Trouver et aimer la bonne faim
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Bonjour,
Je suis sur LC depuis aout 2014. J'ai perdu 10kg en 6mois puis mon poids s'est stabilisé. J'ai perdu encore 3kg tranquillement. C'est une super réussite pour moi car je n'ai pas fait de régime et je me sens beaucoup mieux dans mon corps et ma tête !
Je fais maintenant 80kg pour 1,62m. soit un IMC de 30,5 donc toujours en obésité modéré (c'est 30 la limite). pourquoi ces chiffres ? car je suis enceinte pour la 1er fois et cela a une importance pour ma gynéco !
Je suis enceinte de 8SA donc vraiment le début et les galères qui vont avec. très grande fatigue, nausées tout le temps. Mon medecin m'a mis en arrêt 15jours pour que je reprenne des forces ( ou que mon corps s'abitue...)
Avec les nausées, je mange un peu tout le temps pour calmer mes nausées. mais je n'ai pas l'impression de manger car j'ai faim mais seulement pour calmer mes nausées... j'ai peur de prendre du poids car je ne comprends plus les signaux de mon corps.
Comment faire ?
pour les encas au boulot, je partais vite sur des gateaux aux céréales. trop de sucre ?
et pour rajouter une couche à mon problème, mon IMC de 30,5. Le diabète gestationnel plane au dessus de ma tête. Ma gynéco veut donc que j'arrête le sucre et que je ne prenne aucun kg pendant ma grossesse! C'est à dire que je perde du poids pendant que le foetus grossit. Ce qui me ferait tomber à 72kg après l'accouchement. Est ce possible ?
J'ai besoin de votre aide ! de vos expériences. d'idées d'encas rapide sans sucre... J'ai envie de continuer à me faire plaisir avec le gout et ne pas tomber dans une restriction cognitive !
Bonjour à toutes (et à tous!)
Voilà, je commence aujourd'hui "j'expériemente la faim".
Problème je n'arrive pas à comprendre ce qui différencie une grosse faim d'une petite faim.
J'ai sauté mon petit dèj. aujourd'hui, et bien sûr ai eu faim de suite, mais cela étant suportable j'ai attendu jusquà 11h pour une petite collation.
J'ai déjeuné à 12.30 je suppose donc que je dois attendre le retour de la faim pour manger à nouveau?
J'en reviens donc à ma question initiale comment distinguer la petite faim de la grande faim?
Et à quel moment faut-il satisfaire sa faim?
Merci à celles et ceux qui pourrons me répondre.
c'est normal que la sensation de faim s'accompagne d'EME au début, on n'est pas à l'aise avec cette notion et ntre cerveau nousn joue des tours, il faut remonter ce qui ne va pas et crie famine ! D'où la RPC qui aide à dépasser ce mauvais moment.
Belle découverte alors ;)
ah moi je n'ai pas peur de la faim, je peux même ne pas manger pendant pas mal de temps. mon pb, c'est la perception de mes sensations de faim.
et bien que ça soit 20 minutes après avoir mangé ou 20 heures plus tard, j'ai quasi les mêmes.... et intensité idem....
là, du coup, c'est PC toutes les dix minutes, car il va bien falloir que je me connaisse pour avancer sinon, ça sert à rien...
Lua : moi la satiété, je ne connais pas du tout. si je commence à manger, et bien je ne m'arrête quasi plus.... ou très difficilement et je m'arrête non pas parce que je sais que je n'ai plus faim (vu que j'ai déjà du mal avec mes sensations alimentaires), mais soit parce que je me dis que c'est bon, j'ai bien mangé et ça suffit, soit parce que j'ai mal au bide ('et là, c'est bien sur trop tard).
heureusement, je ne culpabilise pas et je maigris tranquillement, mais je sais que c'est très très loin d'être satisfaisant car les "raisons" de ma perte de poids ne sont pas les "bonnes" (j'entends par là, respect de mes sensations alimentaires etC...).
