aussi que je pensais accepter, mais au vu de ce que je vis, je n'ai pas du voir tout bien en face, encore.
Bon courage avec ton papa. C'est bien si les nouvelles médicales sont prometteuses pour lui, et s'il a le moral pour se remettre en marche sur le chemin de la vie, il aura besoin de toute son énergie, même si elle est encore faible.
[/quote] bon courage noellie pour cette nouvelle épreuve, merci Pour tes interventions toujours empreinte de gentillesse et de bienveillance.@ Nat, merci pour ton petit mot de soutien.
@ acdc: Tu as pensé aux acariens? Ma fille est allergique, et au début on ne le savait pas, mais tout l'hiver, elle avait des gênes respiratoires, allant parfois jusqu'à des laryngites. C'était pénible. Mais on peut contrer ça avec des pratiques plus hygiéniques, mais je ne t'embête pas si tu connais déjà. Par contre, si tu ne connais pas, dis le moi, je te décrirai tout ça. Chez nous, ça a amélioré grandement la situation (en remplacement de la cortisone, j'ai bien apprécié...)
Un jour, j'ai fait une crise d'asthme à l'effort après un jogging un peu trop long et rapide (mais ça, c'était avant, et il y a longtemps), et je peux te dire que manquer d'air, ça panique drôlement. J'ai vraiment eu très peur face à cette sensation très inconfortable. J'ai grouvé l'expérience vraiment angoissante, alors c'est peut être ce qui lui arrive à ton petits gars, comme tu le dis.
Sinon, il peut y avoir plein d'autres allergènes. Bon courage pour les nuits.
Mon inconfort de juste maintenant: constater que, bien que j'accroche bien à LC, que je suis consciente de ma faim et que grosso modo je la respecte, je mange toujours trop pendant les repas.
Mon bon ange me souffle sur l'épaule que c'est pas grave, que je n'en suis pas encore à un point du programme où on me demande de respecter la satiété ou au moins de travailler dessus, mais mon mauvais ange rétorque qu'en fait, j'en profite, en quelque sorte, comme si je me disais "vite vite, mange beaucoup, plus que de raison, et remplis-toi la panse tant que tu peux, puisque ça te fait sentir bien".
En fait, ça ne me fait pas sentir bien, mais vraiment je ne supporte pas de rester simplement sans plus avoir faim, mais sans me sentir "remplie". Je sais d'avance que je vais avoir beaucoup de mal avec ça. Faire l'autruche et me sentir lâche est un inconfort.
Bonsoir,
Merci à toutes de vos participations ...
Nana je suis attristée de voir que tu as peut être interprété une forme de pudeur comme de l'indifférence ?...car tes " inconforts" ont été assez sidérants au sens premier du terme et je suis certaines que nous étions quelqu'un(e)s à te lire ....silencieusement..... car que rajouter?
Izabelle, merci de tes voeux,
et à tant d'autres que je lis en piquant des conseils , des idées et du baume au coeur,
Je constate que ces derniers temps les projections nous envahissaient à nouveaux : la neige du lendemain et toutes les "projections" qui les accompagnent ( ce n'est qu'un exemple) , les changements de poste qui se profilent, les entretiens d'embauche.....beaucoup de projections ....angoissantes en définitive: comment vivre en pleine conscience ces projections ? faut-il tenter d'agir dessus ? se laisser envahir par l'angoisse?
J'ai traversé un bel épisode de projection il y a deux nuits: mon corps se cripse, se rebelle , se fait entendre: une nouvelle poussée de polyarthrite s'installe ....j'en ai fait le déni et je vous passe le catalogue de toutes les pathologies que j'ai pu imaginer plutôt que celle-là avec laquelle je vis depuis 18 ans ....je me suis dit que je ne pourrais pas reprendre le boulot dans cet état: la conduite , porter mon sac à main , ouvrir une porte .....et toutes les angoisses que cela accompagne....
Il était 5 heures du mat: les nuits sont courtes en ce moment à cause des douleurs ....j'ai pris mon petit-déj ....et je me suis mise à la peinture ....fuire tout en se faisant du bien au moral.....
Les EME sont là façon compulsion j'ai de nouveau l'impression de ne penser qu'à ça ! manger, boire, bref calmer les inconforts physiques et mentaux ....aujourd'hui j'ai eu l'impression d'être un hamster dans sa roue ...
les journées sont longues car je culpabilise de ne pouvoir être en pleine forme alors que mon fils est à la maison et pourtant il a l'air d'en profiter: j'ai lâché-prise: il se ballade en caleçon depuis ce matin, a mis sa chambre sans dessus dessous, s'est dessiné sur les jambes ....il est gai comme un pinson ....il "m'attaque" à longueur de journée : je crois que mon état de faiblesse l'inquiéte inconsciemment et qu'il tient à vérifier que je tient! ( il a 7 ans et demi) : je sourie et je l'informe quand je suis à deux doigt de dégoupiller!
Je bloque sur l'étape des trois bouchées en pleine dégustation ......je ne parviens plus vraiment à faire de la RPC : je m'endors direct ....alors j'essaie de nommer ce que je ressens, je parle et je demande aide et soutien à mon entourage .
Après demain de pars en vacances et je m'y projette à fond oui c'est sans mon fils, oui la route est longue , oui je ne pourrais pas faire les randonnées escomptées ....mais au moins je vais manger des huîtres et respirer , respirer, respirer.
