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Cette rubrique est l'opportunité pour chacun de se présenter, et de trouver du soutien au sein de la communauté parmi les nouveaux venus, mais aussi les anciens qui ont déjà l'expérience du parcours.
Vous allez suivre des cheminements proches, n'hésitez pas à échangez entre vous. Nous savons combien durant les premiers mois ce soutien aide à progresser et à maintenir la motivation !
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Et pour toute question pratique sur le programme, contactez votre coach via la messagerie, en cliquant en bas de chaque page de votre parcours alimentaire sur « contacter un coach »!
et bon démarrage avec la méthode!
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re bonjour à tout le monde,
plus d'une semaine sans venir sur le forum et ce week-end absente, donc pas beaucoup de temps non plus ... j'ai du retard pour lire tous vos commentaires, et faire un peu connaissance avec les nouveaux et nouvelles.
Fini de remplir mon carnet "découverte des EME" et je réalise combien ces émotions me font manger, sans faim, et en plus sans véritable plaisir ... je me suis engagée à remplir de nouveau pendant 10 jours ce carnet sur les émotions car je réalise bien que c'est là qu'est le problème ! quelles émotions me font manger et comment m'arrêter à temps ? Car même si on peut s'autoriser une petite douceur, il ne faut pas, j'imagine, multiplier ce genre de situations.
Je viens de passer un super week-end chez des amis en Belgique ; autant vous dire que là aussi, j'ai certainement mangé bien plus que nécessaire ; mais là, par contre, je ne me sens absolument pas "coupable" et je me dis que je vais reprendre mon rythme durant la semaine, et essayer d'écouter plus ma faim que je ne l'ai fait pendant ces trois jours. Car je pense que c'est important aussi de savoir manger dans la convivialité (même si on dérape un peu), on ne peut pas vivre dans l'isolement et de toute façon ce n'est guère tenable sur le long terme.
Je pense que mon plus gros défi à relever ce serait aussi d'avoir plus d'activité physique ; y arrivez vous ? Trouvez le temps et l'envie ? Pour moi, je crois que c'est mon plus gros handicap : pas du tout envie de faire une quelconque activité physique ... Il faudrait qu'on puisse se booster mutuellement, ça encouragerait !
Je vais débuter le body scan, où en êtes vous de ce côté là ? Est ce que cela vous aide ? Le plus difficile pour moi, c'est de trouver un moment, un endroit tranquille pour m'y mettre; Et vous ? Vous le pratiquez plutôt le soir en rentrant du travail ?
Je me rends compte que ce que j'écris n'est pas très structuré .... En tout cas, merci à vous d'avoir pris le temps de me lire,
bonne fin de dimanche et bonne semaine à tous !
Bonjour,
Je m'appelle Valérie j'ai 38 ans . Je suis mariée et j'ai 3 enfants.
Je connais la méthode zermati depuis 3 ans et demi. Après avoir lu son livre j'ai compris que je ne savais pas ce qu'était la faim. Je ne me souviens pas d'avoir ressentie cette sensation même enfant: à la maison, on mangeais toujours à la même heure, il fallait finir son assiette etc Je n'y pensais même pas, je mangeais par habitude sans me poser de question.
J'ai aussi découvert que je mangeais aussi sous le coup de l'émotion. Jamais plus d'une ou 2 fois par jour et jamais de très grosses quantités (1 doigt de chocolat ou 1à 2 biscuits) et puis qu'il y avait les aliments tabous.
En fait on m'a toujours considérée comme un peu ronde (et forcément je me suis toujours crue ronde) parce qu'à la naissance j'étais un bébé d'environ 4kg100 et qu'en plus je n'étais pas très grande. Vers 20 ans je pesais aux alentours de 59 kg pour 1m60 mais bien évidemment me trouvant plus ronde que la moyenne, sans faire véritablement de régime, je contrôlais ce que je mangeais. Après un régime pas spécialement frustrant avec une diététicienne, j'ai perdu 5 kg mais 1 an plus tard +7kg sur la balance puis +2 kg après mon mariage résultat: 64 kg. Ce poids j'ai réussi à le récupérer plus ou moins facilement après chacune de mes 2 premières grossesses (20kg de pris à chacune)et à le maintenir mais toujours en étant dans le contrôle. Malheureusement après ma 3è grossesse, je suis restée à 66kg . J'ai alors essayé Dukan mais heureusement pour moi(je le sais depuis que j'ai découvert la méthode zermati), j'ai été incapable de tenir plus d'une semaine .