Bonjour,
je suis vers la fin de l'étape sur la faim, et je m'interroge : ce que je prenais avant pour ma bonne faim était-elle en réalité une petite faim??
En effet, lorsque je laisse passer cette faim (qui présente quand même des sensations importantes de gargouillis et de creux à l'estomac), elle disparaît pour revenir ensuite plus forte. Ensuite après cette deuxième vague intense, la faim redisparaît et ensuite c'est la grande faim. Ou alors, y aurait-il plusieurs vagues de bonne faim??
En fait, avant je pensais que la petite faim c'était vraiment les toutes premières sensations de faim, avec gorge un peu serrée et très peu de sensations au niveau estomac.
Si la bonne faim est bien celle que je pense, je la trouve assez désagréable à supporter!! Peut-être faudra-t-il que je prenne un mini goûter histoire de patienter sans me couper cette bonne faim...
Et pour vous c'est comment?
Bonjour,
Pour moi c'est la même chose: un creux à l'estomac. Par contre il ne disparaît pas et les rpc m'aident seulement à le supporter. Chez moi, la grande faim se traduit par des nausées et des troubles de la vision qui disparaissent dès que je prends un peu de nourriture. C'est aussi pourquoi j'évite d'en arriver là surtout quand je conduis. Il m'est arrivé, du temps où je faisais des régimes restrictifs d'être obligée de m'arrêter au bord de la route et c'est un sensation très désagréable.
Bonjour,
Je suis inscrite depuis peu, j'ai déjà fait une semaine d'observation et j'en suis à sauter le p'tit dèj. Le 1er jour ça s'est plutôt bien passé, bien que j'ai encore du mal à ressentir ma bonne faim. Je n'ai pas déjeuné le matin, j'ai déjeuné 2 petits morceaux de poulet et un yaourt à 14h15, j'ai eu un petit 1/4 d'heure vers 18h un peu difficile j'ai failli sauter sur les macarons au chocolat que ma fille avait fait, mais à ce moment là je me suis dit que ce n'était pas de la faim et j'ai donc pû passer cette envie en buvant une infusion et le soir je ne savais pas si j'avais faim mais j'ai tout de même diné. Mais le 2ème jour, aujourd'hui, j'ai envie de mon p'tit dèj même si je déjeune seulement avec un café et un morceau de pain beurré, ce n'est pas de la faim mais je pense que c'est juste pour me faire du bien. Alors comment dois-je procéder après avoir prit mon p'tit dèj? Dois-je attendre la faim et sauter mon déjeuner s'il le faut ? Est-ce que ça rentrera dans mon activité des 4 jours ? Et est-ce que je dois écouter mon sentiment de réconfort en me levant ? Pourtant on sait que le p'tit dèj est important pour se sentir bien et bien commencer la journée. Qu'est-ce qui est le plus important ? respecter sa sensation de faim, son émotion ou bien conserver des habitudes alimentaires ?
Merci à toutes et tous pour vos réponses
super..... c'est en effet le signe que ça progresse....
Bonsoir,
Je pratique depuis le mois de mai et j'ai découvert beaucoup de MOI .
Une des évidences est que je mangeais souvent sans avoir faim(pas très original !!!).
Autant j 'arrive à ne pas manger le matin ou le midi lorsque la faim n'est pas là (j attends son heure) autant le soir à l'heure du diner je ressens souvent très bien le manque d 'appétit ( je n'ai pas faim du tout ) mais je mange quand même ...comme si j'avais peur de mal dormir ...de me réveiller pendant la nuit parce que j 'ai faim ...j ai peur de quoi véritablement ?????....
Et du coup je mange sans faim et forcément ça m 'agace !!!
Quelqu'un a-t-il déjà éprouvé ces sensations ou quelqu'un a -t-il trouvé une solution ????
