Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
Vous devez vous connecter pour poster un commentaire
Vous devez préalablement être authentifié auprès de votre assureur afin d'accéder à nos services
Répondre
Lylyoz,
Je suis un peu gênée de faire un commentaire, moi qui débute et en sais moins que toi j'en suis sûre. Mais en te lisant , j'ai un peu l'impression que j'aurais pu écrire ce que tu écris. Aussi je vais te dire ce que m'a dit la coach: il ne faut pas trop intellectualiser. L'important est que cela te fasse du bien. Et plus tu pratiqueras, mieux tu le feras. Et les choses évoluent de façon sinusoidale: parfois on a l'impression de bien progresser, et parfois de régresser. Masi globalement, tu t'impregnes des concepts, réflexes et donc tu avances. Tiens la barre matelot, garde le cap même si le bateau est un peu malmené par les éléments ....
Izabelle,
Je crois deviner ton activité professionnelle, si je ne me trompe pas, une suggestion (peut-être irréaliste): quand un jeune t'appelle, ne peux-tu pas lui donner RV le lendemain ou dès que tu as un créneau, et lui demander de t'écrire un mail pour t'expliquer ce qu'il ressent. Ce mail pourrait lui permettre d'exprimer ses problèmes, et il ne serait pas inutile car tu le relirais avec lui en début de séance?
Sinon mon inconfort est celui bien connu du dimanche soir. S'ajoute un inconfort spécifique lié à un projet professionnel que j'ai à gérer depuis décembre (fin en juin/juillet j'espère). Ce projet est infiniment politique et j'ai l'impression de nager dans un bassin de requins. Ce projet me gêne dans ma vie personnelle (j'ai dû travailler 2 heures dessus hier soir) et en particulier il me gêne dans mon avancement LC. Je suis dans l'étape de la découverte de la faim. J'ai renoncé deux fois à tenter la grande faim car j'étais bien trop stressée pour m'ajouter un autre inconfort même voulu. Et tout simplement, j'ai le visage agité de tics depuis des semaines. Quand je suis seule je me laisse aller et cela m'épuise. Quand je ne suis pas seule, j'éssaie de me retenir...et cela m'épuise aussi. Rhodiola et magnesium n'y font rien (ou alors, qu'est-ce que ce serait sinon).
En tous cas ce fil de discussion m'a fait du bien: j'ai déposé mon inconfort dans le torrent collectif, et je me sens reliée à vous toutes. C'est chouette (écrit-elle l'oeil humide d'émotion...la grande sensible).
Respirons toutes ensemble un bon coup, en pleine conscience...
Lylyoz, je pense que les émotions ne sont simplement pas les mêmes qu'à l'époque
tu as du faire face à beaucoup de choses, cela continue, ensuite il y a tous ces changements, tout ça
ça fait beaucoup !!!
ces émotions -là tu as encore besoin de les calmer avec la nourriture pour l'instant
la pleine conscience est en effet essentielle, non pas pour te permettre de manger moins, mais pour te permettre de vivre ces émotions-là
et la dégustation en pleine conscience est aussi vraiment aidante dans ces moments-là
Véronique, merci c'est super sympa, mais là c'est juste impossible, c'était le seul créneau que j'avais avant deux semaines, sinon bien sûr je lui aurais donné le lendemain, mais deux semaines pour un jeune en souffrance, n'est-ce pas une éternité?
si ce jeune avait besoin de me voir c'est bien justement parce qu'il ne se sortait pas de certains ressentis qui tournaient en boucle, mon boulot consiste souvent à aider l'autre à sortir de sa boucle de pensées difficiles
le plus dur est de trouver la juste limite pour protéger suffisamment mon système nerveux et en même temps faire ce qui est le plus important pour moi, apporter mon aide à ces personnes
c'est un équilibre difficile à trouver, mais bon ça fait partie du boulot
je pense que j'ai de la chance d'exercer un travail si passionnant, si utile (si,si) et dans lequel je me réalise
mais il faut que j'équilibre avec une vie personnelle riche, et le problème c'est aussi la fatigue
bref, bientôt les vacances scolaires, ça devrait quand même être plus calme pour moi
Mes inconforts sont des douleurs aux genoux et une angoisse de ne pas savoir quelle destination de cure choisir.
