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Comment je suis revenu(e) à LC

Linecoaching au quotidien Mon vécu du programme
Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
07 Juil 2017 à 07h

Après une petite discussion sur le forum "je commence en mai-juin", voici ce nouveau fil sur nos expériences "bis" de LC : nous sommes plusieurs à revenir à LC après une première (au moins) expérience du programme. Pourquoi, comment ? Racontons-nous nos expériences et notre choix de revenir !

Adonon

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554 commentaires
05/08/2017 - 09:24

bonjour tout le monde et bonnes vacances reborn ! profites ! tu pars un peu ? des projets ?

 

Adonon, je suis moi aussi un peu inquiète de cette étape déguster un aliment "dangereux", rien que la manière dont je le nomme ne me facilite pas les choses d'avance je crois ! lol

je pense que c'est un des trucs qui risque de me faire rechuter .... ouh là là pas assez dormi moi cette nuit ! je me rends compte que j'utilise des expressions un peu ...alerte rouge !

Lors de mon premier passage, je ne suis pas arrivée à cette étape.. mais je me souviens d'un jour à la plage dans le sud, où je suis passée devant une barraque à churros et où je me suis arretée pour en prendre 4 ou 5. Le vendeur d'ailleurs doublait largement les doses et on avait pas le  choix.. en dégustant  moi j'avais trouvé ça bien meilleur que je ne l'imaginais au contraire puis au troisième j'ai sentie l'huile au goût pas à l'odeur (je n'ai pas d'odorat), mais clairement senti et je n'en n'ai plus eu envie du tout alors j'ai abandonné mon paquet là et j'en ai finalement à peine mangé deux et une bouchée et ça m'avait rassasiée. J'avais été très contente de cette expérience. 

Pour autant, une autre fois avec un autre gâteau, je ne sais plus quoi, je me suis trouvée à ne pas le trouver bon alors que j'en avais vraiment envie et j'ai été très déçue... je l'ai laissé dans un premier temps mais un peu plus tard sous le coup de déception de ne pas avoir eu le plaisir attendu j'y suis retournée.. et je l'ai fini quand même très vite ! C'est malheureusement un peu ça parfois avec l'absence d'odorat chez moi qui s'accompagne d'une diminution du goût... du coup je compense avec  autre chose la texture ... mais le plus souvent la quantité ! et ensuite cercle vicieux de la culpabilité et je mange un repas équilibré en trop, je m'en rends compte et puis foutu pour foutu....

Néanmoins c'est un engrenage dont je peux sortir. Il me semble qu'il me faut être plus attentive à ce en quoi je peux compenser le manque de goût que je ressens par d'autres choses dans les aliments : la fraicheur peut être ? le croustillant ??? à voir le moment venu ! Et tu as raison Adonon, je trouve chouette ta façon d'accepter qu'on est pas parfait et que bon une rechute comme je disais plus haut, on peut se relever après, juste un accroc !

Pour la thérapie en dix séances dont je parlais, pas du tout de sentiment de frustration non ! bon je ne souffre pas de dépression ou de vrais problèmes type souffrance psychique, il faut le dire. J'ai fait plus plusieurs types de thérapies au cours de ma vie, mais je dirais que c'est parce que je suis plutôt sensibilisée à cela du fait de mon métier et que je sais que se pencher sur son histoire, sur ce qu'on vit en ce moment aussi même si ce n'est pas le moment présent pur et dur, permet de faire des liens qui soignent et font avancer.

Cette thérapie, justement permettait de se  pencher sur un point précis de son histoire du moment et de tenter de voir ce que cela me fait vivre justement maintenant quand j'en parle.

