découvrons ces émotions qui nous font grossir
Tristesse ou colère, les émotions provoquent dans nos corps et nos têtes des bouleversements que nous ne cernons pas toujours. Pourtant, reconnaître et comprendre nos émotions est essentiel : nous évitons ainsi de les transformer en envies de manger émotionnelles.
Gérez votre stress et vos émotions, vous éviterez ainsi de reporter votre mal-être sur la nourriture
Patrick vient de faire une grosse erreur, il a honte. Ce qu’il ressent s’apparente à du stress et cela entraîne quelques modifications physiologiques. Son rythme cardiaque s’accélère, sa transpiration augmente, ses muscles se contractent. Mais il a du mal à repérer cette agitation. Patrick ne se rend même plus compte que ce matin encore, il était dans un tout autre état ! Il est persuadé de ne faire qu’un avec ses émotions négatives du moment et d’être nul. Sans recul, les choses s’aggravent jusqu’à la pulsion alimentaire. Patrick avale un sandwich aux rillettes en pensant avoir faim. Le sandwich anesthésie temporairement ses émotions désagréables mais se traduit par un excès alimentaire et des kilos en trop.
Voilà de manière schématique comment peuvent fonctionner nos émotions, surtout nos émotions négatives. Elles entraînent un bouleversement intérieur que Patrick a du mal à reconnaître. La méthode LineCoaching permet ainsi de travailler sur soi, identifier son émotion, la nommer et se rendre compte qu’elle est passagère, permet de ne pas se laisser déborder jusqu’à la pulsion alimentaire.
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Un passé douloureux peut expliquer vos troubles du comportement alimentaire d'aujourd'hui
Notez que certains d’entre nous sont plus fragiles que d’autres. Comme le rappelle la psychiatre Stéphanie Hahusseau dans son chapitre sur les émotions et les comportements alimentaires, dans Traiter l'obésité et le surpoids (ouvrage collectif sous la direction de Jean-Philippe Zermati, Gérard Afeldorfer et Bernard Waysfeld, octobre 2010), des études menées sur de longues périodes ont montré que les personnes souffrant de troubles alimentaires se distinguaient entre autres par leur tendance à éviter les douleurs d’ordre émotionnel. Ayant plus de mal à supporter les émotions douloureuses, elles cherchent à s'anesthésier en mangeant.
Une autre étude montre que ces personnes ont souvent traversé des moments difficiles (des violences ou maltraitances psychologiques dans l’enfance par exemple, ou des situations de souffrance apparemment moins dramatiques, mais tout aussi pénibles à vivre), expliquant cette stratégie de « fuite » de la douleur. C’est donc un cercle vicieux où une personne fragilisée par son histoire, devenue hypersensible, cherche à éviter et nier ses émotions, trop pénibles à ses yeux. Ces émotions, mal identifiées, que la personne a du mal à décrire et nommer, sont remplacées par des prises alimentaires. Si bien que repérer, nommer, accepter ses émotions permet d’éviter que l'on soulage sa peine avec de la nourriture. Il est donc essentiel de considérer ses souffrances, même enfouies, mêmes infimes, pour éviter qu’elles ne se transforment en pulsions alimentaires.
LineCoaching entreprend ainsi avec vous un travail de fond pour vous permettre de ressentir vos émotions et de les nommer. Vous y répondrez autrement qu'avec la nourriture.
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