J'ai fait le choix de partir pour l'arthrose et le surpoids et surtout pour souffler. J'aurai aimé partir rapidement mais il faut choisir un lieu de cure et envoyer la demande à la cpam.
Être dans le doute et ne pas savoir sur quelle décision prendre , cela me stresse ,,,je le ressens , je l'accepte mais il ne me lâche pas
Isa j'espère que tu trouveras quelques minutes de pause entre tes rendez vous pour souffler un peu.
Se mettre un peu d'eau sur le visage pour se rafraîchir et s'étirer pour détendre le corps.
EVC : il faut accepter le ressenti et passer à autre chose. Je n'ai jamais vécu ce genre de symptômes
amie35 : c'est un bon moment que tu prépares de toutes façons. Prends le temps de bien choisir et ensuite ce sera un vrai moment de détente rien que pour toi ;) Lorsqu'on a envie que quelqu chose arrive le temps semble si long ! J'espère que tu as de quoi soulager ton genou en attendant.
Inconfort du jour : sentir le stress monter depuis ce matin à l'idée de l'oral que je vais passer demain à 13h devant un jury. Je ne suis pas seule et je sais faire mais ce type de jury qui évalue les établissements scolaires, pose toujours des questions qui rabaissent un peu, qui désoriente. Je l'ai déjà vécu il y a 4 ans et au souvenir de ce moment pénible (j'ai horreur de l'oral !) je frémis. Vivement demain que tout soit fini. J'espère avoir un temps de décompression avant
Merci pour vos gentils mots...
en effet j'ai décidé d'attendre un peu avant de faire l'expérience de la saciété et me concentrer sur la faim, la bonne faim.
Côté émotionnel faudrait se remettre à la RPC, j'ai difficile à dégager du temps!
Belle journée à toutes!
Mon inconfort du moment: gros mal au dos qui s'est réveillé ce matin.
La tristesse comme compagne ce soir. Les larmes ruissellent au gré du pianotement sur mon ordinateur.
Journée difficile où je n'ai pas eu vraiment le temps de m'attarder sur mon ressenti.
Outre le fait, que je suis en plein déménagement, que je ne vivrai plus jamais dans ma maison, je perds les derniers repères fiables que j'avais. Toute une page de ma vie se tourne. Je ne suis pas très douée pour les au revoir.
Me voilà donc de retour chez mes parents pour moins d'une semaine avant mon décollage pour l'angleterre.J'étais dans le "faire" aujourd'hui. Les remarques assassines de mon BP pour clôre la journée qui a été faite de labeur intense ont été vécu avec beaucoup d'acuité. J'essaye de me raisonner en me disant que c'est son rapport au monde, que ces remarques sur "ma nullité" c'est ce qu'il pense de lui même. Ca me fait malgré tout mal.
J'aimerai que ça glisse sur moi comme sur les ailes d'un canard. Je voudrai être moins sensible, réussir à prendre du recul. Mais ce soir particulièrement c'est dur.
Pbs intestinaux depuis quelques jours, je sais que c'est de la rétention car je n'arrive pas à me détendre suffisamment pour... enfin bref...
Je me suis donc décidée à attaquer un livre prêté par quelqu'un de mon entourage, attaqué, que dis-je, dévoré (j'en suis déjà depuis ce matin à la page 131 - mais le titre ne me tentait pas trop donc je l'avais laissé dans un coin), qui est un petit bijou, écrit par une jeune gastroentérologue, avec des dessins humoristiques pour expliquer un fonctionnement pas toujours évident.