PS : pour ma fille et les Barbies, encore mieux que ça!!!
elle a fait de la "défusion" avec ses barbies, mettant en scène une barbie "nulle" pour dédramatiser
comme je lui ai dit le soir, j'étais extrêmement fière qu'elle ait été capable de se réapprioprier ces outils toute seule quand je ne suis pas là (j'étais en réunion)
d'habitude je l'aurais retrouvé sans dessus dessous, en super dramatisation, pleurs, etc...
et là, elle s'est fait sa dédramatisation toute seule, elle avait juste besoin d'un gros calin, mais elle avait déjà acccueilli tous les ressentis difficiles de la journée et dédramatiser
je me suis félicitée que ma réunion se soit tellement éternisée, car ça a été l'occasion pour ma fille de voir qu'elle avait développé de nouvelles ressources, et assez rare pour le coup.....
Bonjour,
Ce sujet a probablement déjà été abordé mais je n'ai pas retrouvé de fil dessus, donc je me décide à lancer cette discussion
Je mélange sensation de faim et angoisse :les sensations physiques sont tres proches ( en tous cas pour moi ) : sensation de creux intense , douloureux , oppréssant en haut de l'estomac,vers le plexus je crois (mais suis pas tres douée en anatomie... )
J'ai beaucoup de mal à savoir si c'est de la faim ou de l'angoisse
Quand j'ai fait le programme une première fois,ma faim se magnifestait de façon tres franche : gargouillis, envie de manger " franche et joyeuse"
Là, pas de gargouillis, pas d'envie de manger réelle mais cette sensation oppressante, tres desagréable
J'ai fini par prendre un yaourt; à la moitiée, je n'en voulais plus;la sensation a un peu disparu, puis est revenue.
J'ai fait 2 seances de RPC dessus,pour voir : la sensation est moins présente, mais reste en toile de fond
J'en conclue que c'est de l'angoisse,....avec peut 'etre un peu de faim derrière?
Ce ne serait pas anormal d'avoir ( un peu ) faim, car hier,je n'ai mangé qu'une tomate ( pas faim du tout car ces derniers temps j'ai vraiment sur mangé )
Mais je suis aussi tres tres angoissée en ce moment
Je suis perdue,c'est pas clair...et je susi bien consciente que mon propos n'est pas tres clair non plus
Ca vous arrive aussi de mélanger faim et angoisse ? Vous gerez comment ?
Merci de vos retours:)
Merci Izabelle,
Je renoue depuis hier seulement avec la pleine conscience ( j'avais clairement laché depuis plusieurs semaines ) et ça me fait du bien
C'est vrai que s'agissant d'une angoisse sourde,permanente,en toile de fond et depuis de longs mois, elle est compliquée à gérer pour moi
C'est tres différent de la peur qu'on peut ressentir comme ça,en" one shot" : je trouve que dans le cas d'une peur" one shot " c'est plus facile (pour moi )
Quand c'est un état permanent, c'est dur à reconnaitre et à vivre .
Dans l'histoire, la bonne nouvelle c'est que je SAIS que ce n'est pas mon état normal (avant de faire LC je ne l'aurais pas su,pas vu, pas reconnu )
Là je vois bien la différence entre ce que je vis maintenant et l'état dans lequel je me trouvais à la fin de l'été: je suis à 180°...et c'est cet écart - que je parviens à reconnaitre - qui va me permettre de travailler.
J'ai bien compris que ça ne partirait pas , en tous cas pas tout de suite;pour le moment,je tente de" faire de la place" et d'accepter .
J'ai refusé de le faire pendant plusieurs semaines et je vois ou ça m'a menée...