Puis j'ai découvert la méthode zermati et convaincu de son bien fondé, j'ai entrepris de la suivre seule mais sans succès concernant mon poids puisque trop pressée de la mettre en oeuvre j'ai sauté les étapes que je jugeais trop rébarbatif notamment les carnets et certains exercices. C'est aussi à cette période que mon père est décédé brutalement et là mon poids s'est envolé pour atteindre 72/73 kg. Certes, malgré le chagrin et les kilos en plus,j'ai persévéré et la méthode a fait son chemin dans mon esprit: j'ai conscience de ce qu'est la faim, j'ai conscience que je mange avec mes émotions, je n'ai plus aucun aliment tabou mais malgré ces progrès,je n'arrive pas à combattre mes EME et je n'arrive pas à ressentir la satiété en cours de repas. j'ai aussi accepté le fait que je n'y arriverai pas seule et c'est pourquoi je me suis inscrite sur le site il y a quelques jours de celà.
Voilà, j'espère que je n'ai pas été trop barbante . Et même dans le cas contraire le fait d'écrire mon parcours m'aura tout de même permis de me mettre au clair avec moi-même. Merci à ceux qui prendrons le temps de me lire.
Bienvenue Haydi et Grégory,
Je voulais juste vous donner une info complémentaire sur le poids et le fait de maigrir ou pas.
Si dans cette hsitoire, il ne s'agissait que d'un problème de diététique, compte-tenu du nombre de diététiciennes, nutritionnistes en tous genres consultés par chacun d'ente-nous, nos problèmes seraient résolus depuis belle lurette et ce site n'aurait pas lieu d'être. Hélas, 3 fois hélas !!! parce que les émotions s'en mêlent, l'hérédité, la biologie...
Notre prise de poids a été la résultante de tout un tas de facteurs et il en sera de même pour notre perte de poids.
Très souvent notre prise de poids s'est faite sur de longues périodes, entrecoupées de régimes divers et variés, plus ou moins restrictifs, emprunts de restriction cognitive intense. Notre poids a joué les montagnes russes : il est monté, redescendu, remonté...Nous avons fonctionné sur un mode de tout ou rien, soit au régime où il n'y avait rien dans notre assiette, soit il y avait tout et trop...
Nous sommes tous programmés pour un certain poids (set-point ou poids d'équilibre). Ce poids c'est celui qu'on a été capable de maintenir le plus longtemps sur un mode alimentaire intuitif, en respectant sa faim, sa satiété, un peu en état d'insouciance.
Il est angoissant de ne pas savoir où il se trouve mais personne ne peut vous dire en regardant droit dans les yeux où il se trouve. une chose est sûre, c'est qu'on ne chosit pas le poids que l'on veut faire, on ne chosit pas son poids sur un catalogue comme un vêtement. Cette façon de faire, c'est ce que vous proposent tous les sites de régimes, tous les magazines féminins et vous savez où ça vous a conduit. Décider de chosir son poids, c'est se mettre en mode lutte contre sa faim, contre ses besoins, ses envies, c'est réintroduire le contrôle et la perte de contrôle qui va avec.
Partir à la recherche de son poids d'équilibre, c'est accepter de se laisser le temps de modifier son comportement, de revenir à une alimentation intuitive.
[quote=capuccino]
Bienvenue Haydi et Grégory,
Je voulais juste vous donner une info complémentaire sur le poids et le fait de maigrir ou pas.
Si dans cette hsitoire, il ne s'agissait que d'un problème de diététique, compte-tenu du nombre de diététiciennes, nutritionnistes en tous genres consultés par chacun d'ente-nous, nos problèmes seraient résolus depuis belle lurette et ce site n'aurait pas lieu d'être. Hélas, 3 fois hélas !!! parce que les émotions s'en mêlent, l'hérédité, la biologie...
Notre prise de poids a été la résultante de tout un tas de facteurs et il en sera de même pour notre perte de poids.
Très souvent notre prise de poids s'est faite sur de longues périodes, entrecoupées de régimes divers et variés, plus ou moins restrictifs, emprunts de restriction cognitive intense. Notre poids a joué les montagnes russes : il est monté, redescendu, remonté...Nous avons fonctionné sur un mode de tout ou rien, soit au régime où il n'y avait rien dans notre assiette, soit il y avait tout et trop...
