La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour,
J'aurais souhaité avoir l'avis des "anciennes" qui ont pratiqué plusieurs fois le BodyScan...
J'ai fait ma 1ère séance aujourd'hui.
Je décide de la faire avant le petit dej, sentant une petite faim mais qui pouvait attendre un peu, bref je me sens très bien. Me voilà donc tranquillement installée, la séance commence... Pas de ressentis ni pensées particulières, puis peu à peu une nausée extrèmement désagréable me monte au lèvres, mes tripes se nouent et j'ai une furieuse envie d'aller vérifier si mes wc sont toujours à la même place !!
Bilan, je n'ai même pas pu finir la séance...
Ce qui est bizare, c'est qu'au niveau "cerveau" rien ! Pas de commentaires désagréables, ni autres joyeusetés... une neutralité complète !!
Du coup, je me demande si c'est vraiment le BodyScan qui m'a fait cet effet là ou si ma faim était plus forte que je ne le pensais ?
Avez-vous déjà ressenti ce genre de chose ?
Je pense ré-essayer demain, après le petit dej cette fois... mais, c'est vrai que j'apréhende un peu du coup.
Bonne journée.
Merci Lyphaé. Je pense effectivement que le fait que mon corp me dégoute n'est pas étrangé à mon malaise... et comme je suis aussi un peu maso, je vais essayer de persévérer aussi
Mais bon, pour l'instant je me bats avec des EME qui n'arrêtent pas de me tomber dessus et j'essaye de reprendre pied plutôt avec la rpc...
Bonne journée.
Bonjour,
J'ai fait tout le programme l'année dernière avec beaucoup d'assiduité. Cela a été très bénéfique pour moi puisque j'ai perdu 7 kgs. Mais quelques mois après avoir arrêté, mes mauvaises habitudes sont revenues, je mangeais sans faim, je ne respectais pas la satiété, EME... j'ai donc décidé de reprendre le programme en début d'année.
Mais cette année, c'est beaucoup plus compliqué, je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à me centrer sur mes sensations.
J'ai eu une grosse période de stress il y a un mois, et j'ai tout laisser tomber, pas envie de penser à mes sensations.
Maintenant, ça va mieux, je suis à l'étape de la dégustation mais cela m'est impossible. Je n'y pense pratiquement jamais et quand j'y pense, je n'y arrive pas, mon esprit s'évade. Je voudrais faire des séances de RPC mais le problème est le même, je n'y pense pas.
Je mange également sans faim mais je ne sais pas quelle émotion me fait manger, j'ai juste envie de manger. J'en suis consciente au moment où je mange mais je n'arrive pas à me convaincre d'utiliser les méthodes acquises ici pour éviter de manger sans faim.
Avez-vous des conseils pour m'aider à me recentrer sur mes sensations, sur le programme, à retrouver ma motivation ? Comment faire pour que tout ceci devienne automatique ? pour ne pas abandonner à chaque contrariété ?
Je me demande si je dois perséverer ou tout arrêter.
Merci.
Merci iza
tes messages me parlent :-D
OK, merci, c'est ce que fais, alors tout va bien!
Moi aussi j'adore le faire allongee, mais on n'est pas censes le faire allonges!! (sinon, on s'endort... mais j'adore quand meme, en particulier le fait de m'endormir - mais en fait c'est de l'hypnose, le savez-vous? Juste de la grande relaxation. Pas forcement un endormissement au sens ou on l'entend par endormissement pour une sieste ou la nuit)
J'aime beaucoup l'idee de le faire dans la douche ("Mais de quoi elle parle?!"), merci Doveline! Je vais essayer ca aussi!
Bonne pratique a tous et a toutes!
bonjour
je commence tout juste cette méthode que je découvre pas à pas depuis deux jours
je me demande si on ne remplace pas la restriction cognitive par un comportment qui a les mêmes effest: être vigilant.
ça dure quelques mois le temps de perdre du poids mais est-ce vraimant duarable? le risque me parait grand, une fois le poid s souhaité atteint ou si on traverse des difficultés nouvelles dans sa vie , de retomber dans ses vieux trvaers surtout si on est comme moi, âgée de trois fois vingt ans!
c'est une question à laquelle on me répondra qu'il faut être vigilant à vie? ou bien acquiert on des automatismes durables?
bonjour marie et bienvenue sur le site surtout!
je peux te répondre par rapport à mon expérience, oui on acquiert des automatismes, bien heureusement!!
comme on revient à des choses "naturelles", la régulation du corps, la façon normale de fonctionner que partagent toutes les personnes qui ont un poids régulés, et qui pour une raison ou une autre s'est déréglé chez nous, eh bien oui, au bout d'un certain temps cela devient automatique
on en a parlé récemment dans un post qui se trouvent dans la section "vos réussites", un post intitulé "nos avancées" où chacun (plutôt chacune pour l'instant) détaille les choses qui sont devenues automatiques, et celles qui ne le sont pas encore
le but est en effet d'automatiser ces nouveaux comportements, et je te confirme qu'en ce qui me concerne, c'est le cas, enfin je te laisse lire le post en question, car bien sûr il me reste quelques points à travailler
plus que la vigilance, je pense avoir développé plutôt la "conscience"
à bientôt marie!
Bonjour !
