Mon inconfort
Bonjour à tous,
Voici un nouveau fil sur l'inconfort, je vais tenter d'archiver l'ancien, mais cette fois sans le faire "disparaître"
en tous cas n'hésitez pas à venir déposer ici vos inconforts physiques et émotionnels, sentiments désagréables, sensations désagréables.....
le déposer, c'est repartir plus léger....
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Merci à toutes !
J'ai deux moniteurs qui se completent bien mais je suis un peu complexee de la conduite depuis l ancienne auto ecole il y a 11 ans environ.
Une amie qui pratique l hypnose m'en fera si besoin et au ^pire une autre peut me prendre en conduite accompagnée en janvier.
Oui l enjeu est grand en effet et j aime les voyages :)
Il est vrai que je n'ai aucun plaisir à conduire c est comme un outil pas simple à mes yeux. mais je vais apprendre à l apprecier :)
bonjour à toutes
Merci Milagros.
Hier soir en rentrant du boulot j'ai pris conscience que intérieurement je n'étais plus dans le même état d'esprit que quand j'ai écrit cela. Cela m'a aidé à prendre du recul sur la situation en regardant ce que cela me faisait exactement cette situation.
Du coup j'ai entendu vraiment la version de ma plus proche collègue, assez proche de la tienne : pour elle, il y a énormément de boulot où on travaille, tout va extrêmement vite,(ce qui est de plus en plus le cas partout) et mes supérieurs sont simplement en train de passer à la suite et m'effacent tout bonnement du paysage. Me laisser prendre des vacances peut leur donner une forme de bonne conscience rapide et me dégage de la voie tout simplement...
Cette façon de voir me parait pertinente et tu as raison bien en lien avec notre société actuelle. Au suivant ! Mon estime de moi même en est remontée en effet mais surtout cela m'éclaire sur ce que je ne veux pas ou plus dans ma vie. Et aussi, cela me "guide" à rester attentive aussi à comment moi aussi j'ai pu, pas vraiment consciemment mais tout de même, agir comme ça à minima, malgré ma prudence relationnelle et mon éthique. Garder le cap malgré le rythme effréné.
C'est aussi pour ça que je quitte ce travail qui me plait par ailleurs. Tout va trop vite pour que j'ai le temps de me poser pour ressentir clairement et ensuite décider clairement. Cela m'amène aussi à consacrer énormément de temps au boulot pour rester en lien avec cette éthique et résister à la pression de tout faire vite. Du coup je n'ai plus assez de temps pour moi et ne respecte plus mon propre corps. Cet inconfort m'a servi à ça.
Arc en ciel, tu as eu raison de pleurer, même dans la rue. Ca fait du bien de pleurer ! Parfois vouloir les choses trop fort, trop vite les fait reculer en effet. C'est légitime que tu veuilles ton permis avec ce que tu exprimes de ta situation et je te souhaite de tout coeur d'y arriver. Mais il vaut peut être mieux ne pas l'avoir aujourd'hui si tu n'es pas prête non ? Je pense qu'il faut lâcher prise mais c'est plus facile à dire qu'à faire. J'ai eu mon permis très jeune mais ça a aussi été difficile. J'en avais vraiment besoin et je n'avais pas confiance en moi. Et je dois dire je n'étais pas très habile à la conduite. Je mes suis sentie nulle quand je ne l'ai pas eu. Je crois me souvenir que c'est quand j'ai commencé à renoncer et à envisager une vie sans permis avec les autres solutions (pas simples) de transport que finalement je l'ai eu. Bon courage.
Comme je te comprends!
Mais tu es intelligente et volontaire, tu y arriveras!
J'ai passé le permis il y a longtemps mais j'ai dû changer d'école car mon moniteur était une espèce de pervers qui se plaisait à démolir ma confiance et à me faire payer. Es-tu vraiment en confiance avec ton moniteur? Peut-être peux-tu changer d'auto-école?
Courage et confiance!
Ras le bol de pas avoir de permis et de pas y arriver. j en suis a 80het on me parle de conduite accompagnee sauf que j ai personne pr le faire
j ai besoin d une voiture je galere depuis tjs avec les bus et les enfants mais on dirait que j ai pas le niveau permis. j en ai pleuré dans la rue et croyez moi j pleure pas souvent et encore moins dans la rue
Bonjour Arcenciel!