Je vais de ce pas sur le post que tu m'indiques, merci :)
Voilà un fil spécial pour le grand défi qui m'attend
en effet depuis le temps que je suis ici, j'ai progressé sur vraiment beaucoup de points, mais alors la seule chose que je n'ai jamais réussi à faire c'est de sauter le diner quand je n'ai pas faim
je ne parle pas de quand j'ai fait un gouter pantagruélique, là c'est facile.....
mais quand j'ai trop mangé "à midi" (genre ce midi), il m'est très difficile d'attendre une vraie bonne faim pour diner
car elle se pointe, dans ce cas, soit en cours de soirée, soit pendant la nuit (enfin j'imagine, en fait je ne sais pas, je n'ai jamais vraiment testé du coup)
du coup j'ai envie de créer ce fil pour pouvoir mettre en mots tout ce que je ressens au fil de la soirée, soit comme pensées automatiques soit commes sentiments ou émotions
histoire de me confronter à tout ceci, mais avec un support écrit, qui permet vraiment de dédramatiser
il est 19h20, ma fille mange et normalement je mange avec elle
ce que je ressens : sensation d'être "privée" de ma pause
interrogation : du coup, est-ce que je prends mon café ou pas?
finalement c'est vraiment de mon café que je ne veux pas être privée.....
en effet tous les soirs après diner je me prends un petit déca en voyant un peu la télé, c'est mon moment détente à moi....
au niveau de la faim c'est le calme plat : que dalle....
si j'interroge mon estomac, voilà à peu près son état d'esprit (oui je parle à mon estomac) : "t'es pas un peu folle? t'as vu la nausée que tua s?"
je reviens sur ce fil en cours de soirée...
super!
Bonjour à tous/toutes,
J'ai besoin de partager mon expérience de ces 2 dernières semaines, parce que mon entourage ne me comprends pas (mon chéri surtout mais il a alerté mes parents) et pense que je vais tomber malade.
Depuis le début du programme, j'étais persuadée de ne manger que quand j'avais une bonne faim.
J'ai sauté l'étape où on saute un ou plusieurs repas pour attendre la grande faim parce qu'avec mon passé de boulimique hyperphage ça me semblait insurmontable.
Les semaines passant et me sentant de plus en plus à l'aise, je me suis dis il y a 2 semaines donc "et si je sautais le repas du midi pour voir?". Je précise que je n'ai aucun mal à sauter le petit déjeuner bizarrement depuis toujours, sauf à boire mon café car j'ai besoin de certains petits rituels le matin pour me mettre en train (prendre ma douche, mon café, etc...).
J'ai donc sauté le repas du midi. Sans peine. Grosse surprise pour moi. Pas de tremblements, pas d'hypoglycémie, et surtout une bonne faim le soir, avec un plaisir décuplé, ce qui me fait dire que je ne savais pas ce que c'était que la bonne faim réellement. Je pense que je mangeais avec une petite faim (ce qui était déjà une victoire en soi parce qu'avant la simple idée d'avoir faim me déclenchait des crises monstrueuses).
L'avantage que j'ai, c'est de travailler seule au bureau (pas de collègues) donc je peux pratiquer la RPC à loisir, méditer et manger à l'heure qui me convient. Le top.
J'ai continué sur cette lancée, en apportant toujours mon repas au cas où, mais je le ramène chaque fois le soir maintenant en rentrant chez moi.
Mon ami commence à s'inquiéter, pourtant il me soutiens à fond dans ma démarche Linecoaching, m'a connu grosse et me trouve belle. Il sait que je dois perdre du poids surtout pour raisons de santé (opération du dos pour une scoliose sévère il y a 10 ans, je faisais 40 kilos de moins, j'avais pour consigne de ne pas prendre plus de 5 kilos même enceinte) mais ne me mets aucune pression.
Il a peut être peur que je devienne une autre personne en maigrissant, je ne sais pas, je fais ce que je peux pour le rassurer. Il a aussi lui quelques "soucis" avec la nourriture, pas gros du tout mais ne supporte pas d'avoir faim (il a connu la famine étant enfant, dans un contexte très difficile), y'a peut être un peu de ça aussi.
Bref, tout ce roman pour dire que du coup il me mets le doute, est-ce que je ne serais pas en effet tombée dans une sorte de régime en sautant mon repas du midi?