JE me demandais tout de même comment se faisait-il que le corps résiste autant au changement... cela fait deux mois que j'ai commencé la méthode et mon poids est stable au gramme près malgré mes changements d'alimentation. Cela faisait par ailleurs au moins un an que je n'avais pas grossi (avant la méthode). Mon corps a-t-il cette capacité (que je déplore évidememnt) de se maintenir au même poids pourtant très élevé (140 kg) ?
Merci pour votre aide,
Je suis super contente pour toi Hellome et ça m'encourage car je note que je mange toujours avec la tête. Durant les quelques jours où j'étais à Paris cette semaine, je me suis autorisée à dégustée des aliments tabous que j'avais pas goûté depuis des années, par exemple une tarte au citron. J'ai adoré, c'était merveilleux, j'ai réussi à m'arrêté à ce que je crois être la satiété mais pas sûre car je sentais qu'il y avait mélange de "peur de manquer", après toutes ces années à m'en être privée.
J'avoue que je mange encore tout le temps des "aliments santé", sans vraiment en avoir conscience. Du coup j'y vais sur les quantités, genre une grosse salade verte, avec une assiette d'asperges et une petite tranche de pain.
Je n'arrive pas à croire que je pourrai maigrir en mangeant des aliments "gras" ou sucrés. Je sens que je suis toujours en lutte intérieure.
Peut être que comme je m'autorise encore que trop rarement de manger des aliments qui me font envie, j'ai toujours la croyance que je peux pas en manger autant que je veux. Et je confirme cette croyance en ne me permettant d'en manger que de temps en temps. Du coup, ils restent un peu tabous.
Je sais pas bien comment sortir de ce cercle vicieux.
Bonjour,
J’ai toujours grossi en période de bouleversement hormonal (adolescence, grossesses, pré ménopause) et le syndrome prémenstruel est une plaie pour moi !
Quand je faisais des régimes et maintenant avec la méthode linecoaching, même combat ! Je craque toujours à ce moment-là. C’est d’autant plus problématique qu’à bientôt 55 ans et toujours pas ménopausée, les symptômes de ce syndrome sont maintenant exacerbés chez moi
En dehors de cette période je crois toujours que ça y est, que c’est gagné (même si c’est loin d’être parfait…) : je peux gérer mes EME, je déguste et je commence à dégonfler.
Et puis il y a ces jours de mon cycle où c’est la cata, je n’arrive plus à appliquer tous les bons principes que j’ai appris ici. Mes envies de sucré, de manger outre-mesure sont plus fortes que moi et cela anéantit tous mes efforts.
Un éternel recommencement qui me fait me demander si mon combat actuel n’est pas vain et si je ne devrais pas attendre que se termine ce désordre hormonal avant d’espérer perdre un peu de poids ?
Merci pour vos réponses
Bonjour à tous,
Dr Zermati, vous évoquez ce sujet dans le dernier chat. Je suis en plein dedans. En pré-diabète, je suis à la limite très haute, un passage au diabète imminent apparemment. A plus ou moins long terme évidemment.
Je l'ai déjà évoqué ici. Je fais relativement attention aux petits déjeuners, car avec du pain blanc, des céréales sucrées, je suis en hypoglycémie en fin de matinée, avec suées, sensations de malaise etc (et j'ai testé ma glycémie dans ce genre de cas, je suis bien très très basse). C'est systématique donc j'évite assez le sucre le matin.
Alors le bon sens veut dans ces conditions que je fasse attention à mon alimentation. Mais dans quelles proportions ? Finalement, les médecins qui me suivent ne me proposent aucune precription alimentaire connaissant mes troubles alimentaires justement.
Et cela renforce forcément une restriction cognitive quand on sait les dégâts du sucre.
Merci d'avance de votre réponse.
Emmanuelle.
bonjour,
je suis àlc depuis décembre, absolument aucune perte de poids meme pas 500g. je suis consciente que en janvier et fevrier j'ai été débordé pas des eme et compulsions, je garde espoir mais vous comprendrez que je m'interroge.
il me semble avoir compris cette nouvelle relation avec l'alimentation, avoir intégré des éléments : j'interroge ma faim, je me met dans une situation adaptée pour manger, j'ai compris que je pouvais manger de tout, j'ai réduis les quantité, je fais du mindfullness.
pensez vous que certaines personnes malgrè votre approche ont un poids bloqué , pour différentes raisons ? effectivement, c'est plus salutaire de ne pas etre en restrictions permanentes, est ce que c'est cela l'apport ? ou faut il attendre des mois et des mois pour que l'organisme puise dans ses réserves ?
merci
ch
Bonjour cristalesmeralda,
Peut être que le post du docteur Apfeldorfer de ce matin sur la rubrique d'en dessous "un poids stable..." t'apportera des éléments de réponses.
Bonne journée
Lorraine
ok, merci de ta réponse! je suis sûrement concernée par ce zapping, mais dans l'immédiat pas moyen d'y remédier. Peut-être que je me découvrirai une passion pour la cuisine au fur à mesure du programme LC, mais rien n'est moins sûr!!
Bonne journée :)
Merci pour cet article intéressant.
Je trouve que c'est vraiment là l'aspect révolutionnaire de LC, c'est d'admettre que nous mangeons non seulement pour nous nourrir, mais aussi très souvent pour nous réconforter. Je me souviens d'une diététicienne me recommandant de "croquer un abricot sec" quand j'avais une envie de chocolat, prouvant par là qu'elle n'avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi le morceau de chocolat!