Le plus drôle dans cette deuxième session où j'ai souhaité parler de mon poids, toujours un problème, c'est que très vite au cours des séances, un détail précis renvoyé par la thérapeute me faisait prendre conscience de choses inattendues, des peurs par exemple et que le fait de m'arrêter pour les ressentir et tenter de comprendre ce qui se passait là en moi, je passais plus de la moitié de la séance à ressentir dans le silence, en ne parlant que par mono syllabes que la thérapeute acceuillait avec bienveillance. Et moi qui suis une grande bavarde, ce dont vous êtes témoin, je me suis rendue compte  de mon rapport au vide et au plein. Je crois que je n'ai fait que ça concrètement. Voilà ! donc pas de révolution, mais juste l'acceptation totale que c'est là et que de l'avoir accepté permettrait qu'ensuite il se passerait autre chose dans ma vie à ce sujet sans que je le contrôle... des mois après je mesure le chemin parcouru et cela permet d'attendre avec confiance la suite. Pour le coup thérapie arrêtée en décembre, j'ai arrêté de prendre du poids comme je le faisais, sans en perdre pour autant. Jusqu'à ce que l'idée de cure s'impose un peu autrement que dans l'idée de maigrir, juste dans l'idée de soulager mes articulations et de prendre soin de moi et de mon corps surtout... et depuis fin juin, je viens de me peser plus de trois kilos en moins avec un repas resto entre potes par semaine minimum, aucune restriction alimentaire; l'impression de ne faire aucun effort à ce sujet mais la sensation de faim et de satiété qui font un clignotant dans ma tête juste à temps et que je choisis ou non de respecter en fonction du moment mais très consciemment. c'est presque magique pour l'instant. Donc non pas de frustration au bout de dix séances parce que je crois que c'est justement là le but, il y a une limite.... plus tard je pourrais en reprendre si besoin des séances mais consciemment aussi en sachant pourquoi !

Bon je retourne dans mon bon programme du jour bien rempli et sympa et vous souhaite une bonne journée.

Chantal

Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
05/08/2017 - 11:39

Bonjour Chantal, 

merci pour ce témoignage dans lequel on voit à la fois ton cheminement et ce qui a été opérant pour toi.

J'ai eu du mal à me décider des les aliments "tabous", j'ai choisi par défaut les deux propositions du programme (chocolat et camembert), deux aliments que j'aime mais que je mange facilement sans excès, mais ils ont fait un guide précis de dégustation. Comme à la première étape de dégustation, un bug m'avait empêchée de suivre les propositions LC, c'était utile.

Mais à la réflexion, mes vrais aliments tabous ne sont pas ceux-là. J'hésite donc pour la suite. Je vais déguster le camembert demain. Comme lundi j'ai l'entretien avec la coach, j'en parlerai avec elle. tant que le "protocole" n'est pas fini, on peut le refaire (après, je crois que non ?), et puis je déciderai si je recommence, avec mes véritables tabous alors. 

Si d'autres ont rencontré des difficultés similaires, je suis intéressée par vos récits ! 

A bientôt, 

Adonon

05/08/2017 - 12:37

Bonjour Adonon et Chantal,

Merci pour ces beaux échanges qui motivent et éclairent.

Je viens d'aller revoir mon parcours alimentaire de ces 2 derniers mois 1/2 car je n'avais pas le souvenir des aliments-tabous et, en effet, c'est une des avancées de ma précédente inscription, ça ne figure pas dans les étapes à mener. C'est donc un acquis pour moi.

C'est un des pans de la restriction cognitive (ou contrôle mental), cette idée selon laquelle des aliments seraient autorisés (bons) et d'autres interdits (mauvais voire dangereux) dans le cadre d'une alimentation "idéale".

Ce qui ressort de mon propre vécu, c'est qu'il faut vraiment se "confronter" aux aliments dits "interdits" par l'expérience, avec ce que cela engendre de peur bien sûr, afin que le cerveau "imprime en vrai" qu'ils peuvent tout à fait remplacer tout aliment, du moment que l'on a faim quand on les mange et que l'on attend d'avoir faim à nouveau pour passer au repas suivant.

Et, il y a toujours chez moi, malgré les acquis, un regard différent sur ces aliments que je jugeais tabous et qui sont de grands classiques : chocolat dont barres chocolatées, chips, amuse-bouches salés en général, bonbons, glaces...

Chassez la restriction... Un travail de longue haleine !

Dans son livre "maigrir sans régime", J.-P. Zermati donne un exemple parlant à ce sujet. Il explique que s'il nous prenait l'idée de nous alimenter uniquement de chocolat pendant des semaines en respectant nos sensations alimentaires, nous pourrions perdre du poids, voire mourir même avec du chocolat, si nous nous maintenions très en-dessous de nos besoins énergétiques.