C'est "Le charme discret de l'intestin", de Giulia Enders. Les mécanismes de digestion et tout le reste sont une mine d'informations pour moi et je comprends mieux pourquoi parfois mon transit est en grève. Longue description du parcours de la bouchée de gâteau entre le moment où on le voit, on en sent son parfum, on le porte à sa bouche, jusqu'à... la sortie.
Entre autres les raisons de certaines intolérances (au lait, au gluten).
Je n'ai pas d'actions chez l'éditeur mais c'est celui-ci :
Kaylee, moi mon arme secrète pour le transit ce sont les téguments de psyllium blonds, je te le conseille
Lua, j'espère que tu vas bientôt pouvoir souffler! tu n'as pas besoin de dégager du temps pour faire de la RPC, car tu respires en permanence, il te suffit de porter régulièrement ton attention dessus, de façon informelle, cela devrait beaucoup t'aider à te centrer et ne plus être une petite bouée bringbalée dans l'océan de tout ce que tu as à faire
Lylyoz, tu ne pourras jamais être moins sensible, mais en effet avec le temps, tu apprendras à avoir plus de recul, mais cela ne veut pas dire être moins sensible, c'est plutôt pouvoir accueillir pleinement nos ressentis, mais comme on ne les bloquent pas, cela ne pose plus de problème, tu laisses passer la vague à travers toi
bon courage pour ce grand départ
Orange, j'espère que ton dos va mieux
bon hier j'étais très fatiguée, mais aujourd'hui je pète la forme !!!
du coup pas d'inconfort, tant mieux, ça va ça vient
Lylyoz,
Je suis un peu gênée de faire un commentaire, moi qui débute et en sais moins que toi j'en suis sûre. Mais en te lisant , j'ai un peu l'impression que j'aurais pu écrire ce que tu écris. Aussi je vais te dire ce que m'a dit la coach: il ne faut pas trop intellectualiser. L'important est que cela te fasse du bien. Et plus tu pratiqueras, mieux tu le feras. Et les choses évoluent de façon sinusoidale: parfois on a l'impression de bien progresser, et parfois de régresser. Masi globalement, tu t'impregnes des concepts, réflexes et donc tu avances. Tiens la barre matelot, garde le cap même si le bateau est un peu malmené par les éléments ....
Izabelle,
Je crois deviner ton activité professionnelle, si je ne me trompe pas, une suggestion (peut-être irréaliste): quand un jeune t'appelle, ne peux-tu pas lui donner RV le lendemain ou dès que tu as un créneau, et lui demander de t'écrire un mail pour t'expliquer ce qu'il ressent. Ce mail pourrait lui permettre d'exprimer ses problèmes, et il ne serait pas inutile car tu le relirais avec lui en début de séance?
Sinon mon inconfort est celui bien connu du dimanche soir. S'ajoute un inconfort spécifique lié à un projet professionnel que j'ai à gérer depuis décembre (fin en juin/juillet j'espère). Ce projet est infiniment politique et j'ai l'impression de nager dans un bassin de requins. Ce projet me gêne dans ma vie personnelle (j'ai dû travailler 2 heures dessus hier soir) et en particulier il me gêne dans mon avancement LC. Je suis dans l'étape de la découverte de la faim. J'ai renoncé deux fois à tenter la grande faim car j'étais bien trop stressée pour m'ajouter un autre inconfort même voulu. Et tout simplement, j'ai le visage agité de tics depuis des semaines. Quand je suis seule je me laisse aller et cela m'épuise. Quand je ne suis pas seule, j'éssaie de me retenir...et cela m'épuise aussi. Rhodiola et magnesium n'y font rien (ou alors, qu'est-ce que ce serait sinon).
En tous cas ce fil de discussion m'a fait du bien: j'ai déposé mon inconfort dans le torrent collectif, et je me sens reliée à vous toutes. C'est chouette (écrit-elle l'oeil humide d'émotion...la grande sensible).
Respirons toutes ensemble un bon coup, en pleine conscience...