Nous sommes tous programmés pour un certain poids (set-point ou poids d'équilibre). Ce poids c'est celui qu'on a été capable de maintenir le plus longtemps sur un mode alimentaire intuitif, en respectant sa faim, sa satiété, un peu en état d'insouciance.
Il est angoissant de ne pas savoir où il se trouve mais personne ne peut vous dire en regardant droit dans les yeux où il se trouve. une chose est sûre, c'est qu'on ne chosit pas le poids que l'on veut faire, on ne chosit pas son poids sur un catalogue comme un vêtement. Cette façon de faire, c'est ce que vous proposent tous les sites de régimes, tous les magazines féminins et vous savez où ça vous a conduit. Décider de chosir son poids, c'est se mettre en mode lutte contre sa faim, contre ses besoins, ses envies, c'est réintroduire le contrôle et la perte de contrôle qui va avec.
Partir à la recherche de son poids d'équilibre, c'est accepter de se laisser le temps de modifier son comportement, de revenir à une alimentation intuitive.
[/quote]
Hello Capuccino,
Certes mais moi je n'ai AUCUNE idée de mon set point dans la mesure où depuis des années (depuis mes 18 ans) je suis en lutte contre mon surpoids... là ça fait qqs années que je stagne au dessus de 90 et que je suis assez stable parce que je ne fais plus de régime... mais je sais que je mange beaucoup trop et j'ose franchement espérer que ce n'est pas mon set-point, parce que c'est moche à mes yeux et parce que ce n'est pas bon pour ma santé (pbms de circulation engre autres...) Je rêvais de peser 60-65 kilos, mais j'ai revu mes espérances à la baisse et je voudrais revenir en dessous de 80, je serais alors toujours largement en surpoids pour mon mètre 60, mais je sais que je me sentirais beaucoup mieux...
Bref, tout ça pour dire que je n'ai aucune idée de mon poids de forme...
Donc moi mon set point je n'ai aucune idée de ce qu'il est...
Coucou Enjoylife,
ton poids d'équilibre tu y arriveras, quand tu auras :
- acquis tes sensations de faim, de rassasiement, de satiété, tes appétits spécifiques. Quant tu seras devenue inconsciemment compétente en matère aliemntaire
- sur tes émotions et que tu sauras gérer leur inconfort sans passez systématiquement par la cas bouffe (mais peut-être n'es-tu pas concernée).
Merci Capuccino,
La sensation de faim je pense la connaître, la satiété j'ai déjà plus de mal.
Pour le reste j'ai un énorme travail à faire sur mes émotions... comme je mettais plus haut, j'ai l'impression de manger par habitude, par lassitude parfois, par obligation sociale et surtout le refus en ce moment de montrer que je travaille ENCORE sur mon poids (dur d'expliquer aux gens mon problème de rapport à la nourriture...) et puis quand je mange, trop le plus souvent, c'est aussi parce que je n'arrive pas à choisir et que tout me fait envie... donc je mange de tout... malgré le manque de faim...
Franchemet je ne sais pas si c'est que je passe par la case bouffe comme tu dis pour apaiser mes émotions, sans doute oui mais je suis complètement paumée...
Pffffffffffffffffffffff........ grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.....
Je regarde un reportage où une fille a perdu 37kg en 16 mois.... avec WW... je suis super jalouse.... là, voilà, ça ça me met dans tous mes états...............
[quote=Enjoylife]
Pffffffffffffffffffffff........ grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.....
Je regarde un reportage où une fille a perdu 37kg en 16 mois.... avec WW... je suis super jalouse.... là, voilà, ça ça me met dans tous mes états...............
[/quote]
Regarde jusqu'à la fin : WW reconnaît faire son super chiffre d'affaire parce que les personnes regrossissent et reviennent !!!
Personnellement, LC a considérablement changé mon comportement alimentaire : j'ai réintroduit sans prise de poids (au contraire) des aliments plaisir dans mon alimentation, comme la confiture au petit-déjeuner (j'ai supprimé le "laitage" et le jus de fruits, quasi obligatoires dans les petits-déjeuners dits équilibrés des magazines), je n'ai plus d'aliments tabous donc je ne me console plus avec puisque je sais maintenant qu'ils sont permis et que je peux en manger quand je veux.