Cette étape qui consiste à faire la paix avec TOUS les aliments, avant même de faire la paix avec son alimentation, est donc primordiale et même le préalable pour s'enlever une grande part de la culpabilité alimentaire.

Je vous souhaite une belle journée.

Evelyne

 

 

 

 

 

Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
05/08/2017 - 08:15

Bonjour à tous, 

Bonjour Evelyne, bonjour Chantalou,

La soirée d'hier s'est poursuivie sur la mauvaise pente d'hier... faudra que je trouve le moyen d'arrêter ce processus plus tôt. Sans doute une pensée automatique du style "foutu pour foutu", que je n'ai pas repérée dans l'instant. J'ai tout de même pu faire une séance de méditation de pleine conscience dur Petit Bambou, et bien dormir.

Ce matin, c'est dégustation d'un aliment calorique dans mon programme. Expérience faite, et avec quelques surprises. D'abord je l'ai réalisée en conscience. Ensuite j'ai senti très fortement l'odeur (souvent mon odorat semble en panne). Et puis surtout, j'ai trouvé cet aliment bien moins bon que la qualité gustative que je lui attribuais en le mangeant sans véritable attention. Je ne serai pas étonnée qu'il disparaisse de mon répertoire, et de la liste des aliments "réconfortants". Ça vous est arrivé déjà ? On se dit que la dégustation sera un grand plaisir, et finalement, non, mais c'est instructif.

La dégustation a finalement remplacé le petit déjeuner, malgré la petite voix qui me dit qu'au petit déj, on ne mange pas du chocolat, donc il faudrait un yaourt et du pain pour "équilibrer". La réalité est que je n'ai plus faim.

La première fois, je ne me souviens pas avoir été si attentive à tout ça. 

Chantalou, suite à ton post j'ai lu des articles à propos de cette méthode. Ton témoignage montre bien comment un tel dispositif a pu t'aider. Le nombre de séances décidé par avance est une originalité par rapport à de nombreuses approches (quoique : dans les TCC, c'est peut-être le cas ?). 

Si je comprends bien, c'est la qualité de la relation qui prime, et l'attention du thérapeute. Ça ne devrait pas être le cas de toutes les approches psycho-thérapeutiques ? Un thérapeute froid et distant peut-il être un bon thérapeute ? 

La fin des 10 séances était-elle une difficulté pour toi ?

Bonne journée à vous, 

Adonon

 

04/08/2017 - 20:00

Bonsoir Adonon,

A te lire, il semble que tu as vécu ce que tu nommes "accroc" dans le parcours avec plus de conscience que dans le passé, ce qui est plutôt positif ?

Chantalou, j'ai tout compris de ce que tu as écrit wink. Intéressante, la méthode que tu décris pour mettre en oeuvre ses objectifs.

Belle soirée la communauté.

Evelyne

 

PS : Youpi, une chose agréable, même si ce n'est pas le bon forum, je suis en vacances !

 

Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
04/08/2017 - 19:43

Bonsoir à tous, 

Intéressant, Chantalou, ton parcours, le retour après une cure "amincissement". Les chemins qui mènent à LC ou au retour à LC sont variés, et si un régime est incompatible avec LC, d'autres approches ne le sont pas, ou sont des étapes dans nos parcours.

Je viens de passer une journée difficile pour ce qui concerne mon parcours LC. J'en suis au moment de déguster 3 aliments caloriques. Comme aujourd'hui je devais passer la journée chez des amis, j'ai différé à demain. En chemin, j'ai eu un coup de stress (peut-être flashée par un radar). Je me suis arrêtée pour acheter les aliments en question, j'ai pris un paquet de Chamallow sans être déjà sûre de choisir ça parmi les 3. Mais sur le parking, j'ai compris que la petite voix m'avait guidée, vous savez, celle qui dit "c'est parti, tu sais que tu vas le faire". J'ai lu le journal en avalant les chamallows, sans réussir à faire autre chose : alors j'ai pris le parti d'accepter et d'observer ce qui se passait. Peu à peu, le calme est revenu, j'ai jeté le reste du paquet, et j'ai repris la route.