Pourtant je me sens tellement mieux! Je ne pense pas avoir maigri, j'ai un peu dégonflé du ventre, qui était tout le temps douloureux et là il ne l'est plus, j'ai beaucoup plus d'énergie et ai réclamé à mon kiné un programme de sport complet à la maison pour me défouler (d'habitude faignasse pour le sport, il m'a regardé avec des yeux oO !) que je pratique avec beaucoup de plaisir. Je n'y vois que du positif, et en plus j'ai toujours à manger à portée de main au cas où je ressentirais le besoin de manger.
Désolée pour le pâté, je réfléchis à tout ça en même temps que j'écris, j'ai conscience d'avoir les réponses dans beaucoup de mes questions en fait, mais ça m'intéresse d'avoir votre avis et votre partage d'expérience si vous vous retrouvez dans un cas similaire.
Pour ceux et celles qui auront eu le courage de tout lire, merci beaucoup et au plaisir de vous lire.
Merci
Bonjour tout le monde,
J'ai besoin de vos lumières car j'en suis à mon 3ème jour de sauter le petit déjeuner. C'est une épreuve, pas de surprise, je connais, c'est la même chose à chaque prise de sang. Sauf que là, je ne mange pas après... le petit déjeuenr est LE repas qui me tiens le plus à coeur. Je peux sauter des repas, faire le déjeuner à 17h voire sauter le déjeuner. pas de problème. Mais pas LE PETIT DEJEUNER,
Ce jeûne déclenche une impression de mal être plus que de faim qui se manifeste dans l'heure du lever, s'amplifie et se mélange au fil du temps avec des vagues de faim/nausées. J'y mets fin au repas due midi mais, la sensation d'insatisfaction/faim persiste alors que je devrais être rassasiée et paradoxalement je n'ai pas tant d'appétit que ça. Le repas du soir normalise les choses et enfin, j'ai plaisir à manger et à me sentir rassasiée. Ce genre de chose ne m'est pas habituelle.
Et aujourd'hui, c'était pire. j'avais du mal a dissimuler mes nausées à mes patients (je suis ostéo et j'ai donc un travail assez physique) et en revenant pour manger le midi, incapable de manger et j'avais une mine de déterrée. Comme si la faim/mal être/ céphalée était telle que tous les signaux étaient brouillés. Je me suis forcée à prendre doucement un truc sucré (je n'aime pas trop le sucré) et un verre de soupe de légumes puis suis allée me coucher pendant une demi-heure. Pour me reveiller fraîche et dispose et avec un faim de loup. Tout à la normale et mon repas de midi a été enfin satisfaisant.
Je redoute mon 4ème jour. Je vais le faire mais c'est la dernière fois que je fais un truc comme ça.
J'aimerais savoir en quoi cela aura pu être instructif. J'ai l'impression que cette épreuve me fout en l'air plutôt que de me faire découvrir la "bonne" faim. Avoir faim au point d'avoir des nausées et de rien pouvoir avaler, bof bof.
Si vous avez des suggestions...
oui, je pense que tu peux le faire avec le déjeuner. tu peux demander à ton coach, c'est plu sûr.
merci à toutes pour vos conseils !
Je n'ai pas une alimentation avec beaucoup de sucre ajouté. (très peu de bonbons et de gâteaux) sauf quand je fais de la pâtisserie.
mais je viens d'avoir le résultats de mes analyses. J'ai une glycémie à 0,93g/L. apparemment il ne faut pas dépasser 0.92g/L pour une femme enceinte d'après l'association diabète france...
J'ai peur d'un régime très contraignant me faisant rentrer en restriction cognitive. A voir ce que dit ma gynéco à la lecture des résultats.
Je suis passée mardi chez mon acupuncteur et ça me permet de beaucoup mieux contrôler mes nausées. Je peux maintenant attendre un peu et ressentir s'il y a des sensations de faim en même temps. Sinon j'essais d'attendre un peu en prenant une boisson avec du gingembre.