Au bout de 9 mois de LC, j'ai perdu peu de kgs mais... 2 tailles de vêtements, ça me convient parce que ce qui est important pour moi ce n'est pas tellement ce qu'affiche ma balance mais comment je me sens dans mes fringues, j'ai totalement supprimé la viande, que je n'ai jamais aimée, et cela n'a nullement perturbé mon bilan sanguin, je mets du miel dans mes yaourts au lieu de l'Aspartame, bref, je me fais plaisir. Et ça dure. Oui, il m'arrive de craquer et de m'empiffrer, mais comme c'est alors incontournable parce que sur le moment j'en ai envie, de m'empiffrer, je le fais en Pleine Conscience, en appréciant le moment présent au lieu de culpabiliser (il y a un outil du Dr Apfeldorfer là-dessus d'ailleurs) et j'attends le retour de la bonne faim. Parfois jusqu'au lendemain matin.
[quote=Enjoylife]
Pffffffffffffffffffffff........ grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.....
Je regarde un reportage où une fille a perdu 37kg en 16 mois.... avec WW... je suis super jalouse.... là, voilà, ça ça me met dans tous mes états...............
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J'ai perdu 25 kg en 24 mois, toute seule, en dégotant la méthode WW sur internet.
J'en ai repris 30 ... lentement, mais sûrement.
Puis me voilà là, parce que WW c'est super (enfin dans liste de ceux que j'ai fait c'était le moind pire des régimes), mais ça ne résoud pas du tout ton rapport à la nourriture, ça à même tendance à l'empirer (je pouvais évaluer les calories de n'importe quelle assiette qui passait devant mes yeux... bonjour l'obcession).
Résultat tu te fais rattraper par tes vieux démons.
Je comprends que ça fasse envie tous ces kilos partis, mais quand je vois l'impact psychologique par contrecoup, ça n'a rien d'enviable.
Courage, tu n'as pas choisis la méthode qui fait perdre du poids à tous les coups et vite, mais tu as choisi celle qui donne un rapport sain à l'alimentation, ça me parait plus salvateur.
Bonjour à tous et bienvenue aux nouveaux :) !
Enjoylife, j'ai un peu les mêmes travers que toi concernant les raisons qui me font manger. Je ne suis pas malheureuse, honteuse, déprimée ou angoissée. Parfois un peu stressée, mais je mange souvent par habitude, parce que ça rythme ma journée, (avant, c'était les cigarettes, mais j'ai arrêté de fumer depuis longtemps), parce que j'ai des contraintes sociales (nombreux repas conviviaux à l'extérieur ou à la maison), parce que je ne peux pas toujours décider quand je peux manger (je suis prof, mes journées sont rythmées par les sonneries, je ne peux pas manger pendant les coursi, et je n'ai même pas le temps de boire un café pendant les pauses, tout juste le temps d'enfourner une collation en changeant de local ou en faisant des photocopies).
Quand j'ai fait un régime avec un diététicien, il m'avait interdit d'avoir faim. Je devais manger avant d'avoir faim pour ne pas trop manger par après. J'étais obligée de manger deux collations l'après-midi, même si je n'avais pas faim. Comme c'est débile, quand j'y repense ! Mais ces beaux principes sont bien ancrés. Parfois, je n'ai pas/plus faim, mais je calcule inconsciemment. Je ne pourrai pas manger avant telle heure, donc je vais manger un truc, comme ça je n'aurai pas faim. Il faut vraiment que je me force pour ne pas calculer et prendre le risque de subir un léger inconfort lorsque la faim viendra. Je le fais de mieux en mieux, mais les vieux réflexes sont toujours là.
Je n'ai pas non plus les symptômes physiques qui sont proposés. J'ai toujours la même chose quand j'ai une EME, c'est comme des chatouilles à l'estomac, comme si quelqu'un tenait mon estomac dans sa main et pressait celui-ci gentiment. Je coche "estomac noué", même si ce n'est pas tout-à-fait ça. Ce n'est pas la "vraie" crampe de la vraie faim. Je le sais maintenant. Mais je n'ai pas de pensées négatives qui m'incitent à me réconforter dans la nourriture, du moins ce n'est pas conscient. Du coup, je ne sais pas trop ce que je peux faire à ce niveau-là.