Du coup, en arrivant chez mes amis, je n'avais pas faim, et là impossible de ne pas faire honneur au repas préparé à l'occasion, donc j'ai mangé sans faim. Retour ce soir, j'ai fait un repas sans être sûre d'avoir faim. On dirait que j'ai fait une journée "off". Un accroc dans le parcours, que j'accepte comme tel.

N'empêche, les bonnes expériences vécues les jours derniers et ce forum me servent d'appui pour revenir au programme, et à ma séance quotidienne maintenant de PC (je me suis abonnée sur Petit Bambou).

Bonne soirée à vous !

Adonon

 

03/08/2017 - 23:13

Mince je peux plus dire bonsoir les filles... puisqu'il y a un man parmi nous maintenant !!! non je plaisante bienvenue Gabtheman !

Intéressant ces derniers échanges. Moi aussi je sais qu'il y a un moment où je me sabote dans mon avancée. Si j'y réfléchis bien cela correspond peut être bien  à une peur de changement  mais vraiment fondamental, parce que sinon le changement j'aime bien...la peur d'être une autre peut être, trop différente de celle que j'ai construit au fil des ans.

Avant de reprendre  LC cette fois, je me suis offert une cure thermale d'amincissement d'une dizaine de jours. Ca m'a fait énormément de bien de prendre soin de moi et surtout de me remettre à me bouger physiquement. Par contre la rencontre avec la diététicienne bof ! je m'y attendais et j'ai écouté bien poliment son calcul de calories... cela dit elle n'était pas trop dans la restriction et j'en ai profité pour lui demander des conseils car je suis quasi végétarienne depuis près de deux ans. Les nouvelles sensations physiques par le biais de cette cure ont été très agréables et m'ont donné envie de reprendre LC histoire de ne pas rentrer dans un régime dont je sais parfaitement que je ne l'aurai pas tenu deux semaines après la  reprise du boulot et de refaire attention à mon corps autrement.

 Je pense aussi que arriver à reprendre un meilleur rapport à son alimentation demande en parallèle  de travailler sur cette peur qui l'accompagne,  et pas uniquement sur nos sensations alimentaires ou physiques. On peut aussi avancer là dessus avec la pleine conscience j'en suis sure,cela permet de mieux accepter nos sensations et émotions.

Pour ma part je trouve intéressant en parallèle de faire un travail de fond sur soi. L'an dernier, j'ai eu la chance de découvrir l'Accompagnement Non Directif et Créatif proposé par un organisme qui s'appelle la Cram je crois.

Soit je suis super bien tombée sur une thérapeute super, soit la méthode est bien efficace ! En fait, la méthode consiste en une dizaine de séances très précisément qui peuvent être répétées si nécessaire. Le thérapeute vous fait définir un objectif sur lequel vous réfléchissez à la première séance. Il n'intervient plus à ce sujet ensuite si vous ne l'abordez pas, c'est au client de tenir son objectif. le thérapeute s'adapte à ce qui est amené et reste en empathie bienveillante, en pointant juste ce qu'il perçoit quand on parle : par exemple si on dit un truc triste en souriant, s'il nous sent en colère ou autre et reformule si nécessaire. Je crois que j'ai rarement eu la sensation d'être à ce point écoutée par la personne en face de moi et par moi même du coup ! En plus je l'ai découvert par le biais d'un flyer déposé chez mon ostéopathe par une étudiante de la méthode qui doit se trouver quelques client et leur proposer des séances gratuites. J'ai eu l'impression d'un véritable cadeau. J'y ai travaillé justement dernièrement  sur la question de mon poids et c'est ce qui m'a aidé à me remettre à regarder le problème en face cette année.

J'y crois vraiment car mes dix premières séances l'année d'avant concernaient un problème important lié à mon travail. Un an après j'ai eu l'opportunité de changer de job, et là encore une nouvelle opportunité alors que je ramais depuis un moment sans arriver à sortir des questions que je ruminais à longueur de temps.