Bon courage à toutes et ...continuez d'écrire ....je ne sais plus où j'ai lu que c'est une forme de déreliction que de "penser que l'on puisse être entendue au loin ....sans bruit." Nana: il n'y a que toi qui puisse changer ta manière de voir la réalité , pardon si c'est brutal.
Maryette
[quote=Maryette]
Bonsoir,
Merci à toutes de vos participations ...
Nana je suis attristée de voir que tu as peut être interprété une forme de pudeur comme de l'indifférence ?...car tes " inconforts" ont été assez sidérants au sens premier du terme et je suis certaines que nous étions quelqu'un(e)s à te lire ....silencieusement..... car que rajouter?
Bon courage à toutes et ...continuez d'écrire ....je ne sais plus où j'ai lu que c'est une forme de déreliction que de "penser que l'on puisse être entendue au loin ....sans bruit." Nana: il n'y a que toi qui puisse changer ta manière de voir la réalité , pardon si c'est brutal.
Maryette
[/quote
héllo maryette,
je ne demande pas que l'on soit désolée à ma place, donc , je t'en pris , ne le sois pas,
c'était simplement factuel,
et j'ai peut- être cru que l'on pouvait déposer ses inconforts petits ou grands sans jugements? il m'a semblé l'avoir lu en premier instance? ...
d'autres part nos chers docteurs de line nous recommandent de venir chercher du soutien sur les forums,
je te rassure , certaines on régulièrement pris de mes nouvelles en MP, et m'on mm demandé de garder le contact via les mails,
mes inconforts étaient sidérants? bigre!!
je le prend avec humour, sois en certaine ,
du bruit je n'en faisais plus via les forums depuis quelques semaines,
je suis assez d'accord avec toi, il est illusoir de s'imaginer toucher ou atteindre à demi mots, et puis je vais t'avouer quelque chose : rien que de l'écrire cela me faisait infiniment de bien .
j'espère ne pas avoir été brutale , je pars tranquillement , sans tambour , ni trompette,
juste un peu déçue, inscrite depuis si longtemps , avec si peu de résultats, j'ai quelques belle découvertes, mais cela ne justifie pas complètement un effort financier sur 18 mois, pardon d'être un peu brutale, je fais partie des ces personnes pour qui chaque sous est un sous,
je me suis offert cette expérience, j'en retire quelques petits agréments, je vais probablement m'orienter sur un suivi plus perso, selon mes moyens financiers,
salut à toi !
Mon inconfort du jour: Ca y est, la maison de retraite réserve la chambre pour ma mère, à partir de samedi. Donc, on a décidé de la déménager dimanche, c'était plus pratique pour nous.
J'avais prévu d'assez longue date un séjour chez ma meilleure amie entre lundi et jeudi prochain, et je l'attendais avec impatience, parce que j'ai vraiment besoin de déconnecter de la réalité par toujours drôle (vous le savez toutes...) Mais du coup, je me demande si je peux me le permettre, de partir comme ça, juste le lendemain de son entrée, et de ce changement pour elle. J'ai du mal avec cette idée, d'être à 2h30 de route si jamais il y a besoin de quelque chose.
Vous en pensez quoi, vous?
[quote=Kaylee]
Demain, Saint Valentin, c'est l'anniversaire de "mon bébé" (29 ans). Je repense avec émotion à mon état d'esprit joyeux et me dis que le jour de sa naissance, les joyeuses conditions dans lesquelles j'ai accouché, c'est le plus beau jour de ma vie. J'ai accouché accompagnée d'un ami d'enfance, pendant que j'étais en salle de travail une amie était passée poser dans ma chambre un beau gros gâteau à la chantilly, et à 22 h 30, en regagnant ma chambre après avoir passé 14 h sur la table d'accouchement, au lieu de me précipiter sur mon gâteau je m'étais tournée vers le berceau de mon fils qui avait les yeux ouverts, et l'avais contemplé toute émue jusqu'à ce que l'infirmière vienne le prendre pour la 1ère nuit, à mon grand regret. En regrettant aussi que son père, militaire, soit en opérations à l'étranger et ne puisse le voir. Il ne le verra que 2 mois 1/2 plus tard.
Mon inconfort, c'est de la tristesse, parce qu'hier soir l'homme à distance (700 kms) qui partage ma vie depuis 7 ans a reconnu au téléphone une fois de plus "qu'il n'était pas bien dans sa tête", donc "il n'était pas en état de me voir", et "n'avait pas l'intention de faire quelque chose pour y remédier, avec tous ses regrets" et "en se rendant compte du mal que ça me faisait". Hier soir après l'appel j'étais en colère, je me disais que c'était un comportement égocentrique, maintenant c'est la tristesse qui remonte et je me sens affreusement rejetée, pas assez importante pour que notre relation vaille la peine pour lui d'aller consulter .
Ce que je constate, depuis environ 2 mois, c'est que les contrariétés importantes me coupent l'appétit alors qu'avant dans de telles circonstances je me serais empiffrée copieusement. Je commence enfin à comprendre que me goinfrer ne résoud pas les problèmes... Bien sûr, j'ai encore des EME, mais elles n'ont rien à voir avec des contrariétés.
[/q
courage kaylee pour tes inconforts
bisous