Je repense à tes mésaventures routières.
Je ne sais pas si tu fréquentes un psy mais peut-être qu'un peu d'hypnose ericksonienne t'aiderait, en plus de la pratique de la méditation de pleine conscience.
Voilà, c'est juste l'idée du moment d'une conductrice compatissante mais peut-être qu'il y a un(e) psy à l'écoute, qui aura d'autres propositions.
Sinon, que te dire? Peut-être que conduire, c'est comme manger, qu'il faut y prendre du plaisir pour ne pas en souffrir. Le sentiment d'urgence t'empêche de te détendre. L'enjeu est grand, c'est vrai, la vie n'est pas simple avec des enfants et sans véhicule. Mais le plaisir d'être maître de ses déplacements, le plaisir de se promener en voiture et de voir les paysages changer kilomètre après kilomètre, le plaisir d'emmener les enfants vers une destination surprise... J'adore conduire et ce sont là quelques-uns des bonheurs que me procure mon petit papier rose et que je te souhaite de partager bientôt. Je ne dis pas tout ça pour te faire bisquer bien sûr mais pour te proposer un autre point de vue sur la conduite, un point de vue qui ne vienne pas des contraintes du quotidien mais plutôt des bons moments que conduire peut procurer.
Essaie d'aller aux leçons comme tu te mets à table avec LC, pour te faire du bien. Facile à dire, je sais bien. Ne te laisse pas abattre, surtout.
Bonne journée à toi, et aux autres aussi!
Mon inconfort depuis hier : je l'écris parce que je note que depuis hier je me dis:" dans le fond je m'en fiche et même après tout tant mieux" mais je sens bien que ce n'est pas tout à fait vrai. L'écrire va m'aider à dépasser et mieux comprendre cet inconfort que je ressens tout de même
Cela tient au fait, qu'étant entre deux emplois, on m'a proposé hier de réduire le temps de travail qui me reste en prenant des vacances... D'un côté je suis contente d'être en vacances car fatiguée et un peu démotivée... de l'autre côté j'ai le sentiment qu'on m'a forcé la main et mise à l'écart sans tenir compte du travail qui me reste à faire pour clore cette période correctement pour moi et mes collègues, sans tenir compte de mon investissement dans celui-là actuellement et précédemment.
Bref un sentiment assez ambivalent d'avoir du dire merci pour quelque chose que je n'étais pas sure de souhaiter, pas comme cela en tout cas, et surtout d'avoir vécu un moment relationnel pas très clair ni honnête qui me laisse une trace de culpabilité entre "je n'étais pas à la hauteur, c'est pour ça qu'on m'écarte" et "je suis surement parano de penser ça alors qu'on me fait une fleur".
Je décide ici de faire confiance à mon intuition : je ne suis pas parano, les choses ne se sont pas passées comme elles auraient du ou pu. Il ya quelque chose de pas clair que je n'ai pas envie de creuser mais dans le fond ce n'est pas moi qui suis en cause tant qu'on ne me le dit pas. Je vais donc accepter ces vacances qui me feront du bien, sans plus d'arrière pensée.
Cmoichantalou, tu as raison, ne creuse pas et décide d'autorité qu'on te fait une fleur parce que tu es quelqu'un de bien et que tu le vaux bien ! Point ! Tu sais bien que dans notre société, on presse les gens comme des citrons, même les nuls. Donc ne pense pas que si on te propose des vacances c'est que tu es nulle. Dis merci et surtout : profites en bien !!
Bonjour Papaye!
Oumpf, il n'a pas l'air fun, cet homme.
Petit message de soutien au cas où tu en aurais besoin.
Le mien s'est beaucoup calmé depuis que je l'ai quitté (il y a plus de trois ans) mais je suis toujours plus ou moins en stress quand je dois l'avoir au téléphone ou le voir. Et je crois que je ne serai jamais tranquille au moment de lui déposer le petit même si ça semble se passer correctement.
Donc, voilà, je pense bien à toi.
Bonne journée!