Je crois que le changement, il faut l'apprivoiser petit à petit, en l'examinant sous toutes ses coutures mais le moins possible par celle de l'intellect ! et petit à petit se faire confiance ... y compris en sautant des repas si on n'a pas faim ! parce que rien que ça c'est déjà un changement !

bon pas sure d'avoir la tête toute claire ce soir avec la fatigue et cette chaleur  ! pas sur que je sois vraiment arrivée à m'exprimer clairement ! lol ! bon courage dans votre lecture !

Chantalou

Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
03/08/2017 - 07:44

Bonjour !

Gabtheman, ton parcours ressemble à ceux de beaucoup de gens ici, bien sûr, mais il montre aussi chez toi une capacité à piger rapidement ce qui ne te convient pas, chapeau !

Chaque fois que j'avais consulté un professionnel de santé sur la question du poids, je me livrais littéralement à lui : "cette personne va régler mon problème si je me conforme bien à ce qu'elle dit". Je perdais du poids le plus souvent Et ensuite, puisqu'à chaque fois ça échouait, les kilos revenaient avec le bonus, je commençais par essayer de tenir pour le pas le décevoir, et j'interrompais, abattue par ce nouvel échec façon mea maxima culpa. Sauf que tout ce processus prenait du temps, pendant lequel je m'infligeais ces recommandations qui ne menaient à rien au long terme, puis il restait l'injonction "vous devrez vous surveiller toute votre vie et être stricte avec vous-même".

Je te souhaite donc de t'accorder plus de temps ici pour avancer plus loin dans le programme, avais-tu souscrit les entretiens avec un coach la première fois ? Je l'ai fait cette fois, je trouve ça vraiment intéressant, alors que le principe même d'un coach est très loin de ma façon de "penser" les difficultés.

Ta première expérience pointe comment il est possible de tenir à ses "dysfonctionnements", c'est toujours complexe cette affaire-là, je te souhaite que cette résistance cède, mais pas au forcing, tout en douceur, sinon où est la logique ? Peut-être faudra-t-il que tu t'accordes du temps et un effet différé, et / ou que tu aménages les étapes avec le coach.

Bonne journée à tous !

Adonon

03/08/2017 - 14:53

Chère Adonon, 

j'écoute qui m'a aidé à comprendre "vite", c'est vraiment d'avoir eu pour une fois un argument solide qui ne tenait pas uniquement du ressenti : je suis persuadé de rendre service à mon corps (et donc à moi ;-) ) en sautant un repas si je n'ai pas faim. Et la méthode Zermatti / Apfelstrudel.... non Apfeldorfer valide cette conviction. Sans cette validation, je n'aurais pas suivi l'idée jusqu'au bout. 

Une autre chance que j'ai, piégeuse sous d'autres aspects, c'est l'absence de culpabilité. Le desarroi peut exister, par ailleurs, mais pas sous cette forme-là. 

La première fois je n'avais pas souscrit les entretiens avec les coachs, je me méfiais (LOL). Ca ne me disait rien. Mais cette fois-ci j'attends beaucoup de ces entretiens, justement pour m'aider face à mes aspects atypiques, recarder ma peur démesurée des EME que je connais pourtant plutôt bien (re-LOL) ; en bref, garder mes repères lors des éventuels bouleversements que je rencontrerais tout au long du programme. 

Ancien abonné En or (310) Très actif (30)
03/08/2017 - 16:10

Gabtheman, 

Deux indices tendent à penser que tu n'es pas étranger à l'Alsace : l'Apfelstrudel et le mot "recarder" (pour regarder), qui n'est pas un néologisme mais une transcription avec l'accent. Comme tu l'écris : LOL ! 

(Je suis alsacienne, tu l'auras compris)

Là où tu désiges un argument, on peut voir aussi un ressenti, ou une intuition (qui serait un mi-chemin entre l'argument et le ressenti ?) : "sauter un repas quand on n'a pas faim". 

Au départ j'ai découvert le G.R.O.S. sur internet, ce jour-là une fenêtre s'est ouverte pour moi : je suis tombée sur un discours qui me parlait, qui ne proposait pas une guerre contre moi-même. C'est fatigant, la guerre, et dangereux.

Bonne journée à toi, et aux autres personnes qui passent !

Adonon